De toutes façons en reggae, c’est bien connu, y'a eu Bob et après moi le
déluge.
D’ailleurs, Sud-Ouest a vu aussi (comme tout le monde), de gros nuages
arriver par la Presqu’ile du médoc où on peut aussi croiser en promenade, quand
le plafond est bas, des Presqu’humains.
Alors, quand ces drôles de pieds de bamboule rastafari ont commencé à
pousser anarchiquement au milieu des cèpes séculaires qui nous procuraient
notre seul intérêt terrestre, nous autres girondingues, pour la meute habituelle
des wisigoths et autres touristes à nos portes, doriphores, fridolins, notre
seul intérêt terrestre, notre seul intérrestre pourrait-on dire, notre
intra-terrestre, notre intestin leste, intestin céleste, intespalimpseste chié
et rechié … tintin et miloud.
Au fait, à ce sujet, rip daevid (aurait pris la tangente sur sa théière volante, comme ça, sans prévenir … pas très
médocain comme attitude …), on te réserve les meilleurs asticots de nos
meilleurs camemberts médocaïn (dont l’œil était dans la tombe mais nous le
verrons plus tard) pour venir te récurer au plus prêt les petits osselets
hallucinogènes au bas du dos, aux petits os, gnons, moignons, veaux, vaches,
cochons, curés, daevid.
Mais, revenons à nos moutons, agneau de Jah, agneaux de Pauillac, courrez,
mais courrez donc, rastas, du Pian à Castelnau Médoc … où on vit jaillir, jadis,
du temps du Lamaison Télécom, il me souvient, un CPA, un authentique Centre de
Préparation des Annuaires, éructer ses pages jaunes à la face du monde,
interdit.
Oulala, il est pas un peu strongue ton jaja, cette année, non, doudou, dis
donc ?
Maintenant pensez-vous, les pages jaunes empruntent plus sagement les
autoroutes de l’information et les vaches seront bien gardées.
Lorsqu’elles sont manifestement trop indisposées (les pages jaunes), on les
consigne, le temps que ça s’estompe, dans des placards de la république où
gisent encore bien des cadavres encore fumant, encore tarboulant, pourtant
plein d’allant puisque ça avait fini par s’estomp it up, pump it up, pump up
the jam.
Maintenant voilà t’y pas, pour couronner Ledu (Letout était déjà couronné
aux dernières nouvelles, figurez-vous que Ledu est réputé sans emploi en ce
moment, depuis la désaffection de St-Paul au profit de St-Mich’, en ce sens
qu’on ne sait trop comment l’employer, au mieux des intérêts collectifs : en
déboucheur 3ème age, très peu servi, faites une proposition ?
en déflorateur d’intérieur d’appartement cosy gentrifiés double épaisseur ?
ou, plus classiquement, en statue Un habitant du quartier de St-Paul au début
du 3ème millénaire) ?
Et, sur ces entrefêtes, voilà t’y pas, mon général, qu’on accuse, un matin
sans prévenir, un sans grade, une petite main, un genre de backliner, un de ces
petits cons de scout vegan vaguement iconoclaste (par un lointain cousin de
Bordeaux, plus évolué, précisément du nec plus ultra, du bled, 4ème
arrondissement pour les mous du bulbe des autres quartiers qui l’avait oublié,
comme toujours, ils oublieraient même comment obéir à leur bourreau !).
Voilà t’y pas.
Ce coupable idéal, au visage d’ange (en cours de cépification noueuse « vieilles
vignes » cependant, ces dernières années) répond au nom de Lachaize
[empaillée] et on l’accuse d’avoir utilisé son assoce sacerdoce en fil d’écosse
comme un strapontin, un marche-pied ou crève-pied, un crève cœur ou jambon
beurre pour se faire un petit Sam Suffit, en 1ère ligne à la Le
Paon, ce drôle d’oiseau qui en déployant sa drôle de queue affriolante voulait faire
oublier ses propres turpitudes au public bon enfant qui pouvait alors nous
soulager sans encombres les bourses et sans porter plainte en suivant, comme
par hypnose (*), aux seules frais de la princesse (Erika, toutes autres rumeurs
au http://fr.mediamass.net/people/princess-erika/rumeurdeces.html)
… sans bourses ni zob délier (beh oui … c’t’à dire que j’avais écrit cette
chute avant la digression du milieu qui annule totalement l’effet initial mais,
à la fois, on s’en branle un peu, non ?).
(*) qui n’est pas mais pas du tout une tentative de fusion entre hip-hop et
noise qui se dirait plutôt hipnoise et c’est pas vraiment pareil !
Vous y allez fort, vous autres, mousquetaires de l’information (*), et qui
vous dit que vous n’auriez point fait de même si vous aviez réussi votre vie au
point de n’être pas de votre côté du stylo bic mais de l’autre, sur le
papier ?
Au lieu de ça, vous préférez vous retrouver entre ratés sur la terrasse du
quai Branly, au vu et au suce de toutes les têtes de nœuds empruntant cet
itinéraire nul bien que face à la bourse qui vous fascine, vous autres à vous
branler la nouille en fumant des lucky strike pour vous donner un genre cow-boy
de l’information, mousquetaires de Lupiac (32, près Vic-Carensac) de mes
roustons (from the english familiar « rough town » : « qui
se branle la nouille »).
D’Artagnan, soit dit en dansant, qui d’après Wikidimerdakilira est un homme de guerre
français né entre 1611 et 1615 au château de Castelmore, près de Lupiac, en Gascogne (dans
le département actuel du Gers) et mort à Maastricht
durant le siège du même-nom le 25 juin 1673, pendant la guerre de Hollande.
Mort à Masstricht … pendant
la Guerre de Hollande …
Doit-on voir dans
cette destinée qu’on aimerait tant chantée par Guy Marchand, un avertissement
de nos ancêtres gascons à leurs rejetons si décevants, leurs déjections de zob,
ces gaz cons qu’on voudrait suivre les yeux fermés jusqu’à L'Isle-de-Noé voire
St-Jean Pied de Poutges, ces gars abscons, qui ne surent jamais comprendre ce message
pourtant limpide, trop occupés qu’ils étaient, surtout vers Sauveterre de
Guyenne, à essayer de justifier l’injustifiable, l’existence de musiques
actuelles, malgré la faible qualité du rendu (qu’on qualifiait parfois de bouillie
bordelaise aussi voire de vomi, c’est dire … surtout quand ça se voulait chanté en
français) et qui n’arrivait même plus à faire danser le prospect (youp la boum,
il va sans dire), fusse t’il over bourré comme le chef des sauveterrestres à Garorock
(à l’exter’) dès 21h ou épileptique comme un fonctionnaire des impôts de
Macclesfield, hors les murs de son bureau (on stage pourrait-on dire) ou,
enfin, arrivé au sommet, touché par un autre hélicoptère en proie à un jeu.
Donc les jaloux, au
paroxysme de leur pause (pose ?) cigarette, quai de Queyries, rient de
quoi, rient de toi, rient de qué, rient de qué rient, qué de qué rient. Et
aussi imaginent, fielleux comme pas d’eux, fielleux comme bloggeur que le
st-bernard du médoc, Lachaize [empaillée] aurait triché.
Que Lachaize
[empaillée] serait au Reggae ce que Cahuzac fût au Budgae.
Comme Guéant [Claude
aka Khaled Bugshan en Arabie saoudite où il aurait eu une double vie et une 2ème
à 33ème femme à turlute] et son peintre batave, que dis-je batave ?
bar-cave peut-être ? betterave sans doute ?
baveducrapaudn’atteintpaslablanchecolombe schneck certainement ! espérait-il
secrètement, comme on l’amenait prestement au TGI de Romorantin avouer son
penchant pour les journalistes intelligentes, charpentées et dotées d’un prénom
en 19 syllabes.
Comme Guéant,
disais-je, avouant qu’il avait vendu à ce Bugshan (à lui-même donc !) une croute
de betterave au cul main 500000 euros quand il en coûtait 4,50 aux
établissements Philippe Ginestet à Villeneuve sur Lot, au début des années
quatre nains.
