[afin de rendre plus lounge, dorénavant, la lecture de mes édifiants écrits à mon unique lecteur, Anonyme, toujours au centre de mes préoccupations, et suite à quelques retours désobligeants vis-à-vis de ma tendance naturelle à digresser, j’ai décidé d’introduire un méta-langage de type procédural non récursif qui permettra au lecteur de sauter des paragraphes entiers, certes amusants mais dispensables, sans perdre une miette du raisonnement parfait du virtuose, parfois parasité par une nature potache inhérente à tout génie. Ce méta-langage se présentera sous la forme classique d’instructions d’aiguillage du type :
[SI … ALORS GOTO … sinon FUCK] ou plus simplement
LE CORAN D’TA MERE, DEGAGE SINON JE VAIS TE FUMER.]
On discutait hier, avec Smith, à la tanière, de l’utilité d’un soutien institutionnel dans la carrière d’un artiste (en musiques actuelles puisque c’est le domaine où nous aurions adoré être, chacun dans son pupitre, les maîtres du monde) et, bitoche dégustant pour l’un, tartanière se pourléchant pour l’autre, nous arrivismes à la conclusion inéluctable que plus un artiste était soutenu localement moins il avait de chance d’y arriver.
De quoi ? Mais de quoi donc, bordel de dieu ? De quoi vais-je pouvoir parler dans ce foutu blog si les funestes grigous que je voulais dénoncer (et surtout leur piquer leur place au chaud) ont tout intérêt à ne rien faire pour la réussite des projets de nos valeureux artistes ?
Ainsi, comme disait je sais plus quel visionnaire cynique : « Il n’est pas de problèmes assez urgents qu’une absence de solution n’arrive à résoudre. ».
[SI NON intéressé par bavardages intempestifs ou Corrèzophobe ALORS GOTO PointReprise1]
Je sais plus qui, après un détour rapide par chez wikivousavez, s’avère être Henri Queuille, homme politique oublié des IIIème et IVème République. Probablement pour une totale absence d’actions significatives …
On pourra noter que le « le petit père Queuille », comme on aimait à l’appeler affectueusement alors, est originaire du même département que notre tout nouveau président « normal » mais nul doute qu’il s’agit de leur seul point commun, avec ce «païs», qui restera, d’après WikiDon’tLooseMyNumber, comme le « … symbole de l'inefficacité et du discrédit de la IVe République, empêtrée dans le régime des partis et, plus généralement, d'une certaine conception de la politique placée sous le sceau de l'impuissance fataliste et cynique. ».
Peut-être que ce « petit père Queuille » est également à l’origine de cette expression très usitée dans le libournais « fais keye » dont nul ne connaît exactement l’orthographe mais qui pourrait tout aussi bien s’écrire « fais queille » où le morne « euille » typique de ces rudes contrées de mineurs incultes et durs au mal, élevés à la patatasse bouillie et à la vinasse aigrelette, se serait transformé en « eille » au fur et à mesure qu’ils avançaient vers l’ouest et la connaissance, vers le soleil et ses contrées rieuses où l’on se délecte de chips délicats et de grands crus trop boisés.
Peut-être, en effet, s’agit-il d’un ultime avatar de cette conquête du Libournais par les Corréziens, au début du siècle dernier, avec tous ces négociants en EIX (mouEIX, janouEIX) qui firent main basse sur le négoce, un peu à la manière de ses groupes de rock de Bordeaux en ST partis à la conquête du monde mais qui, malheureusement, durent rentrer au bercail suite à une fâcheuse bielle coulée, juste après St-André de Cubzac.
Peut-être étaient-ils, eux-aussi, partis trop tôt ? ou trop tard ? comme nous le verrons (ou pas, si j’oublie en route) à le fin de ce post probablement interminable.
[PointReprise1]
[SI NON intéressé par redites et atermoiements socialistes ALORS GOTO PointReprise2]
Mais, essayons, maintenant, d’introduire un peu de méthode dans ce cloaque du raisonnement réservé aux musiques actuelles depuis des lustres et des flonflons (ça remonte bien avant que la Filipetti vinsse démentir le Cahuzac au sujet de la pub sur Antenne2, t’as qu’à voir !).
