Bon, je vais commencer, une fois n’est pas coutume,
penaud …
(, confus, contrit, déconfit, embarrassé, gêné, honteux, interdit, pantois
[source : http://www.linternaute.com], péteux [source : perso], presque
hagard [source : edgard]),
je vais faire ricocher sur l’onde étale …
(, immobile, dormante, figée, fixe, hiératique, immuable, impassible,
inerte, sereine, stationnaire, statique)
de la toile mes plus plates excuses à ceux qui vous ont
offensé (Et ne
nous soumet pas à la tentation [NDLR de dénigrer son prochain à son tour,
probablement ?] ) :
Je pense à tous ces pélerins desgarets …
ces darwin, ces bootleg, ces rama, cette assomante Palabre, cette coquette Intermittence
… j’en oublie sûrement,
les vachettes d’hiver ne manqueront pas de me le
rappeler, le moment venu, se gaussant de ma miséricorde (*), cruellement, comme
requin marteau.
(*) à ne pas confondre avec la grosse corde de mi, accordée
à la mode azérie, quand on veut sonner comme le chanteur le plus long … ah mais
non, putaing, c’est pas ça, il est arménien, le chanteur le plus long, il est
pas azéri, cong …
Mille excuses, Darwin, oh, Darwin !
La sentence est tombée : Inoxia - Agence conseil
responsable, communication … va faire exactement ce qu’elle avait dit lors de
la retraite de Bordeaux 2013, groggy, encore sous le coup de la défaite
humiliante contre l’ennemi héréditaire, hésitante alors, chancelante, entre un
séjour réparateur à Lafontaine jouer avec des écureuils amis pour retrouver la
patate ou s’octroyer un bien communautaire précieux, à titre gracieux, au nez
et à la barbe de gens formidables mais pas assez lookés, en faisant accroire,
non sans un certain panache, à une moralité sans nuages aux bobos prêts à
s’enthousiasmer, sur l’autre rive.
Face à ses openspaces majuscules ou tout se passe
comme dans un rêve éveillé (aucun gros vilain vénère n’en vient, par exemple, par
dépit, à casser le matériel informatique qu’on lui a mis entre ses grosses
pognes, comme on voit fréquemment sur internet pour se moquer de ce prochain, le
gros, le vilain, le qui pue et le qui, pour couronner le pompon de la cerise
sur le gâteau 1er prix sous cellophane, du fait de son incompétence
crasse qui suinte sous les bras et jusque la raie du cul, et le qui, par le
fait, empeste l’atmosphère idyllique de cet éco-bureau (far away in times), néo
art déco, et se verrait bien (le gros qui pue), par ses collègues impeccables incommodés,
frappé d’un décès subit (s’il ne fallait le mettre à l’éco-poubelle (far away
in times), en suivant et donc poser ses mains manucurées impeccables
d’éco-esclave (far away in times) sur ce tas de merde, lourd de surcroit, ce
con !), …
Ouf !
Rien de tout ça donc chez ce naturaliste anglais de Darwin
… face à cette éco-majesté rugissante où tout sourit aux audacieux, majesté reconnue
de tous, jusqu’aux couloirs inter-minables de rohan sur l’autre rive, adonc, disais-je,
Inoxia - Agence conseil responsable, communication … va abriter, sous son aile
éco-protectrice (far away in times), les circonvolutions harmonieuses (amoureuses ?
aguicheuses ?) de gracieux artistes plasticiens, toujours plus à l’ouest, à
qui tout réussit aussi (Près de nous sifflait un merle, La rosée faisait des
perles réussies aussi), ayant enfin trouvé leur Sam Suffit, non pas à Lerm et
Musset mais juste, là, passé les boulevards, comme ces colons (eH bEH, mON
cOLON !) partis aussi à l’ouest, sur les traces de kirk douglas et robert
mitchum, interprétés magnifiquement, dernièrement, respectivement, par stéphane
jonathan et stéphane gilet (La Route de l'Ouest, adaptation du roman de
Nathanael Jo Hunt, The Way West, prix Pulitzer en 2017).
…
stéphane gilet dont bizarrement, contre toute attente,
c’est l’anniversaire, aujourd’hui.
Mais euh … qui est donc ce mystérieux Gulliver,
insidieux, en commentaire ? est-il de la famille de notre reporter bien connu,
ici, et apprécié de tous, jusqu’aux couloirs inter-minables de rohan, Jean-Eustache
(aka euh c’te tâche !) Gulliver de BFM TV / Odette Est Josette ?
Comme ça, a bisto de naze, faisant appel à mon
instinct légendaire (hérité du grand-maitre du 6ème sens du cul du
lycée de talence, vleq banjolino !), je mettrais bien un richelieu sur la
table que ce gonze, il s’est fait empapaouté par un éco-escroc (far away in
times), il a du se faire faire en loucedé un site web dans le dos à 120000
euros la passe. Et seu (comme on dit sur France inter en le suffixant d’un
« x » ou en cochinchine en le préfixant de « lao t »), par
un éco-créatif (far away in times) monté comme un âne, de la bande à Barré, une
branche pourrie de la bande à Kleber qui fît les beaux jours du « Bordeaux
grisaille » avant que d’être sublimé par Jujube, l’enlumineur de ces dames,
qui semble néanmoins sucrer les fraises depuis peu et qui devrait rejoindre, en
toute logique, ses congénères écureuils géants du parc Lafontaine à Montréal.
