Le narrateur :
« Sauf qu’en
l’occurrence, un soir, chez Taddeï,
L’un des invités
émit l’hypothèse un peu folle que
François Hollande
aurait atteint son objectif ultime
Avec l’accession à
la Présidence … »
La belle vie, la vie, la vie en Floride à
Miami. Branché sur la F.M. qui s’est spécialisée funky.
François :
« Oh oui, hum
oui, mais oui, …, t’avais raison, Valérie,
Suffisait de pas
grand-chose,
Un petit relooking,
une nouvelle équipe sentimentale, une nouvelle ligne, de nouvelles lunettes …
Et c’était bon.
C’est bon,
C’est fou !
Et les autres,
Les autres, on s’en
fout,
Les autres qui se
moquaient de nous, qui nous jetaient des cailloux, des hiboux, des Dugenou, des
choux, des flamby par ci, des hé-hé par là.
C’est fou comme on
se complique la vie, parfois,
Alors que tout est
si simple, en fait.
On fait le premier
pas et tout s’enchaine pile-poil, comme dans un rêve,
T’as rien à faire,
C’est fou.
Et c’est bon.
Tu te laisses
emmener,
Tu te laisses bercer,
C’est ça, la belle
vie,
Sans amour, sans
souci, sans problèmes
Hum, La belle vie. ».
Oh la belle vie, sans amour, sans soucis,
sans problèmes,
Hum la belle vie, …, Mais la belle vie, …
Valérie :
« Oh oui, mon
François,
Oh oui, souviens toi
Je te reconnais bien
là,
Oh, toi, mon
François.
Ça c’est vraiment toi,
Et rien d’autre que toi.
Ça c’est vraiment toi,
Et rien d’autre que toi.
J’ai mal dormi, j’ai
un peu froid.
N’y vas pas. Là-bas.
Là-bas, on l’appelle
l’été indien …
Y'a des tempêtes,
y'a des mirages …
Avec ma robe longue
je ressemblais
A une aquarelle de
Marie Laurencin. ».
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