Oooh Antiloooope !
3
Juin 2014, Bus Liane 1 Direction aéroport: je l’ai vue ...
dès l’entrée dans la chicane du Buffalo grill à Cadera nord, ses cornes emmitouflées dans de très jolies moufles bleues cerclées de rouge comme il est d’usage chez ces mammifères ruminants de la famille des bovidés, aux pattes menues et aux cornes longues arquées et qui vivent dans les steppes d'Afrique, d'Asie ou même d'Amérique du Nord [comment on faisait, avant, sans wikipedia ?], la truffe habilement camouflée derrière le nouveau poster des scènes d’été (en police arabisante, en forme de goutte d’eau) par le graphiste virtuose officiel du Conseil Général, Conseil pourtant mis à mal dernièrement par un président aux abois, traqué de toutes parts par les lions affamés qui voudrait le dévorer vivant comme on nous montre à voir dans ces jolies émissions animalières dominicales et familiales comme pas d’eux et qui donnent à apprécier à sa juste valeur la mort dans d’atroces souffrances.
dès l’entrée dans la chicane du Buffalo grill à Cadera nord, ses cornes emmitouflées dans de très jolies moufles bleues cerclées de rouge comme il est d’usage chez ces mammifères ruminants de la famille des bovidés, aux pattes menues et aux cornes longues arquées et qui vivent dans les steppes d'Afrique, d'Asie ou même d'Amérique du Nord [comment on faisait, avant, sans wikipedia ?], la truffe habilement camouflée derrière le nouveau poster des scènes d’été (en police arabisante, en forme de goutte d’eau) par le graphiste virtuose officiel du Conseil Général, Conseil pourtant mis à mal dernièrement par un président aux abois, traqué de toutes parts par les lions affamés qui voudrait le dévorer vivant comme on nous montre à voir dans ces jolies émissions animalières dominicales et familiales comme pas d’eux et qui donnent à apprécier à sa juste valeur la mort dans d’atroces souffrances.
Le
souffle coupé par tant de grâce en cet endroit si commun, je m’approchais à pas
de loup (clin d’œil au nouveau titre épatant de kebous relatant, à sa manière, un
sujet original, la montée du front national, clin d’œil suggéré aux hululements
aux loups de Reggiani qui traitait exactement du même sujet et dans les mêmes
termes selon un principe dit de copie privée … privée de scrupules, il va sans
dire). Entonnant à son tour les lou, hou, houhouhou, soit par l’Taillan, soit
par l’Haillan, avec la légéreté légendaire du kebous argenté cendré, ses
panzers et ses godillots caractéristiques de ce mouvement chanson réaliste que
nous envie la terre entière, redevable.
M’approchant
encore, sur ces considérations, je constate, à l’absence de burnes, qu’il ne
s’agit pas d’un chevreuil, le gonze (avec sa guitare en bandoulière), comme je
l’avais cru benoîtement aux premières saisons de cette proposition allez chante :
« c’est
une antilooooooooooooope, la salooooooooooope, con ! » m’écriais-je
soudain à l’attention de mes vieux amis de transports en commun qui n’avaient
manifestement pas analysé aussi finement le signifiant burné que nous donnait à
croquer le CG, en attendant que d’être ligoté et bâillonné sur leur fauteuil de
bureau afin de minimiser les gestes inutiles et ces bavardages oh combien
dispensables de ceux qu’on est bien obligé d’appeler désormais ses collègues de
bureau (de l’occitan « co », ensemble, tous ensemble, … et
« lègue » qui vient de « langue » et qui peut s’entendre
comme « lécher le cul du directeur » (avec sa langue)).
Afin
de produire, in fine, le maximum potentiel, relativement aux bribes de qualité
qu’on aura bien voulu nous octroyer et ce mauvais goût dans la bouche
probablement dû à une hygiène douteuse du postérieur de ce dernier directeur en
activité, si stressé.
« une
antilooooooooooooope , une antilooooooooooooope qui galoooooooooooooooooooope
sur tout le département et qui nous court même, parfois, à l’occasion, sur le
haricot et qui s’arrête aussi des fois pour nous brouter le minou, plus souvent
qu’à son tour ! »
La
nouveauté cette année, au CG, voyez-vous, c’est qu’ils la revendiquent fièrement,
cette belle antilope métisse, qu’ils ont imaginé par hasard, un midi, vers
13h45, au sortir d’un apéro musclado.
