Putain, la colombienne, c’t’année, elle est bonne, hé !
Charlotte (Laubard)
a repris ses études pour décrocher un pur job. François (Pouthier), également,
a des velléités d’obtenir un emploi correctement rémunéré (enfin !),
quitte à perdre un peu en intérêt sociétal. Eric (Chevance) travaille
bénévolement pour Vincent (Feltesse) qui court à la catastrophe. Dominique
(Pitoiset) a quitté piteux la
Place Renaudel pour laisser la place à une Catherine
(Marnas), Cath’ dans la suite du récit, marseillaise pur jus qu’un sang impur
avait mis du Plus belle la vie
AOC dans sa cuvée Capitale Erythréenne de l’Apiculture,
vieilli en fûts neufs (au sens pas des pantalons de saltimbranques, de trous
verts, au sens classique quoi, des barriques, des tonneaux, des tronches de
vignes, tu vois ?).
Et sur ces
entrefaites arriva, avec son poncho bariolé très cosy, sur un petit âne
mexicain amusant, María Inés Rodríguez.
Tout ceci mis
joliment en musique par Bela Bartok (un artiste de renommée internationale,
bien entendu) et son fameux La Cucaratcha en Ut mineur.
Et Starck à
l’adecco, bien sûr. Toute une gamme de pibal pastels croisant parfois les plus
beaux bluecub bollorés.
Et Marie-Laure,
revenue à la com, son livre n’ayant pas rencontré le grand public.
Papa, ça sert à quoi le rama ?
Lors d’un meeting en
appartement, nouveau procédé « au plus près » de ces « Grands »
électeurs-prescripteurs, par défaut de Grand Public, imaginé naguère dans le
secteur des Musiques Actuelles, au début du siècle, lorsque le nombre de
spectateurs devint subitement inférieur au nombre d’acteurs, du fait d’un
nombre trop grand de gens voulant en croquer par rapport au nombre de gens
voulant en raquer … Feltesse, donc, alain star de ce Mozzart, petit génie précoce de l’art
politique, parti dès 5 ans en découdre à BlankFord, mais qui eut du mal, à
l’adolescence, à fédérer le Grand Public, aurait, pour lancer les débats et
pour rallier à lui les derniers va-t’en-guerre du socio-cul, claironné un tony
truand : « ça sert à quoi, au fait, le RAMA ? », déjà
entendu, il me semble, dans une autre salle de spectacle.
Sur ce, quelques
scouts institutionnels, à la solde de ces fripouilles qui institutionnaliseraient
père et mère, d’après un ami rebelle dépêché de justesse sur le meeting
intimiste, et qui peut pas blairer tous ces suce-boules (sic !), auraient
pris la défense de cette daube, dans le langage en bois (de mes roustons) qui s’accorde
si bien à la vacuité (lointain cousin du Roulez bourré des regrettés Charlots,
à ceci près qu’il a rencontré, LUI, le Grand Public).
Et puis, c’est tout.
Point de réponse
donc pour l’élu d’appartement qui repartit dépité (alors que l’élu des hôtels particuliers
ou des chartreuses XVIIIème repart, plus généralement, député), dépité donc, avec
sa question sous le bras, comme un dossier à la sortie du Conseil des
Ministres, et son acné rosacée juvénile naissante.
Toc, toc, soudain, à
ma porte cochère, en forme d’adresse IP, arrive le messager sur son cheval Protocole
niveau IV (Transport).
Il dit : tiens,
hosteuns (© Copyright Louisao le Liburné 2013), si t’as rien à branler
aujourd’hui, jettes donc un œil à la Newsletter du Rama.
Céans, je me jette
sur cet objet de désir, tous appendices turgescents, afin de découvrir
émerveillé de quel bois s’était chauffé Rama (comme son lointain cousin Rahan,
naguère, dans Pif Gadget), ce mois ci.
Et surtout ! quel
était le Reste à faire à fin Décembre (terme utilisé dans le sévice
informatique pour évaluer la charge en h*j qu’il te reste à accomplir sur une
tâche donnée. Autant dire que pour le rama, le reste à faire est soit infini …
soit nul, ce qui revient à peu près au même si l’on s’en tient au principe en
vigueur dans la fonction publique et autres rassemblements d’indécrottables
tire au flan : « à l’impossible, nul n’est tenu. »).