Livrons nous céans à un authentique travail de recherche sociologique, et non seulement, comme d’hab’, de recherche de noises (sans rapport avec cette musique bruyante et « émo », essentiellement jouée dans le Libournais où l’on fait queille en général, donc, sauf quand il s’agit de mettre son ampli à fond les gamelles).
[PointReprise2]
Livrons-nous, sur le champ, à un rapide inventaire de ce que le Porc de la Lune a produit de + remarquable dans ce qu’il est convenu d’appeler désormais les musiques actuelles depuis que les troupes du Grand Claude livrèrent le disque au rama (la frangipane au rama eut aussi remarquablement fonctionné.).
Les Tocards (Copyright © Bazzani 2002)
Commençons par le commencement et par ce qui n’a pas fait florès dans le landerneau.
Au début, il y eut le Big Bang, l’Idée, l’Eureka, l’Eruption, le Krakatoa.
Qu’est-il devenu de tous ces espoirs méchus de père noël des rockeurs ?
Ces Zombie Eaters, ces Nihil, ces cobayes de l’accompagnement, qui ont tracé leur route, au vent mauvais, presque à loilpe, sans même une simple mallette pour s’éclairer, ces ancêtres qui n’ont ni connu ni même entraperçu la Ressource.
Nihil, nibe, que dalle, balpeau, peau d’zobi.
Du côté de Mes Chouanes, il y eut apparemment un process similaire (qui fût preums ? qui fût œuf, qui fût poule ? mon Ricou ou mon Didou ?), une autre pépinière moins durable qui tenta de faire s’envoler vers les cimes des Oisillons tombés du nid (info certaine), et probablement des Moon Hop et/ou des Rageous Gratoons et/ou des Aspo et/ou des Hurlements, de Laids Oh et/ou autres formations néo-réalistes de ce proche local de la rue Tauzia dont j’ai oublié le nom.
Dans son admirable torche-Q en parchemin de Guyenne, déclamé à l’occasion de la présentation de sa toute nouvelle catapulte multipaires numérique pilotée de main de maître par le madré Maréchal Röder, le Saigneur Rouxecoule de Barbey évoque furtivement 2 phénomènes ayant réussi aux Amériques. Reconnaissant, bon joueur, n’y être pour grand-chose.:
(vous noterez, au passage (du mur du son), le soin apporté par l’auteur à ce qu’il est parfois convenu d’appeler, à juste titre, une bafouille)
[SI NON intéressé par l’Histoire, la Grande, les croisades, les romans de Capes et d’épées, les gasconnades et autres bourre-pifs à la Spanghéro (« heureusement qu’il y avait le nez sinon je la prenais en pleine gueule ») ALORS GOTO PointReprise3]
[PointReprise3]
Nihil, nibe, que dalle, balpeau, peau d’zobi.
Rien à signaler non plus du côté de cet OARA du théâtre Molière cher à Félix de Rochebrune et Brigitte Lahaie, en pèlerinage vers la MECA de ces bénéficiaires et autres médiateurs reconnaissants : Quid de cet admirable Lekuk qui découvrit Terrain Hostile, de son compère langoureux Marc Delmas qui découvrit la Dolce Vita, de ce charentais énervé de Traumat, du lunaire lot & garonnais David Buhatois, de ces frères & sœurs de la haute contre, Calame ?
Nihil, nibe, que dalle, balpeau, peau d’zobi.
Les Bons
Mais, plutôt que de s’appesantir sur les petits loupés de nos collègues bordelais restés en rade de Brest, intéressons nous plutôt à ceux qui ont crevé l’écran (que les draps s’en souviennent) jusque la capitale (vu le niveau médiocre de la musique en France, n’envisageons pas de miracles internationaux, sauf à mentir, au travers d’un prisme déformant de chez optique 2 mi-i-ille).
En vrac (et avec les maigres infos que j’ai ou que j’ai brodé … je suis en vacances et j’ai pas internet et j’ai pas qu’ça à foutre non plus) :
- Zaz (star néo-hippie à chiens) : a fait le CIAM puis des années de baloche dans le Sud-Ouest.