« Et
si on leur fourguait une antilope avec une guitare en bandoulière, hein ? »
« ça
s’est jamais vu ça, une antilope avec une guitare en bandoulière,
hein ? ».
« t’imagines,
hein, une antilope avec une guitare en bandoulière, hein ? ».
Certes.
Cette
belle antilope, telle une sirène aguicheuse, une ouvreuse au guichet, agrémentée
d’un corps de bénévole très seyant, comme pour appeler le festivalier à
festivaler tout l’été, à recharger les accus à st-denis de pile ou dans le
secteur, avant que de reprendre le chemin du travail et retrouver ses collègues,
la langue reposée, pour reprendre, ensemble, tous ensemble, l’Œuvre où ils
l’avait laissée, un brin coupable, sur la langue.
Au
début, ils savaient pas trop si ça allait prendre, les CG, le coup de
l’Antilope.
Et
puis, à force, à force, comme tous les concepts débiles qui marchent (pourquoi
mais pourquoi donc Randy Newman, ce bon vieux Randy, sur Leroy-Merlin,
l’enchanteur des bricoleurs de leur solitude ?), cette belle antilope,
sortie de nulle part, d’une chicane pour Buffalo grill à Cadera, s’est imposée
comme une évidence, au-delà de Mérignaque, elle est même devenue … porteuse de Sens.
…
Té,
en parlant de porter du Sens, je ne saurais trop vous conseiller ce Château Le
Sens, à St-Caprais, qui, bien qu’ayant une pochette très quelconque (probablement
sous-traitée au graphiste du CG au black pour arrondir ses fins de moi ?),
s’avère être d’un très bon rapport qualité/prix.
Un
peu comme ce mec là ...
qui ressemble un peu à rien mais qui a vinifié
dans les plus prestigieux chais de Canterbury et d'ailleurs … non pas le Sens mais le Beau.
Merci
de me faire livrer céans, gens du Château Le Sens, une palette de ce divin
breuvage pour maintenir le cap de mon inépuisable inspiration et traquer, sans
Relâche (où l’accès aux binouses est un défi au Sens commun), cette antilope
aguicheuse, cette antilope allumeuse sur les GR du département.
Chérie, qu’as-tu pensé du dernier rapport ?
« ah,
un nouveau rapport, chouette ! je vais en parler aux vachettes d'été voir ce
qu'elles en panse. » lançais-je à la cantonade, dans l’espoir de déclencher, comme toujours,
l’hilarité de mes nombreux fans sur facebook.
Dès réception, la
vachette de garde m’indique :
« Maître, nous
allons, sur le champ, selon la méthode en vigueur, nous amuser à extraire de ce
précieux rapport uniquement les mots en gras censés nous impressionner, nous
les vachettes, pour voir de quoi il retourne, in fine. »
Il en ressort
ceci : « Pas de mesures contraignantes / assécher les ressources
financières / le droit souple / une liste publique / des injonction de retrait
prolongé. ».
Réserver ce 1er
résultat intermédiaire.
« Puis, nous
allons le comparer avec ce fabuleux rapport initial que vous nous communiquâtes,
Maître, naguère ? Pouvez-vous, Maître, s’il vous en sied, nous en remettre
copie, céans, sur le champ (où nous ruminons habituellement), séance tenante ? »
« Certes,
vachette. Le voici. http://1drv.ms/1qTOoNW. »
En appliquant le
même procédé, on obtient ceci : « Contexte / Solution / Modalités
techniques. »
Mixez les 2
résultats intermédiaires.
Dégustez.
D’aides, l’os en gelée !
Ça a bien décanillé,
là, cette année, au printemps. Intéressons-nous à quelques-unes de ces mises en
bière.
Dead Winery
Clap de fin à cette Winery
… http://www.sudouest.fr/2014/05/23/winery-d-arsac-la-fin-d-une-aventure-1563312-2736.php
Avant même que d’en
comprendre le con cèpe, cette innovante entreprise a tourné au vinaigre.
