Odette Est Josette,
un peu gênée aux entournures, ces derniers temps, toujours à rebondir et à
vouloir gratifier ses proches plus que soie-même de quelques présents
hosteinsibles, voit en tout une rémunération d'appoint, de préférence dans tout
ce qui ne mettrait en péril son teint de rose ainsi que le blanc immaculé de
son dessous de bras (où un ministre pourra coller, à tout moment, un dossier,
sur le perron de l'élysée, sans risquer un « ta braguette » méprisant
euh non … un taubiragate domtom, magnifié en son temps par une Petula Clark alors
au sommet de son art).
Alors, oui, comment
ça va se passer ce nouveau service à valeur ajoutée (SVA) ?
Comment aider efficacement
le béotien (voire le mongolien) à mieux appréhender ce qu'on nous donne à lire
dans ces nouveaux ouvrages bobos des contré-es gentrifié-es des chartrongues
(sauf jeanfifor, on est d’accord !) ?
Ce mois-ci,
décryptons l'article sobrement intitulé Jardin secret dans le Junkpage #10 de
Mars 2014 (pour les historiens, le mois qui vit la 1ère déroute du Maréchal
Feltesse qui fut sèchement renvoyé dans la palud de Blanquefort, quelques
années encor. Mais ça c’est une autre histoire !).
http://journaljunkpage.tumblr.com/post/78424865827/jardin-secret
Eventail à thermomètre ©
Mairie de Bordeaux, L.
Gauthier
Le musée des Arts décoratifs célèbre les objets tirés de
l’intimité des XVIIIe et XIXe siècles. Quatre questions à
Caroline Fillon,
commissaire de l’exposition.
Propos recueillis par Marine Decremps
Comment est née l’idée de cette exposition ?
Nous avons eu l’idée de
monter cette exposition suite à la (re)découverte, dans le cadre du premier
récolement1 décennal, de petits objets du quotidien conservés
(cachés !) dans nos réserves. C’est
un travail de fourmi, mais qui nous permet, au final, de mieux connaître nos
collections et de les valoriser. Manipuler ces objets, cela revient déjà à
partager une forme d’intimité avec ces derniers. Nous avons souhaité que nos
visiteurs puissent en faire l’expérience.
Bon,
c’est bon là, hé, les merdes qu'il y a au fond du hangar là, depuis la
st-glin-glin, on les met à la décharge, oui ou merde ?
Va
falloir se décider maintenant, les gaziers !
Ou
alors aux encombrants, je sais pas moi, hé !
Ça
va finir qu'on aura plus un endroit pour poser les olives à l'apéro, ça
suffit maintenant, hé !
Paire de souliers. ©
Mairie de Bordeaux, L.
Gauthier
Qu’ont-ils appris sur les habitudes de leur époque ?
Nous
avons pris la question dans l’autre sens en nous demandant pourquoi, dans un
contexte déjà connu, tel objet en particulier avait été commandé ou utilisé, et
quel message il était alors destiné à faire passer. Je m’explique : nous
connaissons tous l’usage, à l’époque, des éventails, des clochettes de table,
des carnets de bal. Mais pourquoi tel éventail a-t-il été équipé d’un
thermomètre ? Pourquoi la centaine de clochettes
de table que nous conservons dans nos réserves représente-t-elle un véritable
catalogue de mode avec des personnages tous plus caricaturaux les uns que les
autres ? Pourquoi tel carnet de bal
a-t-il été dissimulé dans une boîte en ivoire gravée à l’or du mot « souvenir » ?
Ça pue,
en plus, ces saloperies !
Bon
j’ai une idée, on a qu’à les mettre dans le musée et faire accroire qu’il
s’agit d’un authentique trésor.
Bonnet de toile. © Mairie
de Bordeaux. Photo, L.
Gauthier
Comment la scénographie encouragera-t-elle le propos de
l’exposition ?
La scénographie, à l’image de la thématique, se veut
intimiste et discrète. Nous avons choisi de présenter ces objets dans les
salons XVIIIe de l’hôtel de Lalande, qui abrite le musée, afin de
les contextualiser. La plupart des objets sont présentés dans des tables
vitrines, les mêmes que celles qu’un particulier pourrait utiliser pour
présenter des objets ayant appartenu à sa famille. Elles sont équipées de
loupes qui permettent de distinguer les détails et d’évoquer symboliquement
cette intrusion dans l’intimité des foyers de l’époque.
Aidez-nous
!
Volez-les,
ces merdes, là.
Mais
si, vous arriverez bien à les refourguer ! dans un vide-grenier ou une
action caritative à la noix des iles.
Allez,
soyez sympa, merde !
Ou
alors foutez-y le feu. Carrément.
Qu'on
en finisse une bonne fois pour toutes avec ces merdes là.
Place
aux jeunes, merde !
« De l’intime ou l’art de vivre au
quotidien aux XVIIIe et xIxe siècles »,
du 5 mars au 19 mai, musée des Arts décoratifs, Bordeaux.
C'était
Odette Est Josette, Médiatrice Culturelle Officielle de toutes les paluds,
celle de la 89 comme celle des maraichers d’Eysines, que Serge Lama, enfant,
dans sa maison humide et délabrée en bordure, aimait à regarder, pendant des
heures, au lever, en petit déjeuner, rechignant à aller à l’école à Eysines la
Forêt.
Et
qu’est-ce qu’on leur sert, en guise d’ambiance musicale, à ces néo-médiatisés
culturels et autres lobotomisés, amusés, anisés …
Tiens
ce François et ses atlas mountain, qui, contrairement à jacques-ernest, chante
en français (ah oui, j’avais oublié de te dire jacques-ernest, chante en
français, merde !) et serait ce petit jeune homme timide qui trainait avec
David hifi-gram et Louise au début de ce siècle mal emmanché … et qui relève un
peu le niveau d’emmerdement constaté avec ce mouvement néo-folk, chiant comme
un jour sans pain.
Votre commande
du samedi 15 mars 2014 Numéro
0N8Z0L3Z80JPI Vendu par Fnac.com Piano
ombre Frànçois & the Atlas Mountains (CD album) 14,99 €
Spécial
dédicace pensée à david qui traverse une passe difficile.
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