J’en étais où, du coup, avant que de revenir à Montréal,
dans un grand boeing bleu de mer … ah oui, Gulliver, hé beh, le gazier, là,
Gulliver, il a du manger la grenouille, du coup, et il cherche à récupérer son
artiche, pardine !
Mille excuses à toi, oh, Boutelègues, zoom-zoom !
Un article au poil (comme toujours) de rue89 bordeaux
… http://rue89bordeaux.com/2014/10/bootleg-retourne-nuit-bordelaise/
qui anticipait un peu trop la reprise des activités …
Confirmée plus tard par le sous-doué, peu intéressé
par le sujet, visiblement …
Pourtant, un indicateur pop chilien (mais non … rien à
voir avec le 1er roi de la pop bordelaise du 3ème
millénaire qui était péruvien, lui, souviens-toi, toujours flanqué de son
paternel, général en retraite, et son poitrail garni de verroteries comme ces
maréchauds d’empire au gaz, 3 feux, peu servi, faire une offre), un indicateur à
la noix du chili, donc, aux bons tuyaux calaminés m’avait quelque peu enduit dans
l’erreur, me faisant accroire que ce fieffé Boutelègues avait détourné la
recette du casse de la brinks à toulouse avec gilles des camerase son
crowdfunding pour régler un arriéré d’urssaf (qui ne veut pas dire, dans ce
contexte d’utilisation, un employé de l’urssaf).
« Le sud-américain pop est un loup pour le lieu
qui a choisi un nom trop bateau pour être eaux nettes. » me dis-je en mon
faure intérieur …
… comme pour me remémorer (et alerter le monde à mon
écoute) d’être plus perspicace à l’occasion d’un nouveau dérapage de la
diaspora sandinista pop.
Il est très bien vu de nos jours de fustiger ces
nouvelles populations rom qui viennent dénaturer de manière éhontée notre race et
notre tanin parfait mais il faudrait quand même rester vigilant sur les précédents
flux migratoires, ces précédentes tentatives de dilution du divin breuvage (*),
issu d’un terroir millénaire, par des piquettes que renierait même un sans-dent,
même PS, même PS bordelais. Souvenez-vous l’arrivée de ces chiliens à bordeaux,
au mitan des 70’s, abandonnant dans l’œuf un pouvoir neuf et volontaire qui
voulait simplement remettre le pays sur les rails de la western union où des
pionniers enthousiastes construisirent les 1ers McDonalds et plus tard les KFC !
Ceux qui atterrirent sur nos côtes n’étaient pas de ce
peuple des entrepreneurs qui firent l’Amérique mais plutôt donc d’un peuple
d’indicateurs qui serviraient plus tard à remplir les tableaux de bords des
pilotes de projets douteux, de TMA, de TRA, de TFGJKBA (Merde à celui qui
lira).
(*) qu’on va s’efforcer (comme à con fesses) de
représenter par un étron ces prochains jours sur les quais … lire à ce sujet
notre autre tintin reporter impeccable en ville, terrain hostile … http://www.lejournalduvin.com/2011/06/bordeaux-architecture-l%E2%80%99audacieux-centre-culturel-du-vin/
La pop bordelaise du 3ème millénaire est un
loup pour la pop bordelaise du 3ème millénaire, disais-je donc à mon
auditoire, captif (par sa propre engeance ! je partageais à cette époque
le même auditoire que Salons Vivons, que l’apôtre St-Faustin pourfendait
régulièrement de ses piques pour réveiller enfin ses misérables mortels qui
s’étaient fait, entre la fin du XXème et le début du XXIème, endormir par des
malfaisantes (la bande à Marie-Laure et ses sorcières dites de Rohan) ;
heureusement, la 2ème moitié du XXIème vit le retour du goût dans
nos allées de Chartres et les sorcières repoussées au-delà de Mondésir, dans la
zone marécageuse et/ou commerciale de Mérignaque Soleil où elles devaient
finalement être englouties dans les sables mouvants, qui engloutirent plus tard
le Rocher des Pirates jusqu’au Carrefour qui m’avait pourri la vie depuis les
early 70’s quand il fallait que je mette cet affreux pantalon écossais en laine
qui grattait terriblement, comme pour incruster définitivement l’empreinte de
Mérignaque sur mes chairs sanguinolentes (qui n’a rien à voir avec sanguinet
comme je le rappelle souvent à babette, qui n’en fait qu’à sa tête et qui vient
de m’envoyer sa quiquette et sa braguette en comprenette via internette) …
Et donc la proposition , suscitant un intérêt
croissant de mon auditoire (partagé avec Saint Faustin !) à l’exception de
ceux étant partis s’acheter des croissants, justement, afin de pallier à une juste
fringale, petit tracas que nous connaissons tous, nous autres boulimiques. Boulimiques
de la vie, boulimiques de l’amour … Boulimique, boulimique ? … Boutelègues
… ah oui, c’est ça … Boutelègues, voilà.