L’œneuneutourisme
qui devait, alain star de sa trisaïeule mémécenah relancer la culture dans nos
contrées arriérées (le Médoc), s’est pris les pieds (de vigne !) dans le
tapis rouge (vinasse) que ne fouleront plus jamais ces j’en-foutre d’artistes
locaux.
Décidemment, le
public, cette pourriture noble, ne s’intéresse plus à rien.
Si ce n’est à
déambuler comme un con sur les quais avec son pass non remboursable, une main
devant, une main derrière, avec 500000 de ses entre-chouanes en pleine
fermentation pathétique.
Dead Alriq
Le préfet, ce fumier
… non mais sans déconner, à quoi ça sert un préfet, en fait ?
Vous savez,
vous ?
A part faire chier
le festayre et racketer ce gros con d’automobiliste.
Ils devaient pas
faire des économies, là, les autres truffes au gouvernement ?
En voilà une piste à
creuser, pour faire des économies, que dis-je une piste ? une tombe, à
creuser. Allez, dans le trou, le préfet, avec tous ces jeunes
hauts-fonctionnaires désoeuvrés aux basques, venus combattre l’hérétique, le
festayre, l’automobiliste, oh moyen, oh riant …
Alors voilà, les
préfaits, pour se faire mieux connaître et apprécier du contribuable bordelais,
ils ont commencé par fermer les lieux historiques bordelais, le Tube’s à
Lescure, la Notte au Taillan-Médoc, le Retro à la Bastoche, la Guinguette du
Pacha à Magonty, le Studio 21, rue de Belfort, le Monseigneur (ah merde, le
Monseigneur, ça existerait encore, figures toi !), …, un peu comme Clint Eastwood
dans l’Homme des hautes plaines quand il fait repeindre, par SES gens, SES
dépendances en rouge, pour savoir qui est le chef..
Hé beh, le préfabriquet,
c’est la même, c’est un genre de Clint Eastwood au rabet, à la framçaise, on
sait pas comment il s’appelle, on sait pas à quoi il sert, il arrive comme ça,
il rentre dans ton bureau et il essaie de te faire faire un truc, tu vois, pour
savoir qui est le chef.
Comme chez Cegetel
en 1999, à la défense, tu vois ?
Alors, après, moi je
pense qu’il faut gentiment lui signifier d’aller se faire mettre, au préfabriquetterie
du lauraget, mais après, c’est chacun qui voit son midi qui sonne à sa porte,
qui, ceint dans son lardeusse de couleur rouge, qui, dans le sien qu’il aura
laissé dans sa couleur initiale, beigeasse flore, en hommage au futebol d’avant
les évangelistes.
Dernier en date de
ces historiques épinglés par ce préfabrice comte-robert, tset ? 2ème
du nom, chasseur de primes (sur l’épaule duquel un contrat devrait délicatement
se poser, ces jours-ci, de source yakuza sûre, et qui devrait régler
définitivement le problème …), Alriq 1er, le 1er des bobo,
bizarrement révélé rive droite à portée de canon des chartrongz où l’attendait pourtant
le comité d’accueil et sa présidente, Isabelle.
Etablissement Alriq
qui serait repris, aux dernières nouvelles (d’Alsace), par la fille de l’autre
Alriq, le 1er bobo de la droite complexée, coincé, la main dans le
sac, entre l’hippodrome du bouscat et le Garage Pigeon, qui n’a rien à voir
avec ce sympathique chanteur des années 80, Jerôme Pigeon, fils du journaliste
Gilles Schneider et qui n’avait donc pas besoin de piston automobile comme la
Pargade sur l’autre rive. (cette phrase ne veut absolument rien dire et c’est
un délice d’été que je vous offre).
Oui par contre, ce
que je voulais dire, c’est que chez Pigeon, tu vois, le pigeon, c’est le
client !
Dead l’Eté métropolitain
Fin de l’été
métropolitain et des refuges bruit du frigo ... http://1drv.ms/1mOM9sX ...
On était donc sur
une trajectoire d’été en pente douce qui se finirait par un grand feu de la
st-jean des refuges péri-urbains … quand … au dernier moment, …
Jujube, ce con, pour
faire son écureuil suprême devant ses groupies à rohan, a décidé de gracier les
artistes résignés euh … résiniers qui donnent à voir des cabanes en rondins,
construites de leurs mains, à côté d'une rivière où viendraient boire les
daims.