Comme Guéant qui
objectait, malin comme un singe de Guyenne, qu’il ne pouvait offrir à ses 33
femmes des cadeaux à 500000. Par contre, à 4,50, c’était jouable.
Comme un géant,
Comme un géant, Quand on est aimé, On peut tout faire, je crois.
(*) j’ai longtemps hésité
avec « moustiquaires de l’information » où j’aurais pu, tout aussi
bien, tenter de crever l’abcès de ces pseudo-journalistes qui adressent à qui
meuh meuh, à qui veut bien encore les calculer, à une heure avancée où les
rotatives ont transformé leurs rotations en tournées à toi à moi, rotant
toujours plus fort, toujours plus haut, toujours plus longtemps, plutôt quand
la nuit est tombée, vous l’aurez compris, à cette heure tardive, ces
pseudo-journalistes sortent le bout de leur nez, in finez, et adressent des
piques au plus charnu, au plus avenant des monticules et aussitôt s’échappent
comme péteux, courant à l’autre bout de la chambre à coucher (pensant qu’on
pourra pas monter au mur pour venir leur expliquer notre position, à grand coup
d’édito ou d’annuaire des pages jaunes de St-Laurent Médoc dans la gueule ou
dans le pif, tiens, tiens … Avant la vente du CPA au fonds de pension américain
qui n’avait pas que ça à foutre non plus et qui n’avait pas mais alors pas du
tout l’esprit Sud-Ouest.
Comme nous le verrons plus tard.
Qui a eu le dernier mot de ces GEMA ou de ces MIRCTA ? [remake pour les banlieues industrieuses laborieuses y métissé]
Dans le rôle du chef de gang des GEMA, Tonton David, dans icelui des MIRCTA, Pierpoljak.
Comme nous le verrons plus tard.
Qui a eu le dernier mot de ces GEMA ou de ces MIRCTA ? [remake pour les banlieues industrieuses laborieuses y métissé]
Dans le rôle du chef de gang des GEMA, Tonton David, dans icelui des MIRCTA, Pierpoljak.
Ainsi, dans le cadre
du programme d’intégration porté par la Smack de ville des Coteaux Riants de
Bordeaux Blanc Supérieur AOC de l’égalité, nous avons proposé aux populations
indigènes un jeu.
Tonton David est, vous
le savez tous, depuis son premier caca, un modèle d’intégration … dernièrement
il animait un feu d’arties fesses, pensant sûrement à tous ces congénères
appelés Fetnat.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2010/07/08/tonton-david-allume-le-feu-de-la-fete-nationale
Pierpoljak est un
modèle de désintégration … un blanc qui se voudrait noir, rien que ça … un
genre de Mickael Jackson négatif qui aurait tout merdé aux derniers championnats
district de Roi de la Pop (un genre de Biche d’or, à Palmer), sur un dernier émo-salto
misérable presque bluesy.
Pourquoi pas se
rêver en nougat rose, non plus, pour éviter d’aller, tous les matins,
travailler à Mérignaque, comme tout le monde, et se farcir les discussions des
collègues de travail, travaillant inlassablement les diverses mimiques à
produire en cas d’affirmation sans le moindre intérêt ?
Quand d’autres jean-foutre
travaillent leur Moon Walking et leur jeté de jambe pour faire pâmer les
copines de la télé comme cette Christine et ces copines, queens, reines du
lêche-vitrine.
Tiens et si
j’essayais, Lundi, pour marquer mon étonnement, la perplexité de GEMA apprenant
au tournant de l’an 2K00 que MIRCTA était également philatéliste.
Au fait, à ce sujet,
j’ai (enfin) compris le reproche fait par les musulmans à ceux qui voudraient
qu’ils se déclarent les ennemis des intégristes mais qui ne voient pas pourquoi
on les assimile à ces énergumènes et en quoi ils pourraient améliorer
l’ordinaire de la victime des attentats.
Une fois de plus,
comme rattrapés in finez, à Suez, par un brouillard digne du coran d’ta mère et
toujours pollué par ce petit côté pas franc du collier, sournois, mesquin qui
leur avait été attribué, à tort ou à raison, par les 1ers racistes, du temps de
Ali-baba (et déjà ces 40 voleurs mauresques si pittauresques) d’où la gégène utilisée
(à regret) parfois pour recoller les parties de cet être fuyant à la Vérité occidentale.
Et donc, une fois de
plus, depuis l’arrêt de l’utilisation de la Gégène pour tenter d’y voir plus
clair, les hérétiques ont très mal expliqué leur position.
Comme souvent, il
suffisait d’illustrer son propos, comme jadis Hergé et son tintin chez les
arabes, où on comprenait aisément pourquoi le héros rasait les murs quand il
avait à se rendre en arabie pour affaires.
C’est un peu comme, lors
d’une assemblée où il y a manifestement personne (cf dernier concert de aksak
maboul à l’i-boat, sûrement à cause de cette connotation bougnoule dans un lieu
qui n’accepte que les blancs), de reprocher aux présents l’absence des absents
en s’appuyant sur le fait qu’ils font partie de la même communauté (de
parasites) puisqu’ils avaient été associés dans l’invitation à cette
manifestation.
Comprenant les
infidèles, peut-être comprendrais-je aussi cette objection faite par cette
autre minorité trop visible à l’écran dont on aimerait enfin se débarrasser le
plancher des lâches, minorité qui s’attribue rien moins, de par une mauvaise
foie qui se traduit par une mauvaise à l’Aisne (02), que l’Origine du monde à
l’endroit de cette touffe en plein dans ta face, bouffon d’ta mère.
Pour éviter de
trancher, comme souvent les pleutres, on envoya donc Tonton David reggaer en
Lorraine aux fêtes nationales quand Pierpoljak, qui avait plus le pied marin,
se chargeait d’animer des croisières à gros cons en méditerranée, qui
malheureusement ne coulent, elles, flottant sur des résidences dignes de
l’Avenue Thiers vers un avenir grautesque.
Il se disait dans
les milieux mediaticomicorrectifs que TF1 serait en train d’arraisonner un
compagnie d’hélicoléoptères pour envoyer directement ses MC au ciel où ils
pourront reggae jusqu’à plus soif pour le plus grand plaisir des petits et des
grands (cons).
Quel est le point commun entre le St-Ex et le Booboo’z ?
Le point commun, à Bordeaux, c’est pas compliqué, c’est soit :
- Le Terroir, soit …
- Shah bande, elle masse, soit …
- Franciiiissse (celui qui vint de Corrèze, comme Moueix et Jeannoueix avant lui, un jour de 82, envoyer des Trash et des Slash à la face du Passant de Bordeaux, tout juste identifié, bien avant que d’autres vinssent de Sauveterre de Guyenne noyer notre vieil ami Passant sous un flot de Smacks excessif, trop baveux, vous, en con, viendrez, ce Francis issu de Corrèze donc et non pas celui qui se terre à Astaffort, attendant la mort – du Ttoro, de la Sarbacane ou de lui-même), soit …
- Gwardeath, le futur 1er magistrat (par ordre d’apparition sur la scène médiaticotropolitaine pour être honnête).
Le prochain de la liste, je vous mets un billet que c’est un descendant de
ces garagistes pompiers hautains, toujours juchés sur leurs échelles double,
Place Renaudel (ou de Nansouty, au pire, si institutionnalisés entre temps).
Ou peut-être même un de ces nouveaux crâneurs en gelée royale pour assurer correctement
la transition énergétique avec la suite de ce récit palpitant, aux papilles
autant.
Mais revenons sur le dernier en datte, le ci-devant Gouardes (avant que de
se mettre au garage), venu des Landes, lui.
En effet, à force de se nourrir exclusivement de fruits à même les arbres,
de légumes encore en terre, de tubercule encore fumant au cul des poules, d’infusions
de feuilles d’ailleronnes maïeudènes,
de décoctions de jus d’aspriestes, notre héros s’était transformé en datte.
Ce qui est un comble pour un ancien booker, vous en conviendrez.