Donc, au fait, arrêtons-nous un instant sur ce
Boutelègues pour voir si, malgré ce nom si passe-partouze, il a les reins
solides à la saillie, une certaine légitimité (un beau cul), de grosses
couilles comme dirait l’épatant jfg qui sait déceler dans les situations les
plus inextricables, la présence ou l’absence de grosse couilles, précisément,
pour expliquer tel ou tel travers …
Mais dites moi, ce Boutelègues, il semblerait qu’il
gravite depuis le siècle dernier, dans la galaxie IREM, non ?
Cet IREM qui voudrait foutre au cul visiblement des
Rouxschool (Roux qui vient à l’instant de faire copain avec moi sur Linked In,
ça sent pas un peu l’embrouille, çà ?), des CIAM, des Roquets chanson et
autres Adams devenus Tiber’, si j’ai bien tout suivi ce qu’on a essayé de me
faire accroire (tabernenculé, comme disent les écureuils du parc lafontaine, ceux
dont les parents ont démissionné, trop englués dans la téci …).
Mais au fait, cette galaxie est-elle toujours sous la
coupe (impeccable) de ce très antipathique Franck Dijeau (malgré un nom
avenant, vous remarquerez. Qui refuse un bon dijo, hein ?), déjà vu à
l’œuvre au Son’art (dernière fois en train de pourrir un benêt vole, pour faire
accroire, tabernaconputain, tostaki c’est le chef, hein ?) ?
Beh, il semblerait que non, dis donc !
Que s’est-il passé ?
Darroquy m’avait parlé de ce projet de salle il y un certain
temps déjà … en terme élégants et prometteurs, en termes d’habitus, comme d’hab’.
Comment diable est-on passé d’un gros enculé de sa
race du coran de sa mère à un projet salutaire, dis donc …
Apparemment
le nouveau Franck Dijeau s’appellerait Cyril Beros.
Cyril
Beros, c’est qui ce gonze qui ose porter mon début de nom à la fin du sien, qui me
fait par exemple, pour la titiller, appeler ma mère, la mèroce, voyez, pour
faire ressortir son côté pas commode, voyez ?
Dis donc, le mec, le Dorémi, dis donc et le CCPR.
Bon le Dorémi, j’ai pas trop connu, c’était les années
90, j’étais en train de faire mon businessman.
Le CCPR, début 2000, oui, en revanche, endroit très
sympatoche tenu par Cédric Rolf Jeanneaud (qui apparemment
fit partie de Tschack ! comme expliqué par son PDG, évadé fiscal repenti en
Belgique, ici … https://www.facebook.com/david.chazam/posts/326350264138571 … et
donc aussi ce Beros.
Au fait, où je voulais en venir déjà avec ce Boutelèques,
comment vais-je pouvoir finir ce putain de zoom-zoom qui me colle aux basques ?
Eh beh, comme ça, té.
Mille excuses à toi, RAMA aux structures si structurantes qu’on aimerait tant s’y lover …
Aux moulures si moulantes qu’on aimerait s’y fixer
résolument, comme ce bébé alien taquin, voulant pour s’amuser encore et encore,
encore et toujours, prendre le contrôle de ton enveloppe terrestre par effet
vantouse, un peu comme nak1oeil et son opération « pour 1 œil rincé, 2
culs emportés » … … cf schémas
explicatifs …
https://www.facebook.com/naqu1oeil/posts/10203113525414919?pnref=story
Aux raclures si raclantes qu’on aimerait qu’il (rama,
l’enfant sauvage) nous gratte le dos (comme ces flamencayres endiablés des
guitares), lors de ces crises de démangeaison dans des endroits inaccessibles
au public (backstage, comme on dit !) et dont la fréquence (synonyme de
tonalité) augmente avec l’age.
Aux enluminures si enluminantes qu’il faudrait une
armée de geoffrey Torres (et peut-être même 1 ou 2 jean jaurès à
l’administratif, pour monter les dossiers de sub) pour faire fonctionner le bouzin
afin que les shoegazers, ou ce qu’il en reste, dont la vue décline forcément,
aient une vision correcte de ce parterre de pédales qui n’est pas sans rappeler
ces maréchauds d’empire en vitrocéramique, peu servi, faire une offre à
Cognacq-Jay ou à Pelus, à Mérignac où je passe le plus clair de mon temps, le plus précieux de mon magot,
je t’ai toujours aimé.
Aux allées Lescure, aux Allez Nantes ! Je chante
en mi aigu, la digue, la digue, je chante en mi aigu, la digue du cul, la digue
béante, hum …
Mais …
mais qu’est-ce que je raconte, moi, ça va pas la
tête ?