Fort de cette ultime
vacheri-e, je dévore donc le manuscrit suce-dit.
Et là, tombez,
tombez les eh bras ah ah, comme chantaient si justement les zebdas ( … ou les
abdos, je sais plus ?), rien, queud, queue nenni, peau d’zobi, pas l’ombre
d’une auréole sous les bras où l’on colle son dossier à la sortie du Conseil
des Ministres.
Aucune action
mentionnée pour Décembre (donc Reste à faire inchangé, oups !, t’imagines ?).
Y’a bien le
traditionnel Actu des membres, l’Interview du mois (la nouvelle Madame Claude
à l’AGEC qui se prénomme bizarrement Rachel) et la revue de presse mais pas de
trace d’un quelconque exploit personnel ou collectif (rangement du bureau,
rafraichissement de la peinture, …) ni même d’un axe d’amélioration pour
essayer de répondre à cet élu angoissé, dont l’acné se développe dangereusement
du coup, depuis la réunion d’appartement, comme les vestiges d’un mitraillage
en règle de questions existentielles sur les joues trop grasses d’un de ces lycéens
trop gras de Mérignaque.
The year of the Cath’ (avec ces 4 solos enchainés (clavier / son boisé, guitare droite, guitare gauche, saxo)
Bon, beh,
finalement, c’était pas mal joué de perdre contre ces fadas, le Bordeaux 2013,
ça nous aura évité un autre de ces feux d’artifice relou qui font le bonheur
des petits et des grands relous, grands amateurs d’événementiels gratosses, sur
les quais, une main devant, une main derrière :
Quelques réactions à
ce Marseille 2013, dont on a pas trop entendu parler, icigo (surement moins
qu’en Estonie, aussi, Je m´offris une gibelotte, Elle embaumait l´échalotte,
surement moins qu’en Italie, aussi, J´pris un homard sauce tomates, Il avait du
poil au pattes, surement moins qu’en croatie, aussi, etc …) :
- http://www.lefigaro.fr/culture/2013/07/16/03004-20130716ARTFIG00482-marseille-2013-a-deja-dilapide-son-capital.php
- http://www.telerama.fr/tag/le-blog-marseille-provence-2013/
… avec cette ultime
réaction de la nouvelle concierge du TNBA (j’déconne, Cath’ !) :
où on aperçoit,
depuis les calanques, la génèse d’une co-construction, bien profond :
sarkono choisit, en
toute transparence, comme dans ces criques où il aimait se bollorer, un projet
concurrent ; fredo mitt’rand (comme on dit avec un parfait dédain, à
l’extrême droite de l’échiquier), pour compenser, finance l’investissement du
projet de Cath’ et promet le fonctionnement pour après les élections. Patatrac,
branlasse, la gauche s’en lave les mains. Et du coup, Cath’, pour faire chier
ces suce-boules (sic !) de socialooses, décide d’honorer de sa présence un
vieux tromblon, sec comme un jour sans pain, genre clown blanc qui a été recalé
à l’école du rire, dont le dernier sketche, poilant (chez les ump’s ump’s qui
aimeraient bien manger un clown, en 4 heures), est sur la conquête de l’élysée
sur une présumée stature d’homme d’état !
Té, ça me rappelle
un truc, ça, une histoire de caserne, là, pas bien loin de Galin, avec un nom qui
évoque un dirigeant dans les télécommunications, je crois, qui aurait pas
réussi dans le cul, voyez pas ? une histoire où t’as 2 gonzes au départ,
un qui gagne, l’autre qui perd mais par contre y’a pas un mitt’rand pour
compenser. Voyez pas ?
Grand match de boxe à la Benauge : Sophie Poirier, journaliste des pipoles, des chartrons contre Audrey Chabal, journaliste stagiaire, de la victoire.