Comme vous l’aviez aisément pressenti, connaissant le loustic, il n’est pas
allé bien loin dans cet accoutrement qui datte, qui colle au bonbon et qui, de
ce fait, attire tous les doryphores du patelin qui aiment le sucre et quand ça
colle aux digues.
Il s’est ainsi rapidement retrouvé lesté de tous ses suiveurs qui lui
léchaient le cul depuis Belcier (voire Cauderès (*) pour les plus hardis),
collés à ses basques, ou sur des échasses landaises, en cour des miracles
vivants, en essaim de mousquetaires, en d’Artagnan, en Ravaillac, en Ramaillac,
en d’Armagnac.
Et toute cette jeunesse turbo dont on avait du mal à comprendre le message,
nous autres anciens qui savions, ou le feignant, on ne comprenait ce message pollué
qu’il était d’entrée par des influences fourre tout, des stones, des kiss, des
AC/DC mâtiné de savate, du vegan et de séduction ancienne à base de jeux de
rôle et autres circasseries age2pompes-couilles-2moi&mange1gnon.
(*) si vous avez vraiment rien à foutre ces prochains jours, je suis tombé
sur un manuel d’histoire tout neuf, peu servi du « quartier » de
Cauderès (pour moi, Cauderès représentait tout au plus un pont au dessus d’un
truc (ni le pont, ni l’obstacle ne motivant l’érection (du verbe ériger) d’un
tel braquemard turgescent permettant de franchir les boulevards, entre la
Barrière huppée St-Genès et celle méprisable de Toulouse, pour fondre sur la
capitale régionale administrée depuis peu par un certain Gouardès, d’origine
landaise comme son prédécesseur, parti retrouver ses amis écureuils à Lafontaine,
à Montréal.
Ça me rappelle aussi, ado, ce Cauderès, rentrant d’un court séjour linguistique
(comment placer la langue pour favoriser le cul-sec attendu par l’auditoire,
vibrant ?) en Angleterre où on était parti un mois, rentré au bout de 3
jours, t’en rappelles-tu, taillacot ? quand on était allé direct chez ta
tante qui habitait à ce fameux pont de Cauderès, mus par une pulsion
fellinesque, car elle était censée, du fait de certaines dispositions
péripatéticiennes et une paire de loches que n’aurait pas renié Richard
Trevithick (l’inventeur de la machine à vapeur, haute pression, pour les
ignares de mes lecteurs) nous délester encore plus les bourses, après la
félonne Angleterre, t’en rappelles, fredo ?
ah beh non, il peut pas s’en rappeler, le gonze, il est mort, aux dernières
nouvelles. Suis-je bête ?
Té, à ce propos, j’ai vu Freddy Short, ce matin, au Carouf Market la
Bastoche, en train d’expliquer un truc à sa meuf, avec cet espèce de calme qui
le caractérise et qui précède souvent le meurtre en série.
Bon, pour en revenir à Cauderès (en laissant Suzon sur main droite), je
vous aurais prévenu, hé, ça présente aucun intérêt ce manuel, un peu comme
l’autre mescoinques là … http://quartier.cauderes.over-blog.com/pages/Le_quartier_et_son_histoire-1538820.html
… et ce malgré des mensonges éhontés qui y figurent (probablement pour
rendre sexy le pâté), par exemple, comme quand page 12 il parle de 11227
habitants à Talence en 1904 … or il n’y avait que 11223 habitants à Talence en
1904, vous aviez corrigé de vous-même bien évidemment en rectifiant 4 parasites
au hasard qui rentrait dans une synagogue, pétant déjà.
Ces gens grandis sous les ponts de Cauderès croient secrètement qu’ils vont
aguicher le chaland, de retour, fourbu, en tortillard, en provenance :
·
du Médoc pour visiter, qui des consanguins de ces amis,
quête des pédophiles (ou des homos) en train d’imaginer un Festival d’Immobilier
ou
·
d’Arcachongues (***), une réplique marultime de
Chartrongues désoeuvré héliporté (à vos risques et périls, m’sieurs-dames !)
mais chartrongues libéré, hors les murs, sur le bassin, truffé également des
mêmes vieilles rombières qui voudraient bien se faire lustrer la rondelle pour
la remiser, in finez, fièrement, dans le vaisseuliez, une fois rentré aux
chartrongues pour faire mouiller les copines.
(**) j’ai longtemps
???
C’est marrant, non ? J’avais commencé une phrase jadis, sûrement
interrompue par un impondérable. Nous laisserons donc ce mystérieux « j’ai
longtemps » qui laisse pas mal de possibilités comme ça, en mausolée, dans
son jus (d’aspriestes ou équivalent), en souvenir d’un 2ème point
scabreux non indiqué dans un récit pourtant limpide et qui n’en pouvait mais.
(***) d’autres lieux de villégiature éténaux (beh quoi ?) présentent
un meilleur rapport ongues/usage, par exemple lantongues, également sis sur le
bassin, vers le cul (pour ceux qui aiment les poils): s’avèrent très
utile, l’été pour se rendre à la plage, déguisé en blaireau (l’être supérieur
préférera y aller pieds nus pour vraiment toucher du doigt (de pied) la
différence entre vicissitudes éténales (beh quoi ?) et vicissitudes
hivernales.
On le voit bien, à travers cet exemple de bonne pratique, écho responsable,
le futur maire de Bordeaux, reeeeesss, n’aura pas volé,
poooooooooooooooooooooooon, son trône car,
saaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaabbbbbllllllllllle, il aura su tout au long des quais que
la terre nous envierait, eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, presque s’ils ne
se finissaient en eau de boudin,
cccccccccccchhhhhhhhhhhoooooooooooooooooooooooooooooo avec cette sorte d’étron
sorti d’on ne sait quel trou du cul,
rrrrrrrrrrrrrrrrrreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeesssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss
(c’est agaçant cet écho à la fin !) et surtout, il n’aura cessé être sur
le terrain, toujours.
Ppppppppppppooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnn
Et merde ! ça suffit maintenant !
On y comprend plus que dalle aux messages des politiques avec ce putain de
flange sssssssssssssssssssssssssaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Il aura du arracher ses dernières voix avec les dents.
Bbbbbbbbbbbbbbbbbblllllllllllllllllllllllllllllllleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
il en garda un poil sur la langue et un affreux goût de merde.
Quel est le point commun entre le St-Ex et le Booboo’z ? Part II
Putain, j’ai été obligé de commencer un nouveau paragraphe, dis donc, pour
couper la chique à cet écho (des savanes pour coller au sujet poisseux, aux
confins du delta).
Oui et donc voyez-vous, pour résumer le post précédent (et les 7 ou 8 à
venir), le futur maire a commencé à occuper le terrain du Booboo’z à des fins
électorales. Pour serrer des louches (qui en l’occurrence ne veut pas dire Pour
débusquer de patibulaires individus).
Et aussitôt, sur ses pas, comme aimanté, on vit rentrer dans
l’établissement bariolé (j’arrive plus à remettre la main sur cet adjectif qui
marque clairement une certaine distance vis-à-vis de ces populations récentes
de l’hexagone comme qui dirait hors les souches pour utiliser cette novlangue
qui ne garantit rien de bon par les temps qui courent (alors qu’avant si)).
Ah si, ça me revient, ici et maintenant, c’est bigarré, l’adjectif qui
prend ses distances, une contraction de bigard et de bagarre (et non pas de bigorneau
et de raie ce qui aurait probablement ressemblé à ça, au mieux …
Ou à ça au pire …
Avant, sur Bordeaux, quand on s’intéressait encore un peu aux noirs,
y’avait des établissements en vogue : l’Aquarius (qui vit passer dans les
années quatre nains, un clown blanc qui manifestement se définissait comme un
vis-à-vis de son négatif), l’Hibiscus, l’Equateur, la Soufrière.
Repartons sur le chant dans la brousse de la ouèbe, avec sa petite machette
et sa goutte au bout de la quiquette qui indique le Nord.
Bon, comme je trouvais rien sur la ouèbe, je me suis arrêté sur une petite
nature morte qui ornementerait avantageusement ma cuisine d’agrément en semaine
et agrémenterait sans coup férir ma cuisine d’ornement en week-end.