Ah oui ça y est, bon c’est pas pour dire, les RAMA, mais
là, fini de se branler la nouille multipaire, y’a du lourd qui arrive, du
réglementaire, là, pas moyen de se débiner, nul n’est censé ignorer la loi (je
voulais faire un jeu de mot avec l’aloyau mais j’ai pas réussi et puis la
deadline approche …).
Ils sont pas chiés, eux, les donneurs d’ordre (ceux
qui vont récupérer, au passage (*), le pactole du CICE qui devait structurer le
secteur du chômage jusque dans les cimetières !), ils te passent pas le
bouzin de 105 à 100, comme ça, sans prévenir (sans le moindre 3, 4 pour se
structurer la gueule), impossible d’y échapper, c’est marche ou crève dans les
musiques actuelles, maintenant, la serviette autour du cou, nous autres smacks
en proie aux normes européennes du rock, pas d’échappatoire, on va devoir
embrasser résolument, sur la bouche, Agison 2.0, qu’on le veuille ou non !
Bon, désolé, cher tintin reporter de Chez Odette, là, on
va pas pouvoir continuer à pétasser, là.
[NDLR
dans le milieu, il arrive qu’on emploie également le verbe palabrer lorsqu’il y
a vraiment un gros problème à traiter, quand on en a gros sur la patate, par
exemple.]
Là, tu vois, on a un gros dossier sur le dessus de la
pile … oui à Saint Denis, si tu y tiens, ou dans le secteur.
(*) banlieue de agen, assurant la fonction de porte
entre le monde réel du 47 et le(s) monde(s) parallèle(s) d’icelui, plus
traaannnnnnnnquille, ou, par exemple, il est interdit d’interdire (sauf le
pruneau show, faut pas déconner, quand même !)
Mille excuses à toi, Palabre, sous ton arbre, perchée !
Té justement (belle transition, tintin
reporter !), apologisons 2.0 un peu auprès de cette instance si caressante
(bien qu’ennuyeuse à la longue) …
La Palabre.
Contrairement à mes sarcasmes incessants de hyène de
jungle métropolitaine captive rendue folle par sa séquestration dans le
quartier des hôtels à Mérignaque, la Palabre 2.0 a bien eu lieu.
Comme tous bons médiateurs qui savent ce faux-filet
dans d’autres pince-fesses en espérant décrocher la timbale, in finez [aka
attraper la plus belle gonzesse de la soirée], les maîtres de la Palabre ont
fait d’un alternibaba (et ses belles babas cool, te rappelle ?) 2 coups de
cuillère à peau.
Donc, ils ont réussi l’incruste mais, par contre,
comme souvent, dans ce monde moderne si rapide, si volatil, si fantasque, si
déstructuré, on sait pas trop s’il a attrapé, l’abbé, en fin de palabre, s’il a
réussi à choper une biche aux abois encerclée par une bande de zads en érection
d’utilité publique.
…
Voilà … donc, y’a du mieux, c’est indéniable (une 2ème
palabre !), par contre, dans le cadre de l’amélioration permanente du
process, je reste un peu sur ma faim.
Qu’est-ce que je veux dire ? les comptes-rendus et
autres procès-verbaux (ce qu’on appelle communément les traces, le traçage, la
traçabilité, voyez ? la vertu quoi …), ils arrivent à pied ?
C’est pas (encore) trop ISO9000 par ici …
Un exemple, ces derniers jours, à ce
sujet, je demande au responsable de la Palabre, via le perfide coursier fehssebücke, vers
le 20/10/14, c’est quand c’est qu’il compte nous y communiquer, le gonze, ses
impressions et/ou aquarelles sur ce qui s’est dit à Palabre #2.
Et là, le gonze, qui manifestement n’est pas soumis
aux dures lois du Just in Time qui ont contraint le CNPF a renoncer au CDI
auquel il tenait tant pour instaurer une précarité à laquelle il répugne
définitivement, il te répond pas, tout de go, en toute solennité : « Sans
problème. Nous transmettons les actes des échanges avant fin novembre. ».
Il faut dire qu’on est à mille lieux, dans ce
microcosme culturel si pittoresque, du milieu des affaires et des élus où on
admet généralement qu’il vaut mieux une réponse incomplète mais rapide que
complète mais trop tard. Milieu des affaires et des élus qui, en retour, garde
également une certaine distance vis-à-vis des avis de ce microcosme qu’il ne
croise qu’une fois l’an à l’occasion des festivals ou autres scènes d’été, avec
son nez rouge (in finez) et un polo haties pour faire genre décontract’.