Un petit salto
arrière sur cette information de longue traîne qui me colle aux basques depuis ce
moment magique, ce moment d’euphorie subliminale et partagée qui précéda la
déroute du Bordeaux 2013, Capitale cyclopéenne de l’acupuncture (sur le modèle
humoristique parfait mis en scène – déjà - par Starck !, rie main beurre, les
JO de Paris 2012,
oh putain, c’te rigolade, … en France, on dira ce qu’on voudra mais on sait
rigoler quand-même ! c’est quoi le prochain happening, déjà, ah ouais
Marine 2017, ah les cons ! il me tarde, putain …) …
Qu’est-ce que je
disais déjà, ah ouais un dernier saltinfo et hop, on y reviendra plus, promis,
juré, chié …
Le combat de ce
soir, pour ce Grand gala annuel de la Benauge à Jean Dauguet, organisé par nos
amis de Le bruit du Frigo, oppose Sophie Poirier, sur le circuit professionnel
depuis la fin du rock (le jour où human league a commencé à faire de la merde,
pour ceux qui n’ont pas lu, ou en travers, mes 418 précédents posts) à une
débutante, encore stagiaire, Audrey Chabal (qui, si elle a quelques gènes en
commun avec l’Anesthésiste, risque d’envoyer Sophie dans la stratosphère où
elle pourra toujours rebondir en fondant une colonie de bobos en invitant 2, 3
copines des Chartrons, la Camus, la Annese, la Russel, …).
Sophie Poirier, lance
les hostilités (ou plutôt les amabilités), en position de recherche d’empathie
(ou d’emploi), avec l’objet de son propos, Philippe Barre, riche, beau, Inoxia,
au sujet de ce Darwin …
Et puis c’est tout.
Terminé. Rideau. L’art de l’évitement, de l’esquive que n’aurait pas renié
Sugar Ray Robinson (ou Leonard, je sais plus trop).
Audrey Chabal, la
challenger, répond du tac au tac à la favorite, en interviewant à son tour
Jean-Marc Gancille, l’associé de Philippe Barre, le plus bosseur des 2,
visiblement, car moins riche, en le harcelant de coups :
Le verdict sur le
mur de mes lamentations (pour optimiser mon temps et le votre et le Reste à
faire de ma vie en général).
Homme, 50 ans, de fort agréable compagnie (même
bourré), cherche un dernier emploi intéressant avant la quille, pas payé au
SMIC pour autant, dans ces foutrement sympathiques problématiques culturelles
ou territoriales !
La grande famille Smack d’Agglo s’agrandit encore (on va pas tarder à lui voir le nombril) !
Pour surveiller de
près ces 3 branleurs, en goguette (depuis la fin des 30 glorieuses), de Roux,
Estebe & Duval, qui se croyait peinards comme jamais, jusqu’à la garde ou
tout au moins jusqu’à la retraite aux flambeaux à 76 ans, avec cette ultime
embrouille ni vu ni connu dite de la Smack d’agglo, CUB et Mairie, les 2
mammaires de tous les glandus, qui ne sont pas toujours en désaccord, adonc,
surtout quand il s’agit de mettre une bonne fessée cul-nu à un de ses enfants
turbulents (mais dans la limite des 105 db, quand-même), les 2 mammmas (avec 3 M pour changer un peu) leur
ont foutu au cul un vrai amuseur, je veux dire pas de
l’indie-machin-truc-durable (, charles), un truc qui fait de la caillasse,
genre.
Comme le conte si joliment,
ici, le préposé, titulaire d’un de ces fameux IUT Journalisme, en bonne et due
forme :
Peut-être pense t’il
qu’on pourrait recaser ces feignasses d’artistes en ouvriers du bâtiment et que
cette salle serait une première réalisation de ces ex assistés enfin rendus utiles ?
Peut-être pense t’il
que le milieu artistique souffre de constipation et que cette salle leur
servira, in fine, de salle d’aisance, pour faire, comme qui dirait, ses besoins,
comme ce musée du vin, en face, lui aussi en forme d’étron, à l’autre bout de
la ville (ville éternelle, porc de la lune, qui risque de pas sentir la rose, à
force d’à force d’y faire ses besoins dans tous les coins, comme sa cousine
avale de garonne).
Si vous avez une
autre hypothèse sur le message subliminal de ce putain de St-Faustin, envoyez
là à Cognacq-Jay ou à St-Barth où je gare mon falcon 3000.