Vous aurez aisément
reconnu un des 1ers résultats de la recherche « la Soufrière
bordeaux » par un des 1ers racistes du nouveau monde numérique, Google.
C’est un peu toute l’histoire du peuple noir, ça, de nature mort paresseuence
au champ de bataille, ayant reçu un ballot de coton alors qu’ils jouaient à la
baballe durant leur pause, ils sont incroyables quand-même ces travailleurs
noirs non rémunérés, ils savent pas quoi inventer pour amuser leurs bourreaux.
« C’est
ballot ! » : ne dit-on d’ailleurs pas pour qualifier ces petits
désagréments de la vie : esclavage, pré-lavage, bavardage.
Vous remarquerez au passage (d’agen) que quand la densité d’images croaaaa,
on est pas loin de la quille.
Et alors, du coup, en cherchant un truc sur les boites de nuit antillaises,
antigueille qui virent passer ce blanc-bec autoproclamé de brooklyn, je tombe
pas sur ce truc là …
Té ça, bizarrement, cette info qui concerne pourtant le monde du spectacle
vivant, je l’ai pas trop vue relayée par Fehssebücke, dis donc, par le facteur fridolin
félon qui aime bien pourtant foutre sa merde à l’ouest du Rhin et déclencher
des esclandres entre amis de longue datte (clin d’œil au bourgmestre pour qu’il
me lâche un peu d’artiche au budget primaire ou comme il voudra, saoul à table).
Mais probablement le facteur fridolin félon fédéral (clin d’œil aux länders
que la terre nous endive), Fehssebücke pour ne pas le nommer, considère t’il
que nos amis africains n’ont qu’à régler leurs problèmes en interne, dans leur
case, avec leurs boubous (a priori si on a recours à plusieurs boubous et qu’il
reste des problèmes domestiques, c’est qu’il y a un trou dans la raquette,
non ? (novlangue sévices informatiques, « quand on veut faire un
trait d’humour »).
Et alors du coup (ayant brusquement perdu toute notion du sujet en cours),
je me suis mis à rechercher frénétiquement, sur la toile, tout ce qui relevait
manifestement du périmètre africain.
Tiens, par exemple, vous savez ? un africain occupe le pavé bordelais
(menu à 12 euros TTC).
Ce faisan, je tombe pas sur un blog qui marche http://www.lespavesbordelais.fr et
un blog qui marche, c’est pas jojo.
Surtout quand il bande.
Et cet autre africain, là, si bien pavé monté nou té ké ka dansé
qu’on le croirait sur la béquille. Karfa Diallo. Si souvent croisé dans la rue,
vous remarquerez, d’ailleurs, il est toujours plus ou moins à trainer vers la
statue de Chaban. À croire que c’est lui qui masse.
Bon alors, Karfa, je suis allé voir ton (pas le « ton » du
raciste, le « ton » du collègue) site, par politesse, et pour ne pas
être taxé de vulgaire publicitaire, contraint au racisme pour gagner sa rolleix
avant 50 ans …
Le seul truc vaguement intéressant que j’ai trouvé sur ton site est le
commentaire d’un certain hostein (sans s bizarrement) :
hostein
26 avril 2014 at 18 h
45 min #
a quand le
redressement de la plaque commémorative de l esclavage a bordeaux
,elle serait mieux
situe de façon verticale le long des promenade le long e la Garonne
C’est un peu du petit nègre, certes, mais ça a le mérite d’être dit.
Pour répondre à ce tribun qui semble maitriser son sujet, peut-être
pourrait-on rétorquer que si la plaque commémorative avait été « située de
façon verticale » peut-être eusse t’elle masquée l’étron en cours
d’érection (du verbe ériger : bander comme un âne) au pont tournant et que
seule l’odeur eut alors permis, à l’aveuglette, pourrait-on dire !, au préposé
de se rendre sur le lieu de l’infâme dépôt qu’on aimerait au caniveau. Pour
faire ses besoins.
En cerise sur le gâteau (une forêt noire par exemple, avec une cerise sur
le gâteau), vous pourrez déguster (qu’est-ce tu dis Bastien ? tu deviens
inaudible là, articule merde, on est à Lantenne (banlieue est de Lantongues) !)
cerise ce passage où Karfa explique qu’en 12 ans il s’est émancipé de
l’esclavage, qu’il a fait en quelque sorte le deuil de l’esclavage et donc que
noir sur noir, il lui reste l’espoir.
Juste avant la mise sous presse, Karfa me fit envoyer un telex en
complément de cahier de remémoration, en devoir de vacances pour mieux préparer
la rentrée.
« L’été devait être bien mémoré afin que l’automne embellissent mes
neurones, que l’hiver raffermissent mes ovaires, que je m’affranchisse au
printemps, cocu mais content, comme un lama à Bordeaux. » André Malraux,
1957
Je me remémorais soudain, dans ce cloaque du raisonnement, que je recevais
depuis belle lurette des mails de ce truc là, MC2a. Sans y prêter la moindre
attention.
Euh, d’abord, MC2a, t’es gentil mais … euh, demande à un authentique « bordelélélélélé
ça c’est bonbonbonbonbon » de souche, a fortiori métalo, descendant de HighpowerS
ou du Morsüre d’Alari de la House à Canèje
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Mors%C3%BCre) … ce qu’évoque pour lui MC2, tu
verras bien s’il te répond en touareg ou en wah-wah ? en comorien façon Bob
Bénard ou en pédale fuzz 36 coups, à la Ted Nugent ?
Et donc du côté de ce MC2a qui a fort mal choisi son nom s’il vise un
lectorat de type Hard-Rock / les Runes / menu vegan à base d’ailleronnes maïeudènes
et jus d’apriestes, que nous proposent-ils, doudou, dis donc ? hé ?
Et beh euh … http://www.web2a.org/
Alors, j’ai bien lu ta newsletter de Mars, MC2a, et je me pose illico une
question, lancinante comme ces neiges du kilimandjaro qui ne verront jamais
dévaler un skieur de Nancy et de Nantes (car on ne peut pas être à la fois de Nancy
et de Nantes, CQFD) :
« les africains, ça les intéresse vraiment ces austères propositions
d’activités proposées par la newsletter où ils préfèrent la truculence d’Adam
et Eve sur D8, comme les gens normaux ? ».
Ça me rappelle un autre truc lu dans Télérama récemment :
« France Ô sont
( ?) sur la sellette. Créée en 2005, la chaîne de la
«multiculturalité» et vitrine de la France ultramarine, pâtit d’une audience
confidentielle et affiche régulièrement 0% de part d’audience ! ».
Même quand le blanc
et sa culture impeccable propose une activité au noir supposé s’ennuyer toute
la sainte journée, car trop tributaire de son Maître, celui ci refuse l’aubaine
pour aller voir enfin qui d’Adam ou d’Eve.
Ça me rappelle aussi
quand j’avais voulu lancer cette Odette d’Aquitaine à l’assaut des impies,
repliés à Sauveterre de Guyenne toujours à ripailler, à faire des rots, à faire
des pets (dans la limite des bientôt 100 dbets), à faire des smacks à la terre
entière, visant à lui structurer la croupe à grand renforts d’onomatopets (dans
la limite des bientôt 95 dbets).
Et alors, du coup,
cette Odette d’aquitaine, toute à sa croisade contre les heretics barricadés à
Sauveterre, se dit : « pour toucher ce public AQUITAIN, si friand
d’artistes AQUITAINS, je ne vais utiliser que des média AQUITAINS. ».
Tu remarqueras,
lecteur ébaubi (égillère aussi, épamelagrotiti bien sûr, si bien chantée par le
chansonniais du cul du lycée de la rue duhem), que AQUITAIN et AFRICAIN sont
extrêmement proches lexicalement parlant. Identiques en nombre de lettres et ce
à 4 lettres près.
La différence tient
à un QUIT (« La France, tu l’aimes ou tu la QUITtes ! ») au Nord
et à un FRIC (« Tout ce qui t’intéresses, c’est le FRIC, le FRIC, le
FRIC ! ») au Sud … T’as vu ? C’est quand même bien fait la
langue française quand t’y réfléchis un peu, non ?