A gardé à Bordeaux une amie danseuse par l’entremise de laquelle le vénérable LeQ (du lycée de Talence) aimerait bien y fourguer une ou deux ritournelles à l’attention de la dame prêcheuse, entre autres choses.
Jamais mentionnée dans les dossiers de subvention,
Petits papiers, Post-it’s ou TorcheQ’s des institutions …
- Claire Denamur (signature 3C) : personne n’en a jamais entendu parlé dans le microcosme r&r du bled (IVème arrondissement de BX). Ni même chanter sa belle voix rauque à la Colette Magny, en bonne, à travers une fenêtre XVIIIème, pas même Yves Simone qui a pourtant pas les yeux dans sa poche.
- Luke & Dombrance : croisèrent à Montesquieu la cliquaille Transmission mais sans arriver à intégrer cette fine équipe par manque de peps et d’esprit ce qui leur permit indiscutablement d’être en osmose avec le grand public qui n’est pas là pour rigoler non plus …
Jamais mentionnés dans les dossiers de subvention,
Petits papiers, Post-it’s ou TorcheQ’s des institutions …
- The Shoes (Reims) / The Film, Benja & Fatalis (BX): débarqués un jour de Nancy avec quelques amis bordelais, de retour d’une école de musique fort prisée (plus que le CIAM, t’as qu’à voir !), pour « rester encore un peu ensemble », firent leur gammes à Bordeaux dans The Film et divers Side-projects comme on dit dans les mondes parallèles, avant que d’aller conclure dans leur ville d’origine qui vit le sacre de Charles Mingus.
A noter que le frère de l’un est resté à Bordeaux, sans trouver le succès, malgré un groupe de fort bonne tenue, Carabine. Comme quoi … Comme quoi, quoi, Dugenou ?
- Hangar, groupe de baloche du Ferret qui, par une filiation « Bartherotte », a su tirer son épingle wah-wah du jeu.
A noter que cette filiation n’a rien à voir avec le batteur des Noix des Iles cité plus bas. C’est plus subtil.
- Eiffel / Romain Humeau : plutôt originaire du 47, Lavardac si je ne m’abuse, ces gonzes & fille ont progressivement oublié en chemin (entre Pont Ste-Marie et La Réole, exactement) leur qualités de composition initiales pour essayer de prendre la relève d’un genre de rock épique qui eut un certain succès Barrière St-Genès et à Arlac, sous les 1ères et 2èmes cohabitations. Tostaki ce clébard qui hurle à la mort ?
Un peu soutenus à leurs débuts par le Florida, les Eiffel, si je ne m’abuse, mais …
Jamais mentionnés dans les dossiers de subvention,
Petits papiers, Post-it’s ou TorcheQ’s des institutions …
- Edgar de l’Est, Cresus : déclinaison en chanson du rock épique susmentionné par d’obscurs poteaux des primo-vedettes, un peu comme Souxsie embraya sur les Pistols pour finir dans le Gers, le pays qu’est beau comme un …
- Adam kesher: tentative de all stars band du bled dans un genre resucée de trucs péchus/méchus à la mode qui heureusement n’a pas fait long feu.
Le chanteur et le gratteux méritent une 2nde chance à la Roue de la Fortune, s’ils retrouvent un peu de leur Metronom charisma.
- Gojira: admirable combo de metallos landais, probablement le groupe du coin qui a le plus le niveau international et qui sont de +, de ce tempérament « normal » dont on fait les présidents, malgré une jofo-descendance de l’un d’eux.
- Cet affreux duo en fusion landais, rejeton des affreux Wolfunkind, dont j’ai oublié le nom et que j’irai même pas rechercher, de peur de devenir comme eux.
Jamais mentionnés dans les dossiers de subvention,
Petits papiers, Post-it’s ou TorcheQ’s des institutions …
- Kap Bambino: duo electro-garage discret. Par conséquent, jamais vu, ni discuté. Coiffeuse occasionnelle du ténébreux yann leto redondo y cuidrado avant son retour au bercail ibérique, sous des flonflons flamencuches à la johnny cash.
- Ocelle mare: moitié du merveilleux Cheval de frise qui fit des plantes grasses aux potagers nature mais je n’en dirais pas plus, de peur de me faire taper sur la gueule.