De jolis photos par
ici sur l’œuvre de l’architecte, un peu fou comme il se doit (,combien j’te
dois, déjà, architecte un peu fou, comme il se doit, combien j’te dois, déjà,
arrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhh …), hhhhhhhhhhchiiiiiiitecte étranger comme de
bien entendu … si vous avez rien à branler, bien sûr.
La CUB, St-Médard frappées, à leur tour, d’internationalite aigüe, sous le regard troublant de Fabienne Brugère.
{extraits Junkpage #8}
Té, en parlant de
ces étrangers qui viennent nous piquer nos bouleaux, au nez et à la barbe de
ces hérétiques, conformément aux usages en vigueur des 2 côtés du mur des
lamentations, quelques nouveaux exemples de ces arbres à palabres sous les branches
desquelles les jean-foutre pensent travailler mais où ils ne font que renforcer
l’ennemi, à nos portes, ouh ouh ouhouhouh, soutenus par des armées de l’ombre (des
placards) de collaborateurs du mille-feuilles-institutionnels de l’Anti-France
et de la Franc-maçonnerie, désormais au pouvoir selon les tenants de la théorie
du complot qui s’essaient en contre-pouvoir de la journalocratie médiocratique,
fomentée par Eric Zemmour, Jean-Rolleix Seguela et Nicolas Anelka qui seraient
frères, aux dernières nouvelles, comme le prouve indubitablement leur nom en a,
sauf zemmour en our.
Donc, sur ces
considérations, à la CUB, ils sont à la recherche de 2, 3 schpountz pour égayer
leur dernier truc à la noix (des iles), incompréhensible pour ceux qui ont pas
fait un 3ème cycle culture, territoire et crème solaire.
Commande Garonne : embarquement immédiat
A St-Médard, un
nouveau rallié à l’exotisme à tout craint, on aimerait plutôt s’en remettre à 2
ou 3 faces de citron (*) qui illustrent indubitablement mieux le high-tech que
ces pittoresques zoulous qui n’hésitent pas, pourtant, pour faire leurs
intéressants aux occidentaux, à ranger leur clavier dans la bouche après usage,
pour être plus libre des mains et pour pouvoir, par exemple, élaguer la tête de
son prochain (4 heures) à la machette, et ensuite la réduire à des fins addécoratives,
pour faire plaisir à sa dame, comme mon paternel quand il ramène un bibelot du
vide-grenier du Dimanche.
Les souris lâchent les chiens …
(*) cette escapade culturelle dans les coteaux du racisme (que je croyais royaume englouti, à la fin du siècle dernier, comme je croyais qu’internet ne marcherait jamais …), m’a permis de tomber sur cette encyclopédie alternative qui renforce mes convictions pas super-démocratiques (faut-il VRAIMENT, peuple de gauche, que ce genre de mec ait le droit de vote ?):
J’avais déjà entraperçues quelques poches de
résistance à la pensée moderne que je croyais partagée, au bouleau surtout,
dans les couloirs malfamés de ce fumier d’employeur qui ne s’embarrasse guerre
de considérations humanistes, de manière générale, si tenté qu’il sache ce que
ça veut dire.
Au travers de quelques sous-entendus de
collègues, qui fleuraient bon l’avant-guerre, y’a bon banania, savon la
perdrix, bamboula crème de cirage, … et cet hymne jamais égalé de notre ami
michel, l’amichel devrait-on l’appeler désormais : « "Oh la la
la la la", Qu'il a dit, le sauvage … », qui, à la relecture, semble
vouloir dire le contraire de mon propos ??? euh … serait-ce moi le raciste
in fine, qui aurait mal interprété le propos de l’artiste (comme jjg, tout à
l’heure) ?
(fin*)
Pourtant, si l’on
arrive, à la fin de cet ouvrage intitulé Page pourrie, à détourner son
attention du regard transperçant de cette Fabienne Brugère, qui semble voir jusque le
fond de ton slip kangourou en peau de panthère, on peut noter cette phrase
intéressante (captée par la même Sophie
Poirier qui semble être l’envoyée permanente de la Page
pourrie à Boboland) :
Mais oui, tout à fait,
Fabienne, si je peux encore vous appeler Fabienne alors que vous savez tout de
mon intimité et pouvez, en conséquence, faire de moi l’objet de toutes vos
perversions, au gré de votre fantaisie, cruelle.