Té, maintenant qu’on est copain comme cochon, palaboureurs
et l’argent du bonheur, un dernier petit tuyau taquin voire, peut-être même, un
sujet à mettre à l’ordre du jour de la 3ème palabre (2ème
semestre 2015 si accalmie, après 2033 sinon (voir plus bas planning
prévisionnel)), pourquoi ne pas s’inspirer un peu des trucs qui marchent, c’est
vrai ça :
Prenez cet ange bleu, son million de spectateurs … http://www.sudouest.fr/2014/10/12/un-ange-millionnaire-1701301-2889.php
voire son avatar girondingue, le DN’S http://www.diner-et-spectacle.fr/,
ils représentent bien l’idéal culturel de l’élu (pour lequel il demandera à
vous recevoir en cravate et non plus avec cet affreux polo rose burberry. Dans
la grande famille du « une main devant, une main derrière », on peut
les considérer comme … le papa ! et son petit dernier, là on est de plein
pied dans la démocratisation de la culture, l’éducation populaire, on dégrossit
l’électeur (avant de le sodomiser), et pan dans ta ruralité, en plus, pile
poil !
Autre proposition à mettre (éventuellement, s’il reste
un créneau au terme de ce marathon de la pensée) à l’ordre du jour d’une prochaine
Palabre :
« et si on laissait ces blaireaux (les électeurs
et les élus) faire leurs cochonneries entre eux et qu’on essayait de fédérer
les élites curieuses (nous) autour d’un réseau particulier et dynamique
(bibliothèques / médiathèques, librairies, lieux polyvalents type bistrot de
quartier 2.0) ? »
Mille excuses, intermittence, toit si moderne et si fragile à la foi …
Je crois qu’on s’est pas bien compris dés le départ (à
sauveterre) avec Intermittence, douce parfois, insoumise, toujours.
Un malentendu qui a fait que nous 2, ça n’a pas collé
(pégué aurait dit le linguiste-coiffeur-mixeur Stef Gilet de La Tresne et non
de languit, coiffe et mixe, comme on aurait pu le croire, sans une analyse un
peu poussée).
Intermittence est jolie, Intermittence est douce mais
Intermittence a chaud au cul, je le crains.
Dans mon schéma prévisionnel 2015-2030 (je suis un peu
visionnaire, à mes heures, mais moins que vleq banjolino, du cul du lycée de
talence, quand même – je l’ai déjà dit ça, non ? excuse vleq, je sucre un
peu, ces derniers temps, depuis mon éviction de Magendie), dans mon schéma
prévisionnel 2015-2030, disais-je, j’imaginais ceci :
2017 : Jujube (ou autre utilité UMP) président
- Bilan du quinqueñha : l’UMP, ça ressemble à de la merde et c’est de la merde.
2022 : Marine
- Bilan du quinqueñha : Marine ne résout rien, Marine n’est bonne qu’à pétasser, Marine, c’est comme pisser dans un violent.
Et donc début d’une nouvelle ère prospère (youp la
boum) vers 2033, l’age du christ
Et là, doucement, un petite musique s’installe, à la
satie (… ma guinguette joue satie faction … euh … non, j’y arrive pas, non plus
… laissons ce jeu de mot, en l’état, comme ces artistes pressés, en recherche
de public, laissons ce jeu de mot sous forme (dite 3ème forme
normale chez les vieux geeks) de work in progress, c’est à la mode ! pour faire participer le
lecteur et le captif rendu-fou, comme cette hyène suce-mentionnez rouge aux
hôtels, pour lui donner à becqueter de la cO-cONSTRUCTION, mON cADET et surtout
ne pas oublier de finir le job un jour, pas comme tous ces jean-foutre du
territoire et probablement au delà).
Donc une petite musique s’était installée avant que ne
vienne s’insérer, selon un processus d’itération très néfaste à la
compréhension, plusieurs couches de Nawak Comfort Hotel (mon préféré, bulots à
volonté !) …
« et si on essayait, maintenant qu’on a épuisé
tous les tocards, autre chose pour redresser la France, en finir avec ces
histoires de croissance (au beurre ou nature). Et si on généralisait ce système
d’intermittence puisque approche (enfin) la fin du Travail, cher à Pétain et
aux gros niqueurs copieurs-fax des talk-shows, sans qui rien n’est jamais
possible. »
…
Mais bon, là, je m’égare, revenons à nous moutons, les
intermeeeeeeeeeeeeeeeeeh-ittents.
Si après 2033, l’age du christ, donc, la situation semble
se dégager pour iceux qui sont pas encore nez (encornet fonctionne pas mal,
aussi), je crains une forte zone de turbulence pour les e-sucks (pronounced
iceux) de maintenant.
Dés 2017, je crains que Jujube, pour faire son méchant
(chose qu’il n’a jamais réussi à faire, par exemple, à Lafontaine où il est
considéré par tous ses paires [de queues] comme un incomparable boute en train
qu’on s’arrache quand il s’agit d’organiser un repas à la maison quand on a
pris la peine, toutefois, de construire son havre de pets sur une branche assez
solide pour supporter les esclaffements incessants d’un auditoire transporté qui
a lâché définitivement prise avec les tracasseries du quotidien et les
trépignements saccadés des invités qui en redemandent toujours plus, dans
l’attente du prochain bon mot de ce MC Ecureuil géant en provenance de Bordeaux.