Tiens, des daims,
maintenant.
Ça serait pas plutôt
des antilopes, Bruit du frigo ?
Dead Epicuriales
Je croyais pas vivre
assez vieux pour assister à la mort dans d’atroces souffrances de cette enflure
d’Epicuriales, imaginée par des commerçantes en chaleur et probablement Starck
au fouet, quand je découvrais, jeune con, émerveillé, la caveau à 2 pas …
ou entrais à
reculons dans la vie active, je sais plus trop …
En fait, c’est pas
si vieux que ça, cette merde, 20 ans à peine (20 ans de peine, 20 ans de pain
in the ass comme aurait sûrement surenchéri Moz, qui nous revient, en pleine
forme, pétant comme pas 2 !).
Toujours pareil,
quand on s’emmerde, c’est vite interminable.
Je pensais fermement
que ces épicuriales accompagneraient ma vie active dans sa dernière demeure (un
algeco, probablement), mon calvaire comme chante l’Eve Angeli ou le témoin de
jéovial, 42 années durant, pour me laisser groggy, sur le carreau, Centre
Commercial de Cergy-Pontoise, libéré mais au bout du rouleau de Papiers Peints
à prix exceptionnels chez Leroy Merlin !
Hé bien si, ça
n’aura duré que 20 ans, cette promotion exceptionnelle, je suis exaucé, loué
soit le saigneur de voir enfin crever la charogne, sous les yeux des badauds, amoncelés,
aux files d’attente.
Attention, ami
bordelais, ne nous enthousiasmons pas trop, quand-même, on annonce, sur nos
côtes, l’arrivée d’un nouvel événementiel qui pue du cul … toujours avec Côte
Ouest aux manettes. Du culturel cousues mains.
La charogne se
nourrit de charogne.
Charogne.
Dead MyGlobalBordeaux
Que dire du trépas
d’isa ? Que n’aurait dit le père d’Yzia ?, Dans ce décor
paradisiaque, où les barriques roulèrent aux chais, des négriers firent
antiquaires (« oh antiquaire » est un peu un équivalent du « oh
antilope » dont on parlait à l’instant avec François Synaeghel, de passage
à Bordeaux, après une longue traversée du désert et dont on était sans nouvelle
de Puy).
Plus précisément, que
dire du trépas d’isa, donc, sans encore passer pour un de ces indécrottables fumiers
(pas mal, ça, indécrottable fumier. pour qui aime bien l’humour scato, à 16
heures. J’y suis, je dois bien l’avouer, en toute humilité, assez sensible.
Même mâtin.) ?
Peut-être qu’une
absence trop marquée d’opinion a rendu difficile l’adhésion corps et âme du
lecteur, fût-il bobo (à part peut-être dans le milieu interlope des
esthéticiennes, limite Grand-Parc, ou des développements durables, sur le Quai
des Marques) ?
Mais il s’agit là
encore d’une niche, chère Isabelle !
Et tous les experts
du marketing direct vous le diront : Point de salut dans les niches. A
part peut-être dans le toilettage pour chiens.
MyGbx repartira seule
avec son dilemme entier, comme neuf, et si joliment troussé : Comment ne
pas paraître henné trop pastel ? Comment ne pas déverser hainé qui vire au
fiel ?
Comme on dit plus
simplement dans le bled (IVème arrondissement de Bordame) : Comment
intéresser ce public de merde qui se branle de tout, mes chouasnes ?
Scouts not Dead
Bon, par contre, ça
y est, c’est certain, le dernier homme sur la terre sera 1 scout :
D(r)ead loque Djoliba
Voilà, je suis bien
emmerdé, maintenant.
Tous les ans, grâce
à Djoliba, figurez-vous, j’avais 2 cadeaux de noël récurrent assurés :
- mon filleul julien (le fils de pauly, le seul homme sur la terre à avoir joué à la fois dans Parfum de femmes puis dans Stagiaires ! donc, si on se réfère au film sur les quais où s’expliquent le rock des prolos et le rocks des bourges, LE chaînon manquant du rock d’ici) et
- mon neveu babou, digne représentant du rap clodoaldien, le rap des bourges, donc, aux antipodes (genre d’antilope qui donne à voir sa graciosité naturelle mais, de l’autre côté de la terre) du rap du 9-3.