Ils devraient s’en inspirer un peu, à l’Europe, tiens.
Tout ça pour dire quoi, d’ailleurs ?
Ah oui, faut quand même être sacrément con pour se limiter aux médias
aquitains quand on veut lancer la carrière d’artistes aquitains.
Déjà qu’en mobilisant la couverture médiatique mondialisée …
… du fait d’une tendance naturelle à pomper un truc existant …
… ce dont je parlais à l’instant par mail, figurez-vous, avec un ami,
avocat poppy délicat et vent debout contre les lobby spoliant les auteurs, donc
unique en son genre lui !)
… ils ont très peu de chances (les copieurs aquitains) de lever la coupe
aux grandes oreilles alors, en se limitant aux media locos genre le journal du
médoc, le résistant ou la feuille pour nos amis du 47, on tombe direct dans le
bêtisier des probabilités un peu à la manière de notre France O qui croyait,
l’imbécile, la truffe périgourdine que les noirs regarderait un programme fait
par des blancs pour des noirs alors qu’il y avait une expo de nichons sous un
arbre à palabres abandonné faute de résultats bien que bolloré aux aurores
boréales de D8 où aucun hélico, illico non vehiculo negroïd, he was a negroïd,
happier than you and me, ou dévot, ou bicot, because Biko.
Les africains, malgré tous leurs défauts sur lesquels on ne va pas revenir
éternellement, comme en repentance à Fort de France, comme on harangue haine à
Mostaganem ou comme on harangue sors les poubelles avant qu’elles ne vinssent à
craquer, comme à Beurnaoute au Sahel proche, ces africains donc, dont on nous
rebat les narines, participent également à la culture énorme de souche qui a
bien voulu accueillir leur influençabilité légendaire.
Et donc, au moment que d’être affranchi (contraction de affreux, blanchi de
tous soupçons), l’africain, oubliant son bienfaiteur comme tous mes
protagonistes, préfère, pour se distraire, un programme unirace qu’un programme
spécifique lui rappelant qu’il doit aller là-bas, sur l’autre rive, masser Chaban,
là bas, Chaban, là bas, tout mousse, mousse à la Chaban, là bas.
Faut quand même se rappeler, à cet instant précis du récit (alors que,
curieusement, au même moment, un malheureux se jette, dépressif, du récif) que
nous étions en train d’évoquer le Festival Dead a River mais comme je me suis
fait légèrement remonter les bretelles par un Musicalarue pour m’être
légèrement gaussé de nos amis communs festivhôtes, on ne m’y reprendra pas. Je
ne voudrais pas mettre en péril ma rémunération de quand je serais mort, faut
pas déconner non plus !
D’ailleurs, dans le même ordre d’idées, figurez-vous que MC2 Guitare dont
on parlait tout à l’heure, en son naturel, MC2 Guitare, c’est mort !
Du fait de la scandaleuse campagne de dénigrement du solo en musique,
orchestrée, depuis les 90’s, par les lo-fi et autres joueurs de secondes zones
(St-Médard, Eysines, Le Barp, Lubec, …) - Des Pratique amateur,
pensez-vous ! –, et beh je sais plus ce que je voulais dire et je vous
merde.
Enchainons.
Alors que j’étais, en parallèle de cette activité de veille ethnologique
sur les africains, en train de regarder d’1 œil enthousiaste, pépouse sur le
sofa auburn du living, « Naufrage en Cuisine » (je ne savais pas, l’insoucieux,
à cet instant-là que l’animateur au gros nez se transformerait en porc de la
lune et son gros nez en groin, in finez), l’autre cochon, qui n’était pas encor
de la lune donc, essayait de relancer un boui-boui à Pittsburgh qui se réclamait
de la soulfood (genre de tambouille des anciens (et nouveaux !) esclaves,
qui doit s’écouter sûrement avec du blues du delta sauce blanche, sans frites
(*)), en occupant à moindre frais des bénévoles oisifs et moches, à
l’accueil !!!, alors que donc, côté veille, j’apprenais, tétanisé, que MC2
était tombé au mains d’un luthier, maintenant …
(*) Je faisais alors, à cette époque, en parallèle de diverses activités de
veille, une étude sur les divers accommodements ( ? ations ?
asimodo ? res orientales où Bob Bénard tenta de mettre un peu d’ordre ?)
du kebab.
J’avais noté (dans du marbre sauce blanche) que les blancs-becs, passés 40
berges, prenaient tous leur kebab sans frites sauf précisément, ce jour, une
vieille, genre instit’ casse-burnes, qui m’obligeât séance tenante à arrêter net
cette étude si pertinente que je menais en loucedé, depuis le départ de Coluche
de Mérignaque, incognito.
Ce départ du Coluche faisait suite (incognito ET indubitablement) au départ
du Viandox, 10 ou 15 ans plus tôt, qui avait fait une courte apparition là où
ils ont mis le Dynasty maintenant, où vient manger seul un collègue consultant,
vieux avec une haleine fétide, qui est en arrêt maladie, ces jours-ci, pour
cause de préparation de suicide. Ils ont carré dans ce Dynasty une fontaine de
chocolat pour faire rêver les enfants et les suicidaires et vomir les gourmets.
Il s’agissait quand-même du 2ème établissement de qualité qui
quittait cette ville-terre mâle (se dit le Passant de Bordeaux qui dérivait
depuis la veille midi, suite à une grosse murgeasse, chez Carlo et Raphaëlle, Barrière
de Pessac), Mérignaque, LA capitale du bon goût près de chiez vous, qui, en
contrepartie d’une usine Dassaut cousue main à Capeyron (ou un autre de ces autres
quartiers, en tous points, aussi pourris), ont appelé leur Lycée Serge Dassault
pour traumatiser encore un peu plus ces enfants interdits qui n’ont décidemment
pas choisi leur famille ni choisi leur maison ni choisi leur chanson
nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) … ou alors mal … nom'inqwando yes qxag
iqwahasa (2 fois) … ou tout au moins de manière distraite … nom'inqwando yes
qxag iqwahasa (2 fois) … trop occupé à ce qu’on pourrait manger ce soir …
nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) …
c’est le petit qui me fait du souci … nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2
fois) … et toi, ça c’est arrangé avec Jean-Eustache ? nom'inqwando yes
qxag iqwahasa (2 fois) … ché pas trop, il est parti aux sports d’hiver
nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) qui ça ? gulliver ?
nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) oui c’est ça, gulliver nom'inqwando yes
qxag iqwahasa (2 fois) aux sports d’hiver nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2
fois) ok.
Etre nez quelque part.
M’étonnerait pas qu’il fasse jouer Sexion D’assaut maintenant, ça serait le
pompom ! pour donner le coup de grâce.
[Bon alors, à partir
de cet instant précis du récit, où Priscille se ressert un bol de Régilait,
lascive en lessive, hâtive ou rétive, l’auteur découvre, bien embêté, qu’il lui
reste un stock TRES important d’idées à développer autour de cette thématique
continentale. Comme un reste à faire colonial. Dans un souci moderne de
compétitivité et de réduction de l’inepte, il décide de bâcler les sujets
restants afin de reprendre une inactivité normale au plus vite.]
J’avais également noté d’aller à la pêche aux infos sur une certaine Perrine
fifadji.
Où l'on apprend, médusé, que la French Touch prend ses racines (roots) au
cœur (heart) de la Françafrique
Il me revient la Françafrique.
Pourtant y’a quelqu'un qui m'a dit...
{Refrain:}
De pas trop m’étaler sur la Françafrique,
C'est quelqu'un qui m'a dit de pas trop m’étaler.
Serait ce possible alors ?
OUI.
Il est tout à fait possible de s’étaler sur la Françafrique car ILS en ont fait une très jolie serviette
de bain pour l’été qui pointe le bout de sa queue.
Un sacré bon coup marqueueting, ça, Madame ! bien dans l’esprit des
4P, Pine, Pénis, Poireau, Popaul.