- Gangpol und mit: groupe electrogène qui naquit (si je me souviens bien) sur les cendres encore fumantes du Zoobizarre et qui fait son petit bonhomme de chemin, depuis, sous les sunlights des dance-floor ou dans les centres d’art, je sais plus trop.
- Olivier bernet qui reprit un jour divinement Abba avec son compère JFG, à l’heretic, et qui ferait dans les musiques de films, maintenant, si j’ai bien tout compris.
Jamais mentionnés dans les dossiers de subvention,
Petits papiers, Post-it’s ou TorcheQ’s des institutions …
- Magnetix, fleuron du garage bordelais, à prendre avec des pincettes.
- Tender forever: self-made woman qui m’avait un peu fait, Odette, du rentre-dedans, à ses débuts, artistiquement, avec son duo Garrisson Rocks et que j’avais un peu négligé, pas convaincue, avant qu’elle ne s’envole pour les states et réussisse à plate couture (et qu’Odette aille se faire foutre) …
- François & the atlas mountain : j’en suis toujours pas convaincu mais il s’agirait de ce petit mec de 19 ans, tout timide et mignonnet, qui trainait avec lespès et louise jusqu’à une fâcheuse méprise.
Jamais mentionnés dans les dossiers de subvention,
Petits papiers, Post-it’s ou TorcheQ’s des institutions …
[SI NON intéressé par les choses du passé ALORS GOTO PointReprise4]
Plus loin dans le temps, souvenons-nous, émus, de …
- ces Noirdès qui influencèrent bien des forçats du rock à la framçaise … ni trop tôt, ni trop tard, simplement trop, beaucoup trop.
- ce Serge Lama (de Bruges, face à la Palud et aux maraîchers, si mes indics des portes du Haut-Médoc sont fiables) qui alimenta de manière permanente les karaokés et autres télé-crochets avec ce truc, « Je suis malade » qui file effectivement la gerbe, à l’auditeur …
- ce Marcel Amont dont je me rappelle environ de rien sinon qu’il était assez poilant …
- de ces Marcel Merkes et Paulette Nerval qui enthousiasmèrent le Théatre de la Place de la Comédie que même les + anciens bordelais ne savent pas situer et pour cause, elle existe pas.
Jamais mentionnés dans les dossiers de subvention,
Petits papiers, Post-it’s ou TorcheQ’s des institutions …
[PointReprise4]
Les Nouveaux Pragmatiques
Certains sentant le vent de la consécration internationale leur passer sous le nez et/ou ourdissant, au loin, les trompettes de la renommée s’éloigner, passé les boulevards, usèrent de stratagèmes pour se faire un petit bizness pépère à 1 ou 2 jours par semaine et une rémunération correcte, à faire le troubadour.
Un 1er cas remarquable est le cas Kim.
L’homme à la coupe au bol (genre le Laffite de son Pescarolo si vous voyez le genre de toison mythologique que je fais allusion) a construit sa réussite au forceps : en accumulant les performances et les micro-cachets, souvent au chapeau, il réussit à coup de 45 mn par ci, 25 mn par là à cumuler 800 heures et des brouettes sur les x derniers mois glissants pour toper l’intermittence que les amerloques don’t believe it et que les limitrophes viennent en profiter, ni vu, ni connu et qu’après on est dans la merde avec la mère merkel.
D’autres justement, qui ont été, un temps, soutenus par l’institution, les + patients, les ceux qui sont capables de rester des journées entières, assis, à rien foutre, à boire 1 (et 1 seul) café et discuter de choses et d’autres (à « pétasser », en quelque sorte), jusqu’au soir, ces ceux ont réussi, en restant là, immobiles, des années, à gratter 2 ou 3 bricoles institutionnelles : un petit concert en prison pour la toussaint, une scène d’été par ici, une scène d’aquitaine par là, une parenthèse en musique au creux d’un séminaire territorial sur le développement du rable, un cours de composition sérielle au collège Gérard Philippe à Pessac, une résidence à La Bastoche, de style Cage à Lapins (foutrement du rable, donc !!!) XXIème, quelques travaux de jardinage chez un élu à la main verte, …, réussirent à arriver au bout du bout du donnant-donnant à toper ces p… de 800 heures et leurs brouettes susmentionnées.