Donc, si vous
connaissez quelqu’un qui serait intéressé pour reprendre cette officine de
percussions exotiques, je serai moins emmerdé à l’heure de faire des cadeaux …
déjà que c’est pas très naturel, chez moi.
Livré à lui-même, au cœur de la brousse septentrionale, territoriale, hostile, RAMA rencontre une 1ère difficulté …
Nous, ci-devant
Odette Est Josette, avons été, ce jour, mandaté (par huissier modèle Rohan 80’s
monté sur Sebago, vous vous rappelez ? huissier également accusé de
réception de dessous de table XVIIIème pour financer l’UMP et d’extorsion de
fonds de vieille des Chartrongz), nous, ci-devant
Odette Est Josette, sommes, en conséquence, OFFICIELLEMENT
mandatés par le RAMA pour vous annoncer la modification suivante (indépendante
de notre volonté, vous en conviendrez) de l’Agenda21 du RAMA, du fait de ce (foutu)
redécoupage territorial, peu concerté, de ce gouvernement, pourtant ami de
longue date, mais qui n’en fait qu’à sa tête qui ne tient qu’à un fil qui ne répond
pas au nom de Collins.
Vous pouvez
essayer : Collins … Collins, … voyez, il ne répond pas ! CQFD
Souvenez-vous, cher
co-constructeur, nous avions esquissé, à l’occasion des Vachettes
d’Hiver (hiver 2012-2013), un 1er canevas de planning prévisionnel,
élaboré lors des 5 premières années de la Concertation Territoriale (une
trentaine d’atelier, quand-même !).
Le revoici, pour les
éternels oublieux, les mêmes qui oublient leurs enfants à la sortie de l’école,
plusieurs années durant, en libre-service pour les pédophiles et qui font des
marches blanches après pour tenter de rattraper le cou :
- 2015-2030 : croisement des diagnostics
- 2030-2045 : identification des scenarii d’amélioration du process
- 2045-2060 : mise en place pilote sur un des territoires (Les Landes, par exemple, pour fêter les 25 ans de la disparition de Henri Emmanuelli ou pour le 143ème anniversaire d’Olivier Roumat)
- 2060 : généralisation au territoire Aquitain
Nous sommes donc, nous,
RAMA, à notre (double-)corps défendant, dans l’obligation de revoir ce planning,
déjà très tendu, vous en conviendrez, pour intégrer cette nouvelle difficulté
que les dieux des musiques actuelles aiment à glisser, en fin de balance, sous
nos goulettes impeccablement scotchées par nos gaffeurs émérites bien
qu’intermittents.
A l’heure où je vous
parle, Français, Françaises, les allemands sont à nos portes, ils nous ont
évincé de notre Coupe du Monde au Brésil et s’apprêtent à renvoyer les
argentins à leur faillite permanente et leur Florent Pagny, dans sa lente
Patagonie ponctuée de grognements plus disgracieux les uns que les autres.
Le problème le plus
extraordinaire (depuis Agison) qui se pose irrémédiablement à nous, RAMA,
est :
- Peut-on se permettre de modifier uniquement le planning en faisant glisser ça et là les deadlines de quelques dizaines d’années ? ou bien …
- Doigt-on repartir du tout début,
relancer la Concertation Territoriale initiale (débutée en 1926,
souvenez-vous, sous Jean Jaurès !) puisque le TERRITOIRE a bel et
bien changé !
… refaire la photo historique dite l’Arbre à Médiateurs (en vente 12 euros dans toutes les Smacks), dans le grand hall du Conseil Régional, souvenez-vous c’était hier …
Nous en sommes là, co-constructeurs
de tous poils, et ne manquerons de vous tenir au courant de l’évolution du
dossier dans les prochains siècles.
Nous vous prions de
nous excuser, encore et encore, c’est que le début, d’accord, d’accord, pour le
dérangement.
Ici l’ombre, Les Aquitains-Limousins-Poitevins-Charentais
parlent aux Aquitains-Limousins-Poitevins-Charentais.
Ça chie !
T’es où ? Je suis aux Palaaaaaaaaaaaabres. Aaaaaaah, et t’en as pour longtemps ? Chépa.