Quand il s’agit donc,
d’après Fabienne, ma nouvelle amie dominatrice, de faire découvrir la Culture à
un marseillais à cancun ou un bordelais à la fête du vin, nul besoin de
convoquer Léonard de Vinci, un artiste du crû, plus ou moins bourré, s’en
sortira, haut la main.
Té, ça me fait
penser à un truc, encore un jeu de mot admirable de ma fille de 4 ans, ces
jours ci : « papa thierry = patate pourrie ». ah, le talent, mes
enfants, quel bonheur renouvelé, au jour le jour !
Homme, 50 ans, de fort agréable compagnie (même
bourré), cherche un dernier emploi intéressant avant la quille, pas payé au
SMIC pour autant, dans ces foutrement sympathiques problématiques culturelles
ou territoriales !
Dieudo : l’opppprrrobrrrrre à tous les étages.
{reprise d’un post trop bonnard, fun et
dansant de ma page fb}
En France, à Droite,
on déplore ces actes de violence insensés perpétrés par ces jeunes des cités
dont on s’est foutu royalement dans les grandes largeurs et les grandes
surfaces et qu’on a laissé dans leur trou, mariner dans leur jus et devenir ce
qu’ils devaient devenir. Jusqu’à ce que mort s’ensuive. Amen.
En France, à Gauche,
on déplore ces actes de quenelle insensés perpétrés par ces jeunes des cités
dont on s’est foutu royalement dans les grandes largeurs et les grandes
surfaces et qu’on a laissé dans leur trou, mariner dans leur jus et devenir ce
qu’ils devaient devenir. Jusqu’à ce que mort s’ensuive. Amen.
D’NS
« … Cet établissement ouvrira ses portes
le 12 novembre et sera officiellement inauguré le lundi suivant. Le D’NS n’est
pas encore ouvert mais fait déjà courir. 2
000 réservations ont été enregistrées par les commerciaux du Girondin et par le biais du site Internet du
restaurant. … »
Avant, pour les
blaireaux (aka le Grand Public), y avait le Pin Galant, le Théâtre des
salinières (et 2, 3 autres récents qui essaient d’exister, 1 ancien à Gambette,
1 à la Victoire, 1 à côté des Beaux-arts) et la Coupole St-Loubès.
La nature (les
blaireaux NDLR) ayant horreur du vide, 2 nouvelles propositions vont te
rétablir la vérité (si j’mens), vite fait.
Pim, dans ta gueule,
pour les blaireaux chantants à tue-tête, 1 zénith pour y carrer la dernière
comédie musicale chorégrafouée par Kamel Oualou, avec, dans les rôles
principots, Tal et Emmanuel (ar)Moire.
Et donc ce D’NS pour
nos autres amis, les blaireaux intimistes, (2000 déjà !) qui préfèreront
un diner aux chandelles, assorti d’un spectacle de french cancan et de cabaret
féérique.
Prépare ton discours,
frêle et sensible opérateur culturel subventionné, toujours à quémander un truc,
l’élu à la culture, qui ne fait jamais trop bien la différence entre la culture
et la meilleure façon de se faire réélire, sans en branler une, saura te mettre
sous le nez cette éclatante prospérité sur fonds propres (qui renvoient à leurs
propres turpitudes, euh … cherchez pas, ça veut rien dire …).
Merde, j’aurai dû
faire un truc rigolo sur ce D’NS mais j’avais envie d’en finir avec ce post
interminable qui me colle
aux basques (je vais finir par me casser la gueule avec tous ces trucs qui me
collent aux basques).
Pot pourri / Pipole areuh, pipole seau / Faits d’hiver / Daube / Méchanceté gratuite
Foutez leur au cul, Aqui!
Ça y ez, ça devez
arrivez, ça nous pendez au nez : la révolte gronde downtown. Des hordes
affamées convergent des coteaux vers rohan.