Donc, n’ayant pas réussi à inspirer la crainte, comme
on le voit dans ce reportage animalier de notre tintin reporter, à Lafontaine,
il est à craindre qu’au match retour, à Lescure, après s’être fait remonter les
bretelles par le coach libéral rompu aux valeurs de la con cul rance, Jujube
commence à entailler sérieusement les belles toilettes de l’élégante Intermittence,
toujours très apprêtée, même en ville, et qui s’en trouverait un poil fanée,
défraîchie quand les Bertrand, Lefebvre et autres afführer conseil auraient
repris leurs appartements de fonction.
La belle Intermittence qui se retrouverait carrément
en oripeaux voire à loilpe quand Marine et ses corbaques auraient botté le cul
de cette gangrène UMPS qui ignorait le peuple depuis la fin du siècle d’avant,
malgré (il me semble …) de très jolies propositions annuelles de type
« une main devant, une main derrière » proposées par ces élus UMPS
dénigrés (un peu rapidement, je trouve …) par ce nouveau pouvoir voulant faire
table rase du passé.
Il faudra alors, pendant une grosse dizaine d’années,
qu’Intermittence se résolve à mettre le bleu de chauffe (Marcel), à aller se
faire embaucher en CDI (si ça existe toujours) ou en intérim à l’Ange Bleu ou
au DN’S (si dansante) ou alors aux Salinières ou autre théâtre privé bordelais
répugnant, au pire.
Avant la renaissance de 2033, l’age du christ.
Mille excuses, Nov’art, si nov’atrice !
Putain j’allais oublier d’accepter les excuses de cette
vieille roulure croulante offensée, oh, français, oh chancelante, oh chancelade
(pour rester dans le territorial, même le plus reculé) de Nov’art.
Nov’art. Ov’art. De l’œuf. De l’art de faire l’œuf.
Qui de l’œuf ? Quelque p’art, ovipare, à ne pas compare avec ovovivipare. Qui
de la poule ? Qui est in, qui est out ? En les murs, hors les murs,
Lichen boy sur les murs, il se barre, il part et ne se retourne. Hello Dit
Berdot, Les mêmes à la maison. Avec sa maison sur le dos. Hello Dit Berdot.
Comme un escargot. Ovipare. Ovipaire. Multipaires. Multipères. Oh vipère.
Ovaire. Camembert. Gong que j’écoute présentement en répondant à jfg qui
considère qu’après You (74), c’est jazz-rock et compagnie et que ça pue du cul,
en conséquent. Cul que je me fais opérer Jeudi (Berdot) et qui me fait louper Gong,
c’est pas de cul (pour ceux qui déploreront mon absence à cette communion, en
position de l’oeuf).
Concernant notre festival des trucs qui se passent de
toutes façons en Novembre, qu’il pleute ou qu’il vembre (d’ailleurs ne dit-on
pas comma con fesses : Nov’art en Novembre, qu’attends-tu pour en descendre ?),
j’ai vu que ce concept incroyablement nov’ateur d’un point de vue économique et
retour sur investissement (ROI), nerf de la guerre culturelle que se livrent
les territoires, exsangues, souvenez-vous, à ce sujet, les vachettes de rentrée
2012 Nov’art, si bonnasses … http://odette33.blogspot.fr/2012/10/odette-est-josette-soutient-les-causes.html,
ce diable de Novart, figuez-vous, il est en train de faire des petits.
Nov’art, c’est, comme on l’a démontré maintes et
maintes fois, grosso merdo, 1 stagiaire (1 service civique, au pire …) pendant
1,5j donc cette belle idée pour relancer la France qui fait des petits, est
reprise au centuple (Bordeaux = 1/100ème de la France, en gros, je
le démontrerais plus tard, de manière irréfutable, en réactualisant le fameux manifeste
« Preuve évidente que bordeaux n'existe pas » d’un auteur douteux, et
ce, en m’entourant des plus fins limiers de ce Bordeaux qui n’existant pas est
d’autant plus dur à ausculter dans ces recoins les plus abjects et ces
crevasses les plus maldororantes.
« Et si tu n’existais pas, Dis-moi
pourquoi j'existerais » disait, jadis, un des poètes majeurs de la
variété, avant que d’être repris par un ancien travers, un certain infarctus,
de son état civil. On remarquera à ce propos, que l’utilisation de « travers »
pour qualifier cet infarctus n’est pas du tout impropre en ce sens que
l’infarctus se produit précisément sous les « travers » (autre
appellation des côtes utilisée principalement par les « face de
citrons » et autres gnacoués pour nous fourguer leur mangeaille dégoûtante
et recycler leurs chats et autres ragondins.
« Et si tu n’existais pas, Dis-moi
pourquoi j'existerais »
Et oui, si l’on procède à l’équivalence
suivante : tu = bordeaux, je = un fin limier étudiant son territoire, ça
donne quand même matière à réfléchir :
« Et si tu n’existais pas » (avéré comme on
l’a vu avec l’auteur douteux, donc la seconde partie doit être réalisée pour rester dans le
politiquement correct mathématiques … Dis-moi pourquoi
j'existerais ». en gros, à quoi sert-il que je lime, moi le fin limier,
s’il n’y a rien à limer ?