En fait, j’ai beau
réfléchir, j’ai trop rien à dire sur ce machin là, ce process dit Palabre.
Je reste là à
tourner la langue dans ma bouche comme 1 con (au délà des 7 fois
réglementaires) et rien ne vient qui vaille qu’on s’y attarde.
…
Euh, à part les
trucs classiques, quoi, branlette, j’en foutre, pisser dans un violon, …
Les Gourous du
process (pour ceux de mes fervents lecteurs qui n’appartiennent pas à ce drôle
de microcosme cultureux, un genre d’équivalent des Divas du dancing (1),
transposé des dancefloor 80’s sous un arbre, au café pompier) étaient censés
communiquer aux reporters tintin et/ou autres scouts affiliés à Rohan voire même
aux rares esprits affûtés, aux polémistes virtuoses et/ou avisés un CR de leur déjections
afin de se faire démonter en bonne et due forme, une bonne fois pour toute.
Ils l’avaient juré,
ils l’avaient promis, par voie de paresse.
Autant dire qu’avec
cette authentique bande de vaillants, on a pas vu la queue d’une ligne relatant
la rencontre (si ce n’est une tentative de CR de la Palabre #0, par un tintin
reporter (fourbe d’après une amie, voire pervers narcissique !) qui tente,
comme il peut, de relater comment partir d’un sujet flou pour déboucher, in
fine, sur un sujet encore plus flou (2)).
Une fois de plus,
par leur amateurisme et leur foutue tendance à s’exprimer par leur nombril, ces
gens donnent à Jujube et ses fripouilles moins talentueuses, oh combien, mais mieux
organisées, oh combien, les armes pour les renvoyer jouer à la baballe à la
prochaine occasion.
Aux prochaines
municipales, par exemple.
(1) Pour
ceux qui préfèrent haut la main à ces palabres, avoir des nouvelles fraîches de Philippe_Cataldo, c’est par là, ne me remerciez pas, c’est tout naturel … http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Cataldo
(2) http://rue89bordeaux.com/2014/06/palabre-0-faut-il-culture-utilitariste-rentable/
Tu le trouves pas un peu trop échancré, mon nouveau streaming ?
Un soir où je
m’emmerdais, je me dis : « té, et si j’allais à ce concert garage là,
à Barbey ! » (j’ai jamais trop pu blairer cette musique garage mais
bon avec quelques binouses dans le museau, ça peut passer le temps …).
Je me pointe donc.
Bon, comme prévu,
c’était chiant et la bière était bienvenue.
Vers le 3ème Distingué
(comme on disait au temps béni de la no wave, barrière de pessac), j’avise pas
le père Couderc en grande discussion avec je sais plus qui là (Greg Nordmäle ?
qu’est-ce qu’il foutait là ? il avait pas ses 45 tours chéris à lustrer à
la peau de zibeline pour qu’ils brillent de mille feux, à la prochaine HMNI
PARTY 45 TOURS, MON AMOUR dont on fait des gorges chaudes, downtown ! ?).
Je m’incruste donc.
Ça parlait crise du
disque, streaming, …
J’y dis tout de go au
président de la FELIN (1), ni une ni deux, que j’avais vu que le numérique
commençait à marquer des signes de fatigue dans sa compensation des pertes
constatés sur le marché physique (2).
Voilà t’y pas que le
président, soudainement transformé en roi de la jungle se met à me rugir dessus,
le gonze, que j’ai rien compris, que le problème c’est pas ça (ah oui, ça y
est, ça me revient, j’en avais profité pour glisser malicieusement que ce
distinguo entre majors et indépendants vaut pas pipette, tout ça, forcément, ça
l’avait un peu énervé …) …
Augmentant, pour
impressionner sa proie à sa merci, son discours de gestes circulaires des bras,
comme un tourne-disque qui aurait soudain réalisé, en pleine travail de rotation
et de diffusion, sa condition et qui voudrait, tout en continuant son œuvre de
diffusion, faire comprendre au monde alentour que ça a assez duré et que ça va
péter. Voyez ?