Même les organes les
plus inoffensifs (auquel faisait allusion, souvenez-vous, notre nouvel ami
anthropologue de desencyclopedie.wikia.com, grand spécialiste en mensurations asiatiques) se
mêlent à l’ire populaire et son courroux, éric (comme les états d’âme, éric) et
en viennent à demander des comptes à ces fripouilles et autres sorcières au
palais rohan :
Amis disparus- Média-cité (c’est lui qu’a quitté), Urbs (c’est moi qu’a quitté), Marie-laure (c’est qui qu’a pété ?).
- Sinon, y’a hugues … comment s’appelle
t’il déjà ? merde ! vous voyez quoi, hugues, pas lemoine,
l’autre là … mais si, l’assureur-conseil retraité, putain !
Hé beh, il s’est mis également en retrait de la vie publique.
…
Qui ça ?
Beh, le mec, là, celui qui avait suppléé Jujube quand il était parti jouer avec ses copains, les écureuils géants de Montréal, vous voyez pas ?
Merde, quoi !
- Enculeq a quitté Jean-lui, pour une sombre histoire de bite au vent !
Odette n’a
finalement pas relancé sa prog. Pas assez motivée, la vieille !
Comme durant sa
période d’activité (en gros, 98-08), comme l’avait noté votre serviteur, aux
abois: « en cas d’activité extraordinaire (du serviteur en question), il
se passe, en retour, 2, 3 bricoles ; en cas d’activité ordinaire, il se
passe, en retour … rien. »
Points laissés en jachère- Faudra pas que j’oublie un jour de crever les abcès suivants en 2015 : qui a eu le dernier mot : Les GEMA ou les MIRCTA ?
- Papa, à quoi ça sert Mediacité ?
- Refaire un truc rigolo sur ce D’NS.
- Prouver que ce putain de St-Faustin est quadra.
Vacances, j'oublie tout
Alain star de la belle Raphaëlle,
disparue au moment où elle dévoilait ses charmes, je vais me mettre un peu en
retrait de cette internette d’opérette qui me prend trop de temps, qui me prend
trop la tête, pour me donner en pâture à ma fatalité, l’informatique de gestion
(terme générique à mettre en vis-à-vis, pour ceux que ça intéresse, de
l’informatique dite « temps réel » ou « embarquée », où là,
tu vois, t’as pas trop le temps de branler le mammouth, tu vois ? sinon ça
te pète à la gueule, direct, le bouzin, tu vois ?).
Et quoi croyez-vous
que je vais y donner en sacrifice à cette Informatique de Gestion (avec un
grand I puis un grand G) ?
Hé beh, je vais réaliser
mon rêve, euh non … ce putain de proto de réseau social pour zicos dont j’ai eu
l’idée, il y a 4 ans environ, et qui suite à des collaborations totalement
infructueuses car non rémunérées se retrouve à l’état initial c'est-à-dire nu
comme un ver.
Youpi ! à moi
les joies de mysql et php et css et que sais-je encore ???
Que vais-je
découvrir encor comme méchante complication qui va provoquer, de manière
certaine, quelques moments d’emportement, si caractéristiques de ce corps de
métier ?
Rie main beurre, cet
inoubliable … http://www.youtube.com/watch?v=5TzE94zd9VA
Y’a des bons moments
quand-même.
Pour avoir droit à poster
ce troupeau interminable de vachettes transies, selon le règlement en vigueur
sur ce blog, j’ai passé commande suivante :
Et ce, en chevauchant
BlitzR, le merveilleux étalon des frères Sebenne (et un acolyte dont j’ai oublié le
blaze).
… par contre, via
amazon, encore, les mecs … pourquoi y’a pas d’autres circuits vertueux
accessibles en – de 3j, sur internet ?
Pour s’excuser, au nom de Bordeaux Rock (ou pas), d’avoir foutu le Festival Dingue de Pop en même temps que le Festival Courants d’air de Bordeaux Chanson ! Barbara Carlotti au rocher vs Françoiz Breut à l’Inox !!!
Putain, parlez-vous, merde !
Commande n° 402-0266800-4015500 Effectuée le
4 janvier 2014 La
Chirurgie Des Sentiments Vendu par Amazon EU S.a.r.L. EUR
16,00
Carrément le tierao
RépondreSupprimer