En effet, ça jette un froid sur les ébats (*), de
suite !
(*) les ébats ou les travers, faudrait savoir, quand
même ! personnellement (si ça peut éclairer le débat) je préfère les
ébats, ris de veau, rognons, tout ça, quoi ! tout ce qui pue la merde,
quoi !
Au centuple, Bordeaux, disais-je, avant que de
digraisser, par un Ministère de la Culture, un peu gêné aux entournures, en ce
moment de par quelques ordures au gouvernement.
blah, blah, blah,…, blah, blah, blah, blah, blah,
blah, … accompagner la … structuration du secteur … de quelques patates
sautées en chemise …
la … structuration du secteur … té, ça me rappelle
quelqu’un, ça … mais ouiiiiiiiiiiiii, rama, l’enfant sauvage qui saute de
branche en branche pour aller apporter la bonne nouvelle, la concertation, la
co-construction aux paysans harassés par des journées de travail de 112 heures
par jour, 448 jours par an et payé 3 cacahuètes … mais au fait, faut être complètement
con pour accepter des conditions pareilles, ils devraient demander conseil à un
intermittent ami pour leur structurer leur gagne-pain de manière plus
trannnnquille, tu vois ?
Encore mieux que Novart, le truc du gouvernement, dis
donc. Là, tu peux même faire travailler des enfants en lieu et place des
stagiaires donc c’est tout bénef !
2, 3 conneries supplémentaires …
Deejaying is dying at last, let the good times roll, oll, forever
Résumé des épisodes
précédents : 80 … last night the dj saved my life (from a broken heart) … 90 …
death of a disco dancer … 2014 …
Un après-midi où j’étais en RTT, je discutais avec mon
voisin arnaud hotflower de la dérive constatée de tous ces dj’s qui piquent le
boulot des vrais musiciens. 800 entrées à 10 euros …
Qui aurait prédit que ces dj’s qu’on appelait
autrefois, entre disco-dancers émérites, pousseurs de disques, comme on pousse
des caisses à la sortie de la patinoire où vint s’échouer, la semaine dernière,
avec son ban de 38 tonnes, comme des éléphants de (coran de ta) mer,
transportant qui un baobab en carton mâché, qui un panneau géant donnant à voir
le soleil couchant au Kilim Al jarreau, qui une compagnie de gospel à tarte,
yannick noaaaaaaaar (une bonne blague raciste de temps en temps, c’est pas mal,
si, si, vous y viendrez aussie, vers 2022 !), en guise de reconversion. Non mais sans
déconner, qui aurait pu prévoir que ce yannick noaaaaaaaaaaaaar, du fait de sa
nonchalance naturelle, eut pu gagner un tournoi du grand chelem ?
Nonchalance qu’il sût néanmoins, par son intelligence du moindre effort,
convertir en qualité quand il eut phallus (énorme !) convertir cette belle aptitude à monter
au filet en un filet de voix que les anglo-saxons ne nous envient pas.
Mais ils sont déjà habitués avec notre jauni national
qu’ils ne connaissent pas (admirable non sens). Et le chanteur le + long, aussie,
bien sûr.
Le lendemain (du RTT, con !), DirectMatin
m’apprend, dans son fameux « Agenda du week-end » que
le Samedi sera le pic culminant de ce phénomène de dejaying sur nos côtes
(travers) …
- Namaste #4: Astrix + G.M.S + Symphonix + Sonic Species + Riktam & Bansi + Sensifeeltrance/psytrance/goa (ital., nL, All., UK, Fr.), plus mapping & visual show par Y#/Fanfy et performances échassiers/cracheurs de feux par Les nuits blanches. espace du Lac (parc expo), 21h-7h, 20-30€
- Disco Punk Party #7: spécial battlesMixes dirty electro, hot 90’s, sexy trap, hip hop & booty shakers en versus, avec blank feat. Paula H. Satàn, blood bath... Heretic club, 23h-4h (fin des entrées à 2h), 5€
- Syndrome : James Ruskin + Ø [Phase] + Nuit + Loner (Semaine digitale)techno (UK, bx). i.boat, 23h55, 10-14€
- Hysterik XXL: Bill X + Floxytek + Harry Potar + GaufretteHardtek/tribe (Fr./bx). respùblica, 23h55, 5-10€
- Techno Brothers (The Jeweller & Dancefloor Patroller)tech/drum/trance/break (bx). bt59 (bègles), 1h-6h, gratuit
On peut donc prévoir un retour à la nordmäle dans les
4, 5 ans à venir, les dj’s vont gentiment reprendre leur place d’utilité dans
les dancings, là-bas, au fond, voyez, à gauche de l’entrée des chiottes. Dans
un trou noir, à l’abri des sunlights, et le teint d’endive au jambon qui sied
si bien avec leur tronche de nerd (tête de nœud) aka hipster dénoncé avec véhémence sur
internet ces jours-ci.