Alors, au faîte de
la ire du tourne-disque léonidé redevenu humain sur ce coin fumeur, en la
personne de ce Couderc, un des 2 bras en rotation rapide sortit brutalement de
sa trajectoire asymptotique et vint percuter mon Distingué qui ne l’avait vu
venir, tout à sa pose.
Celui-ci chut
lourdement. du fait de sa relative plénitude (j’avais du boire 2 ou 3 gorgées,
tout au plus).
Et se vida
presqu’entièrement sur l’asphalte. J’engueule même pas le coupable puisque c’est
un notable et qu’il pourrait me servir, un jour.
J’attends en
revanche qu’il remette les niveaux comme on dit.
J’attends toujours.
Je me dirige donc
assez rapidement vers le bar me (re)payer ce fameux 3ème Distingué.
Puis un 4ème et probablement un 5ème pour pousser …
Moralité : à la
FELIN, la crise du disque, on en parle mais la crise du Distingué qui se
retrouve à terre du fait de la Présidence et dont les niveaux ne sont pas
refaits au frais de la Présidence, ça, on en parle moins.
(1) http://www.fede-felin.org/2014/05/14/irma-stupeur-et-incomprehension/,
en allant pécho cette adresse, j’apprend la fin de l’IRMA qui marque
certainement la fin d’une époque, les 30 glorieuses des musiques amplifiées,
1982-2012 …
(2) Pour ceux que le Streaming intéresse ailleurs que par en dessous … On entrevoit une issue de secours … http://www.irma.asso.fr/Streaming-d-une-economie-de-la?xtor=EPR-183 sauf que … http://www.irma.asso.fr/Malgre-le-streaming-le-marche?xtor=EPR-183.
(2) Pour ceux que le Streaming intéresse ailleurs que par en dessous … On entrevoit une issue de secours … http://www.irma.asso.fr/Streaming-d-une-economie-de-la?xtor=EPR-183 sauf que … http://www.irma.asso.fr/Malgre-le-streaming-le-marche?xtor=EPR-183.
Vole, benêt, vole !
En ce moment, on se
focalise sur la crise des intermittents car ça ramène plus d’oseille aux
journalistes (1), par le truchement d’un meilleur audimat (… moi cette bande de
privilégiés !), mais il ne s’agit que de la party émergée du collectif
iceberg.
En fait, une crise
bien plus préoccupante est en train, sournoisement, d’instiller le tissu
socio-cul dans son ensemble. Et risque de faire s’effondrer tout l’édifice
Smack de ville, patiemment érigé, pierre après pierre, et de faire rouler, dans
un vacarme assourdissant, bien au-delà des 105db autorisés, le rocher de Palmer
dans la descente des 4 pavillons jusqu’à aller s’écraser sur les Grands Moulins
de Paris (2), de réveiller le volcan krakatoa pour nous débarrasser à jamais de
cette Mérignaque aux galeries marchandes qui ne pensent qu’à ruiner sa
prestigieuse voisine, porc de la lune, de rendre à Vaudeville et aux lotos ce
théâtre de quartier de Barbey.
Rappelons au
néophyte, du secteur marchand, que le modèle économique du microcosme socio-cul
repose entièrement sur les épaules de ces chers benêt vole ! à un m’man
donné, il s’agit pour le gourou aspirant à une juste rémunération du fait de
son pouvoir maléfique, d’hypnotiser suffisamment de ces petits êtres malléables
et corvéables à merci pour leur faire réaliser un ETP (Equivalent Temps Plein)
sans rémunération. Cet incroyable gain de productivité justifie à lui seul
l’octroi de subventions pour permettre au gourou de se payer grassement en
retour et de garder intactes ces qualités permettant de profiter du travail des
autres à moindre frais.
On voit partout
fleurir dans la presse festivalière des appels aux secours de Directeurs aux
abois, obligés de rogner sur les olives farcies aux apéros pour pouvoir
accomplir leur sacerdoce … quelques exemples édifiants par ici …
Après le fameux
« Cours, Forrest, cours » qui relança Hollywood, pour copier une fois
de plus ces américains qui ont tout inventé, on essaiera avec cette french
cover « Vole, benêt, vole ! » de sauver les festivals français.
(1) peut-être permettra-ce de sauver Libé d’une reconversion en cybercafé / station de service ?