Les + célèbres de ce courant dit des Nouveaux Pragmatiques, j’t’en passe et des meilleurs : Petit Vodo (j’ai ramené une fois de Paris, d’un concert Bx Rock, le gang de Petit Vodo et, dâme, que ce fût long !), Caumont (caca) & Luca (ca) Costa, Jérôme Martin alias M. Martino alias l’Instituconteur alias …, plus récemment Les Wackies, M. Gadou et sa secrétaire (les meilleurs et de loin, il va sans dire), …
[Point de reprise 999]
(point de reprise remarquable en ce sens qu’il n’est jamais mentionné nulle part dans le post et donc qu’il ne sert strictement à rien)
Je sais plus trop ousque je voulais en venir avec ce post donc je propose d’en rester là.
Et sinon, qu’est-ce que je leur sers en chanson, aux gonzes ?
Ouais, un p’tit Vassiliu, c’est pas mal comme idée, ça, pour la rentrée dans le rang.
Ah le pied, le pied, lepiedlepied …
Pierre Vassiliu / Le Pied / Commande passée le 1 septembre 2012 / N° de commande 403-0901903-6068350 / Total EUR 0,99
Annexes
Annexe1 : Et pourquoi donc voudriez-vous que je taise cette thèse ?
Tant que je vous tiens, je ne saurais trop vous conseiller la lecture de cette thèse qui ne succombe jamais à la tentation de la langue de bois et, oh blasphème, ose émettre des hypothèses, éventuellement tordues, nulles et/ou non avenues, mais ORIGINALES. Et s’attaque à des tabous du milieu : la REUSSITE, …
Annexe2 : Trop tôt ? Trop tard ? la tête à Toto ? la tête à Pommard ?
Correspondances avec l’abbé Smith de Castets en Dorthe et le Chevalier Aymeric Lux de Monségur de Bordoroques, an de grâce 2011.
Je suis allé voir norman et … effectivement, c’est bien.
Comment donc expliquer ce succès alors que le truc est de qualité ?
Mon explication est que, comme évoqué hier soir, ce gonze colle totalement à son public (comme sarkozy, comme kameni, comme bono, …). Sans effort, sans effet, sans malice … c’est un ado attardé et les lycéens (les 2 millions qui font que ça marche), son public, sont rassurés par ce mec qui refuse de rentrer dans cet infect âge adulte et qui a trouvé une combine pour rester le + longtemps possible insouciant et fun.
De +, il reste sur des sujets bien ado comme les petites incohérences du quotidien qui meublent les conversations des ados en butte avec le train-train des parents … des genres de marronniers pour les ados (un peu comme le père noël de la poste à libourne pour les journalistes provinciaux médiocres).
C’est le « right man at the right place (in the good timing) » comme disent les amerloques qui en connaissent un rayon sur ce qui va marcher et ce qui relève du tocard cher au grand bazzani.
Pourquoi les vidéos de smith (qui se rapprochent pas mal de ce norman) n’ont connu qu’un succès territorial microcosmique ? peut-être un poil trop 2nd degré, un poil trop humour de zicos, un poil trop adulte pour ces lycéens qui font la pluie et le beau temps des trucs qui marchent ou pas, un poil trop tard (fallait faire ça y’a 10 ans, smith !) ?
Tout est une question de timing, il me semble (comme en zic, tout n’est qu’une question de volume) : si l’on écoute les vieux tromblons rouillés du rama, jeannette, estebe et autres noix des iles, c’est toujours trop tôt.
En réalité, c’est toujours trop tard sauf pour ceux qui remportent le jack-pot.
Annexe3 : Explication de texte / Jeu de société
Afin de mieux comprendre l’universelle portée sociologique de cette affirmation du bon sens populaire :
« Celui qui vient en ami arrive toujours trop tard et repart toujours trop tôt »
Remplacer « Celui qui vient en ami » par :
1. « Le succès »
2. …
3.
4. à vouuuuuuuuuuuuus (comme dit si mal mylène farmer)