Vé, une authentique serviette de bien célébrant la Françafrique, ça mérite
une haie döner. Sauce blanche.
De toutes façons, Foccart
et Blanc-Francard c'est bonnet blanc (-Francard) et blanc bonnet (Christian)
... pas vrai ?
C’est un peu comme
ce truc-là, les gonzesses, qui discutent avec les chauffeurs de bus, c’est pas
banal ce truc, quand-même, non ?
Sans parler que
c’est interdit car dangereux, du point de vue du préfait, quand même, qu’est-ce
qui peut inciter une jeune fille, mâtin, à aller discuter avec le
chauffeur ? Se faire bourrer, sérieux ? Quels sont nos atomes crochus
avec les chauffeurs de bus, sérieux ? De quoi peut-on parler avec un
chauffeur de bus, sérieux ? En quoi l’avis d’un chauffeur de bus peut être
éclairant, sérieux (à part la nuit, plein phares) ? Qu’est-ce qui rend un
conducteur si désirable, sérieux ? y a-t-il sur ce tableau de bord un
bouton qui permet de faire affrioler la prospecte assise au 1er
rang, les jambes croisées si sagement, sérieux (youp la boum dans ma cabine
très spéciale, la prospecte, sérieux !) ?
Qu’est-ce qui a fait
que ce chauffeur n’est pas devenu carlos ghosn (celui qui touche 800 fois le
smic) alors qu’il dispose de cette qualité rare d’aimant à belettes, sérieux ?
[Ce qui est assez
drôle avec cette méthode itérative de construction de vachettes, du fait que ça
prend un certain temps, c’est que t’as des passages flamboyants écrits à la fin
quand la magie a opéré, que tu marches sur l’eau, le ciel, les autres
spectateurs … et des passages over laborieux du temps du début où tu amasses
péniblement les angles possibles, 1 à 1, step by step (keep keep on) espérant
qu’ils découvriront plus tard un cul ou un récit digne d’intérêt.]
Raibaud Part III : la mixité vue par la lorgnette de jean-lui, mon
voisin.
On avait quitté Raibaud (http://www.ades.cnrs.fr/IMG/pdf/CV_YR_janvier_2014.pdf),
hagard (st-jean), en train de critiquer et critiquer encore, comme un vulgaire
troll et dieu sait qu’il en arrive de partout, critiquer ces musiques
amplifiées comme quoi elles n’auraient pas fait assez d’alléchance aux
greluches, qu’il faudrait instaurer la parité dans les groupes voire la
multiparité si on veut pas accabler un seul des masculins mais l’ensemble du
gang, ou bien ce gaffeur qui ne pense qu’à rigoler où l’on pourrait s’entraver.
Trop laid !
Bon d’accord, puisque vous y tenez, on fait mouette moite au plaisir des dames.
A la relecture, me demandez pas ce que Raibaud vient faire là, c’est bien
simple, j’en sais rien. Ah beh si, c’est par rapport au titre, suis-je
bête ?
Raibaud, hagard (st-jean) avait pris un Trolley de la protestation, vers de
nouvelles publications au Sud, toujours plus au Sud, Jean-Lui, le joli cœur,
avait troqué sa protestation contre une gonzesse et lui avait emboîté le pas, gaillard
(st-jean), il aurait pu se destiner aussi à cette homosexualité publicitaire
(comme aurait sûrement, ou pas, conclu, vleq, du cul du lycée) mais il avait
choisi le parti de l’amour, le tortillard de l’amour pour aller en Normandie
retrouver sa belle. Il avait alors tout laissé en plan mais n’avait pas correctement
mesuré à sa juste valeur son reste à faire (ni la couverture de ces tests),
laissant son collègue « dans la merde », l’obligeant à compenser la
faillite de ce collègue inconséquent parti retrouver cette fille aux joues
rouges Qui donnent aux hommes de là-bas Qui donnent aux hommes de l'amour L'amour
made in Normandie.
Au lieu de laisser place nette, de manière cordiale et corporate. Une reste
à faire nul.
Entre autres prestataires qui avions pris sur nous, depuis le bug de l’an
2000, pour nous exonérer de notre humiliation quotidienne, on évoquait des
pénalités pour le contrevenant, si négligent, quand il reviendrait de
batifoler.
Ce jour de fête du travail (qui nous valut’ tant de Fetdut’, Hildepüt’), je
n’ai toujours pas reçu le précieux manuscrit de Normandie et je vais devoir
mettre sous presse afin de délivrer en temps voulu (just in time) la cuvée 2015
du très prisé Cidre des Vachettes rousses, blanches et noires.
Veux-tu bien ranger ta case ? avec, s’il te plait, d’un côté les reste
à faire, de l’autre, les reste à languir …
J’ai rassemblé dans ce paragraphe tous les concepts gênants de mon étude.
Comme un dossier encore plus secret que Françafrique.
J’avais noté « Lanceur d’alerte » sur mon carnet d’observation de
ces peuplades.
J’avais noté : « Critiquer / Crie Ticket … / Poinçonner / Poing
Sonné ».
Super !
J’avais noté : « Que penser du retour des Tribal Jam ? Pourquoi
diables, ces Tribal Jam sont si méprisés chez les blancs bec alors qu’il
s’agissait probablement du meilleur groupe bordelais des années 90 ? ».
J’appris, à l’occasion de cette nouvelle en(qui)quête que Bonnefond avait
trempé dans Tribal avant que de tremper dans Emmanuelle Ajon, sa nouvelle
compagne (actualité à vérifier tout de même, sous peine d’un procès
retentissant à Rohan (et ses cachots) !)
J’avais noté : « Que penser de ce couple Ajon / Bonnefond, un
saltimbocca claviers puis chargé de mission et une bella ragazza qui, malgré une
opposition de façade (« mais non, vous n’y pensez pas, jujube, ne vous
échauffez pas, c’est très mauvais ! »), semble dire oui, au fond
d’elle, quand un bogosse de piano bar lui fait la sérénade, fusse t’il de
l’autre bord ?
A la manière de ce modèle d’absence totale de tenue, cette française
moyenne, cette Filipetti (Aurélie pour les intimes), au bras de son ancien
secrétaire d’État UMP, Frédéric de Saint-Sernin, également ancien député de la
Dordogne et ancien président du Stade rennais football club.
J’avais noté : « Que penser de la disparition de Djangu Gandhal,
probablement le meilleur groupe bordelais des earlies 2K0 ? »
Ne faudrait-il pas que je me décide à demander carrément à Roger Biwandu s’il
voudrait pas monter un groupe avec moi ?
Si ça se trouve, il dirait oui. En pensant non ?
Et cette beurette là (ou cette argendue beurette là) qui vient pas taper
son incruste dans un anniversaire arty de la rive gauche …
et qui semble dire à Ralph Sabbath : « tu sais ? je crois
que je vais réformer le Collège. »
Là, in finez, je tombe pas sur le truc qui devrait vous mettre tous
d’accord … https://www.youtube.com/watch?v=W1WK5yiSEoc
C’est ça le talent !
Ce ne sont pas des lunettes… ce sont mes narrrrines!
[Le temps qu’ils se
décident enfin à objecter un truc bien senti, j’étais déjà passé au point
suivant, tel le pumagnol de berlin, leste comme le puma du yucatàn, craintif
comme le campagnol de La Châtre (36)]
Il y a
trente ans, Michel Leeb faisait rire la France entière avec son sketch «
l’Africain ».
Mais y
a-t-il eu d’autres exemples, dans l’histoire de l’humanité, de confusion entre
un objet (en « ette ») et une partie du corps (en « ine ») ?
Oui, Maître,
sans aucun doute.
Quelques
exemples, pour commencer, rencontrés dans l’«Histoire de France racontée aux
envahisseurs» :
« ce ne
sont pas des conquêtes, ce sont mes cannnnnnnines. »
« ce ne
sont pas des coquillettes, ce sont mes 2 pppppppppines. »
« ce ne
sont pas de viles soubrettes, ce sont mes bozniherzégovvvvvvvvvvvvvvvvvines. ».