(2) qui a une légitimité et des fondations autrement plus solides que ces saltimbanques … http://www.sudouest.fr/2010/08/30/les-grands-moulins-taillent-dans-le-vif-172192-757.php
Brèves de comptoile
Rama … Rama … allez, descends de ton arbre, on mange là !
Dans la dernière Lettre
à RAMA, rien comme d’hab’.
Ah si, peut-être, ce
truc-là, sur des collègues Poitou-Charentes : Ils sont marrants, quand-même,
ces Poitou-Charentes, (les charentais, on savait depuis longtemps, ah ah ah, ah
les cons !), quand ils créent leur Pôle Musiques Actuelles, les
Poitou-Charentes, c’est pour
tirer vers le haut la scène locale.
Heureusement, Flamby
a choisi de les envoyer s’arsouiller avec les bretons bretonnants et leur
festnazes plutôt que de venir déstructurer nos côtes de sable fin immaculé et
leurs festivals impeccables (multipaires, bien sûr).
1 mois + tard (environ le temps qu’il me faut
pour écrire cette bafouille), retour sur information !... oh putain, roux et didou, savez pas ?
beh, en fait, les Poitou-Charentes, ils viendraient avec nous !
… avec leurs oiseaux qui volent à l’envers
pour pas voir la misère.
Fermez les volets, publics empêchés !
Et rallumez-moi cette télé, bordel ! Restez pas debout avec cet air ahuri.
Au Centre Commercial Les Rives d'Arcins à Bègles, c’est décidé, on va tous mourir !
Pour éviter de payer
la SACEM et rémunérer les auteurs, car ça ne rentre pas dans les critères de
bon comportement des actionnaires, les responsables de ce centre culturel (au
sens où l’entendait l’Education Populaire, élever les masses vers un absolu
récréatif et grand-public) Les Rives d’Arcins à Bègles ont fait leur
programmation : ils ont porté leur choix sur l’acquisition d’un nécessaire
à diffuser de la Musique au Kilomètre.
Mais enfin, cher
programmateur, ne craignez-vous pas que les gens qui supportent ça toute la
journée risquent de devenir, à la longue, des serial killers en
puissance ?
Je sais, ça ne
concerne nos amis les actionnaires que tout à fait à la marge, dans l’épaisseur
du trait, comme il est convenu de dire maintenant en milieu professionnel up to
date quand on te fourgue une tâche supplémentaire imprévue et qu’on te fait
comprendre, en s’esclaffant, car t’es tellement bon, que tu vas nous régler ça
en 2 coups de cuillère à pots.
Cuillères à pots que
vous pourrez trouver aisément au rayon Puériculture, au Centre Commercial Les
Rives d’Arcins à Bègles, où tant de gens aiment à aller se familiariser avec la
mort, en promenade.
Ramoul vs Rama
Hé les RAMA, faites
keye, y’a un mec là, en loucedé, qui essaie de vous piquer 1 de vos 2 idées …
non pas agisson (saucisson j’allais écrire, quel balôt !), l’autre là, la
malette, savez ? le machin là pour pas se sentir à loilpe en milieu
amplifié, pour pas se sentir empaffé en milieu amplifié, pour pas prendre le
jus par les couilles, voyez ? beh l’autre, là, RAMOUL (RAMOUL … RAMA, t’as
compris … bonjour l’embrouille …), il essaie de fourguer une malette en matière
plastique, si j’ai bien compris, avec plein de tuyaux dedans pour pas se faire
enfler par les cafetiers.
Me remerciez pas,
les RAMA, c’est tout naturel, avec tous les sujets de poilade que vous m’avez
fourni, je vous devais bien ça !
Allez, un bon été, en
vos applaudissements, les RAMA !
Un café et l’addition
Alors, comme
d’habitude, en France, tout se finit en chanson, et comme d’habitude en France,
t’as un mec hyper bon, personne le connaît, j’ai nommé … Nicolas Paugam !
http://souterraine.biz/album/aqua-mostlae Aqua Mostlae
by Nicolas Paugam CD, €10.00 Purchased
16 July 2014 09:37
PM ~ Payment 1401962592 ~ PayPal transaction ID
9PV95995M4678210S
Pendant ce temps-là,
Vassiliu summer. La bise, champion du monde !
putain g tout compris
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