« ce ne
sont pas des pique-assiettes, ce sont mes ainsicesoirdevvvvvvvvvvvvvvvinekivientkidddddddddddddine ? »
D’autres
exemples entre un objet (en « ette ») et un objet (« en ine ») ?
(quand toutes les parties du corps en
« ine » ont été sucées et resucées jusqu’à l’os.)
« Ce ne
sont pas des toilettes, ce sont mes latrrrrrrrrrrrrrrrines. »
« Ce ne
sont pas des navettes, ce sont mes spoutnnnnnnnnnnnnnines »
Marche aussi
avec des zanimos, au besoin …
« Ce ne
sont pas des crevettes ce sont mes sarrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrdines. »
Ou des
concepts …
« Ce ne
sont pas des niqueuenitêtes, ce sont des carabbbbbbines. »
Ou des
outils …
« ce ne
sont pas des grattoirs à lame de coupe lame de couteau pour les cheveux noga
baïonnette, ce sont mes clefs de 12. »
Ah beh non,
en fait, ça marche pas avec les outils … désolé.
Ou des
copines (pour dépanner) …
Ce ne sont
pas des Odette Est Josette, ce sont des Carrrrrrrrrrrrrine.
Je suis Bali balo
Oui alors là, on va pas trop s’étendre non plus, croyez moi.
D’ailleurs, de (travail de) mémoire, je crois pas qu’ils en aient fait non
plus de serviettes de bain sur cette imagerie des spécialités lyonnaises un peu
désuètes.
Ça veut bien dire c’que ça veut dire, non ?
Et c’est pas Google Images (pourtant bien informé, en général) qui me
contredira, lui qui me renvoie en 1ère proposition …
... à ma recherche "serviette de bain" "gastronomie
lyonnaise".
Comme pour noyer le poisson.
Comment voulez-vous que 2 concepts aussi voisins coâ bite ?
Comment voulez-vous que 2 peuples voisins coâ bite ?
Comment voulez-vous, enfin, que 2 extrémités que tout oppose, qui ne
semblaient pas être fait l’un pour l’autre, qui n’étaient en rien ce qu’il est
convenu d’appeler âmes-sœur, coâ bite ?
Surtout si tu tolères d’une main (à couper) de mettre à l’index (CAC40) les
petits travers (de porc) du djihadiste quand tu vois d’un mauvais œil (était
dans la tombe et regardait Caïn), in finez (hispanique), le persiflage (*) du
sioniste, bec et ongles sur ses acquis (bancaires)…
(*) qui n’a qu’un lointain rapport avec Le Persil Plage, petite cité
balnéaire entre Naujac et le petit Nice.
Ce serait un peu comme tolérer une émission d’extrême gauche sur le service
public, pendant des années, et ne pas mettre une émission d’extrême droite, en
face, dans la prog’, pour contrebalancer le désagrément procuré au français
d’inspiration Les Républicains.
Apparemment, ça n’a choqué personne, pendant des années. Il était normal
que la radio de service public soit de gauche.
Maintenant, on (ces truffes de journalistes) s’étonne d’être déconsidérés
et jugés complices des gouvernants, du « microcosme ».
« On ne nous renouvellerait pas nos cartes de presse alors que plus
personne (de moins de 75 ans) ne nous écoute. » : s’écria soudain Pascale
Clark, ulcérée, à son auditoire, dont Iron Man.
Juste une histoire de cührser.
Comme disait Thibaud (que je croyais alors unique en son genre) :
« à vot’bunker, m’sieurs dames ».
Bon, on pourra raconter ce qu’on voudra sur le côté rébarbatif de
l’Africain, sur son côté qui prend tout au 1er degré, qui dispose
naturellement de peu de degrés de liberté, comme dit le physicien blanc (de
tout reproche) à tout propos, mais pour une fois qu’on en tient un de bien
poilant, voilà, on va lui chercher des poux (*) dans sa crépunière si caractéristique.
(*) et aussi bien des outpoux que des pouxtsi, ce coup là, pas de
différence, premier rentré, premier sorti (FIFO) !
Pendant qu’on faisait des émissions sur les exploits de ce Che Guevara dans
la jungle du XVIème arrondissement, où Glücks et Fanfan donnait le jour, in
finez, à un nouveau « Fils de » qui briguerait toutes les bonnes
places au détriment des bamboulas, bicots et autres niakoués, toujours à quémander
un truc, pour pas avoir à mettre les mains dans le cambouis, comme tous ces
gens qui vont travailler, passé les périphériques.
On ne s’intéressait pas beaucoup, alors, à Cognacq-Jay, à ces noirs
rébarbatifs, besogneux, ces ersatz de Malcolm X (l’éloquence en moins) et leurs
états d’âme, envisageant alors une certaine couverture médiatique supérieure
aux problèmes des peuples riverains du Jourdain qu’à ceux des riverains du
Nihil ou du Congo.
Une tendance assez classique en France, donc, où le service public fait (et
assume !) des choix (shoahs, ouh putain !) audacieux dans sa
prog’ : l’extrême gauche au détriment de l’extrême droite, la shoa au
détriment de l’esclavage.
Enfin bon, vous pourrez toujours me raconter ce que vous voulez, pensées
uniques, mais Petit Poney, quand même … https://www.youtube.com/watch?v=fA4l6fbK_x0
Et après, enfin débarrassé de toutes ces pesanteurs, ces Restes à faire qui
lui collaient aux basques et l’empêchait de guincher, libre, désormais,
l’auteur fit place nette à la musique … Part II
Outre Raibaud laissé en gare, singeant, on avait également laissé notre
héros (moi) en plan plus précisément en recherche de plan … zicos.
Il avait envoyé un courrier à d’anciens amis (des amis d’après MIDI mais
des amis d’avant s’être rendu, corps et âme, aux réseaux locos d’Atahualpa).
Qu’il croyait alors être des amis, plus précisément. Quelle erreur !
N’ayant eu aucune réponse, il avait essayé les vieux plans de l’après MIDI
Vitaminic, Zinkinf, Audiofanzine et ce petit nouveau qui reprenait et
glorifiait tous ces concepts épatants des early 00’s, BuzzMyMusic. Avec cette
petite touche si prisée de concept 80’s, tout de même, concernant les 1
millions d’euros dérobés aux boat-people en train d’appeler à l’aide, en vain, au
milieu de la méditerranée, avant que de couler dans un ad lib interminable.
Probablement l’obtention des 1 millions par le structurant faisait écho à
la mise en avant d’une innovante médiation, apprendre au boat-people à se
structurer en sifflant aux corneilles en
faisant la planche, pour appeler un dauphin à sa rescousse (qui ne sera pas
« en course »). Et ce, en rythme !
Plus précisément, notre héros avait eu quelques réponses mais pas les
réponses qu’il souhaitait, un peu comme la gonzesse qui met indiscutablement en
valeur son cul et qui, saloperlipopottette, constate que, outre celui qu’elle
kiffe grave sa race, d’autres, plus dispensables, se rincent également l’œil,
au passage, se retournant même pour en avoir la bite nette.
Et oui, Madame
Derrière, Madame Gros Bugne, Madame Gros Boule, Madame Haut(-Brillons) les
fesses, oui, aussi, Monsieur Musiques Actuelles, Monsieur Pratiques amateurs,
Monsieur PoPaul Ressources, vous partagez un juste combat contre l’attraction
terrestre, un vrai problème, un vrai casse-tête :
Comment se prémunir
de tous ces tue l’amour (resp. de ces musiciens boulez), pourtant les seuls à
répondre à ton signal de détresse, oh ma détresse, ne touche pas à mes fesses
(resp. quand les musiciens sexy reprennent un maki ?).
...
Et là, sur ces entrefesses, un samedi matin, voilà t’y pas que Arnaud Duvergé vient s’installer en face de
chez moi et ça c’était un signal fort que le rock & roll allait revenir en
force (depuis, Arnaud Duvergé est revenu sur sa promesse d’achat – il avait pas
les thunes ! - et donc le rock est reparti végéter vers Cauderès /
Nansouty jusqu’à l’obtention d’un nouveau bellâtre).
Ce même samedi, j’avais reçu de Michel Boussier la véritable adresse mail
de Christophe Barbet avec qui ils avaient posé les bases (d’un succès monstre).
Le dimanche il (le héros (moi)) sût qu’il y avait ce local de répète rue
reinette (ou l’inverse) à 130 euros le trimestre pour 2h par semaine.
Bon je vous passe les détails, j’en parle à John, il est ok.
Après, il se passe un certain temps et un certain nombre de batteurs avant
que je (moi) décide de se passer des services d’un batteur (souvent
casse-couilles et bavard, dans la vie et dans le jeu) pour privilégier un
clavier.
Je me remémore (encore un travail de mémoire, ça va finir par péter le
bouzin) cet ancien Bonjour Chez vous, Lachaise, un mec enthousiaste, c’est si
précieux.
Il doit me donner réponse aujourd’hui.
Quelque jours après (après quoi ?), j’avais appris de la bouche du
psychologue nombrîiliste EricâAZ âAZbribus que l’Archevêque Gerâaldini était
malencontreusement DCD, cela n’avait aucun rapport avec le sujet (quel
sujet ?) mais méritait néanmoins qu’on s’y attardâaz un instant, comme à confesse,
invoquant pèle et mêle les augures,
les premiers, les meilleurs, les derniers, les mauvais, Félix Houphouët-Boâazgny
(pour le son et faire semblant de coller au sujet) et le sort coquin (pour tout
les reste).
Du fait du décès, l’utilisation de l’orgue fût décidée le jour même.
Et puis comment ne pas mentionner, dans cet article-dépêche, ce grand
ancien, ce baroudeur des musiques métissées, qui s’avère être à la croisée de
tous les chemins de la création musicale sur Bordeaux-Ouest (ou presque).
On serait presque tenté de dire que Mérignaque a abusER, dans sa grande
entreprise de vengeance ennemie et toute à sa cruauté-soleil, à l’encontre de
ces cloportes-soleil, sis entre pessacais et st-merdeux, a fait une erreur de
géolocalisation en plaçant le lieu dit Les 4 Chemins au carrefour dit des 4
Chemins (*) alors que les vrais 4 chemins se situaient indéniablement plus loin
vers la BA106 (avant le pied), au croisement du Cap où y avait un Macumba. On
pourrait parler de 5 chemins même si on inclut cette petite desserte, cette
pénétrante pourrait-on presque dire, qui part discrètement sur la gauche, en
patte d’oie (ou pâte doigt, je sais pas) qui file en loucedé vers le zoo de
pessac puis magonty pour tout dire, pour les riverains, un raccourci vers la
civilisation (le Pacha Club et sa fameuse Guinguette qui survécut au Macumba
probablement à cause de cette consonance plus avenante en ette, quiquette,
bistouquette, minette que celle en ba coup bas, cul bas, serge laba, tout
mousse mousse t’en va là bas, là bas n’y vas pas y’as des tortues y’a des
limaces, des incontinents, des adidas, des soma riba … ah beh oui, voilà, c’est
ça que j’dis, le baroudeur, c’est de ça que je voulais parler avant de me
perdre dans ce lopin de terre perdu dans la pinède, entre lapins d’aéroport et
Croix d’Hins (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Croix-d%27Hins),
pour ceux qui se sont méchamment égaré (bien trop haut !).
Soma Riba, le Gonze, le Directeur Artistique du Macumba et fondateur du
Collectif Métissé par la même occasion.
Mais si, Soma Riba, vous savez ? Enfin. Avec DJ Fou. Vous vous
rappelez pas ? Faites donc un TRAVAIL DE MEMOIRE, jean-foutres !
(*) comme la plupart des croisements, rappelez vous, mais à Mérignaque,
voyez-vous, un rien les étonne. Forcément.
Raisons de plus pour acheter ces Double Nelson qu’un TRAVAIL DE MEMOIRE
énorme a extirpé des volutes de stupre, d’alcool et de cigarettes du passé nez
grillé ...
24 jan 2015 09:21:32 CET Nº de transaction : 2RB461033T880654K €7,00 EUR à
double nelson. (yorcess@hotmail.fr)
Ce post ayant été commencé 2 mois plus tôt, il fallait absolument que je
bisse ce Double Nelson par un artiste authentiquement africain ayant choisi la
langue du colon (eH bEH, mON cOLON !) afin de lui plaire et d’obtenir un
avantage.
J’ai vainement cherché un artiste français keublahblahblah audible et comment
dire, beh, j’ai du remonter un peu dans le temps pour trouver un truc qui pèse
pas 2 tonnes, plombé par un trop gros TRAVAIL DE MÉMOIRE qui laisse des trâces
dans le slip …
Joséphine Baker, voilà, pile poil !
De mémoire de poilu, on avait jamais vu un si beau cul ! (les critères
d’appréciation de l’époque étaient assez proches de ceux d’aujourd’hui.)
Par contre, je ne voulais pas restreindre mon enthousiasme pour Joséphine à
quelques notes si souvent peu télégéniques et qui retranscrivent si
imparfaitement la beauté d’un cul et ses différentes chutes.
Je préférais, à tout prendre, quelques images, même très dépouillées. Voire
en gros plan.
Je choisis donc cet ouvrage … http://www.erudit.org/revue/as/2006/v30/n2/014114ar.pdf
Ne tirez pas de cette acquisition à titre
gratuit les conclusions en me retirant de la vie politique que je n’envisage
pas, comme ces jeunes adeptes du binge drinking dont on parlait à l’instant
avec l’ancienne fondatrice du Babylone, rue de la Rousselle, de débourser le
moindre centime pour un travail en relation avec ce continent africain (le
jeune de tout à l’heure n’envisage, lui, pas de raquer sa conso qui inclut la
TVA aka l’appartenance à la collectivité ainsi que le salaire du serveur aka en
emploi pour tous).
Gardez-vous bien de voir en moi un de ces sinistres individus des
Chartrongzzz ou de Nantes qui s’enrichirent de leur passé négrier allant même
jusqu’à collaborer lors des derby de l’atlantique en alignant un onze
exclusivement composé de noirs, rapides et forts mais souvent dépourvus
d’intelligence taquetique et tequenique.
Bon du coup, pensant rien trouver dans le ghetto, je m’étais rabattu sur un
bon vieux truc franchouillard, au poil, de Toulouse, Aqua Serge du fait de ce
Serge, prénom préféré des capitaines d’équipes de France de rugby (celui qui en
trouve 2 exemplaires aura gagné 286 exemplaires du 1er disque de No
Non Nein malicieusement intitulé « c’est pour faire écouter notre
musique »).
21 avr 2015 16:15:58 CEST Nº de transaction :
2M371067D736311C
Vous avez envoyé un paiement de €17,02 EUR à Almost
Musique. (contact@almost-musique.com) A l'amitié, Limited Edition Compact
Disc by Aquaserge
Avant dernière minute : ay me glisse à l’oreille le projet de cet
épatant claviers découvert au sein des très prometteurs Tabloïd John, du temps
des très prometteurs Barbises également disparus, il s’agit de ArielAriel et ça
promet !
Rien à vendre pour l’instant … jetez une oreille par là … https://soundcloud.com/arielariel/comme-toi
Dernière
minute : Suis-je bête, il suffisait d’aller chez son crémier habituel,
chez Tichadel euh non chez Tricatel pour trouver son bonheur … cet étrange
Chassol qui justement se moque de ses origines comme de sa 1ère
conga.
Order: #000601 placed on 04/25/2015 15:28:19 Payment: PayPal Reference Product Unit price Quantity Total price
TRICDFR046 CHASSOL Big Sun - Format : CD/DVD 18,00 €
Happy end : Et
puis y’a cette copine à Laura Chancelé, keublah, revue à la Taupi, jeudi dernier,
à l’aise comme un poisson dans l’eau.
Elle avait fait le
bar aussi, pour la fête de la musique, l’an dernier, place Laurent euh Fernand
Lafargue, pour la scène Bordeaux Rock.
A la fraîche.
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