Cabale franco-française apparemment sinon comment
expliquer que Yanao, récemment converti au hipsterisme le + radical, n’ait pas
réagi à cette saillie contre son culte moulé ?
Roquenville
Alain star du bordelais qui s’était réapproprié ses
quais sous la menace de médiateurs culturels armés jusqu’aux dents, La
RouxSchool Barbey se réapproprie, cette année, le rock en ville (inventé par
les potaches kids éternels de l’asso Bordeaux Rock[s] (1)), avec l’appui de ses
policiers munisipeu, ceux là même qui avaient raté lamentablement,
souvenez-vous, le concours d’entrée à l’éducation populaire et qui se vengent
en lançant des grenades dans le dos d’honnêtes zads qui envisagent une planque
au PS, après le brevet …
(1) : avec un [s] pour faire iech le futur maire
(cf plus bas …) qui n’apprécie visiblement pas plus que ça les groupes en ST, d'en haut de ses échasses.
Le meilleur d’entre nous ouève, il vient de là, il vient du blues
I have a dream, today.
Le nouveau maire de Bordeaux s’appelle Guillaume
Gouardès. Comme son prédécesseur, il est originaire des Landes.
On se souviendra de Jujube pour ses quais, ses
monuments, son étron à l’entrée du médoc, ses allers-retours mystérieux à Montréal
(au parc lafontaine insinuaient les envieux …)
Alors, quelles pourront être les traces laissées par
ce nouveau grand homme, à la Bruel, qui nous arrive à travers la pinède, ce
grand échalas comme sur des échassiers pour fendre la foule vers un nouveau
challenge, ce GG pour la Ville (Clin d’œil à cet AJ pour la France qui met la
banane à tous les grands et les petits … écureuils du parc lafontaine à
montréal) ?
Et si on faisait un jeu pour fêter l’arrivée de ce
nouvel édile à Rohan, de cette nouvelle idole à pey-berland ?
Chacun donnerait ses propositions de réalisation de ce
nouveau maire ?
Allez (et Cazeneuve, ah merde, c’est
dans le 47, fais chier !), faites vos propositions,
quelles pourraient être (ou quelles devraient être !) les grandes
réalisations de ce grand homme, ses grands travaux à lui, sa
trannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnsformation (chère à dick) de sa ville d’adoption,
faites vos propositions à Cognacq-jay (*) ou directement à la Bastoche, pour
aller plus vite (toujours plus vite !).
Parlez en autour de vous qu’on nous débarrasse définitivement
le plancher de ces olibrius tristes et vieilles rombières qui empestent l’eau
de cologne, en place depuis la libération ! pour une équipe de jeunes avec
un projet politique roulé comme une andouillette vegan, un certain panache que ne renierait pas sieur Clémenceau,
vos agents sont devenus des cerveaux, grand amateurs de savate également, et « en réaction au conservatisme et au puritanisme qui
voudraient que la femme ne soit au monde sportif qu'un faire-valoir
masculin » [wikipedia, page 4952356897] au travers d’une
pratique raisonnée du Roller derby.
Votez Gwardeath, il vous en dira des nouvelles !
(*) p…, savez pas ? j’ai écrit cette annonce le
matin même du jour où cognacq-jay brulît, emportant avec lui, dans les flammes
de l’enfer l’histoire de la radio de type service public, ne laissant aux
antennes que les radios libres et leurs cadavres emmitoufflés.
Je crois que je suis en train de devenir medium comme
l’autre mescoinques au cul du lycée de talence, mais si, vous savez.
Autopromo en loucedé : Carnet2bal
J’ai
fait un petit outil sur internet, vous savez, pour vérifier si j’étais toujours
compétent en informatique après 32 ans d’activité plus ou moins
enthousiasmantes.
Bouquet final
Ouh la belle rouge !
Une nouvelle amitié est en train de naître entre votre
serviteur et le fondateur de Docks Dupont.
A l’occasion du rapport Feppia dénonçant la félonie (*)
du numérique et du départ à la rentière du ci–devant, nous devisâmes gentiment.
Indéniablement, on sent une détente certaine des
zygomatiques s’opérer naturellement, sans aucun doute dû à une certaine
distance prise vis à vis de ce milieu du travail, si enquiquinant.
Comme quoi, on a beau dire, la rentière, ça a du bon,
hé !
La quille, bordel !
Dans une 10aine d’année, je serais également enfin débarrassé
de cette affreuse tradition séculaire et on pourra alors, avec mon nouvel ami,
aller faire quelques parties de pêche à la ligne au bassin. Ou une bonne
pétanque à Gujan, pareil !
(*)qui n’a rien à voir avec la cliquaille libournaise
et stdenisdepilaise bien connue des Felloneau qui ont poussé l’outre cuir dance
jusqu’à envoyer leur petite dernière à la télé nationale montrer de quel bois on
se chauffe, dans la palud.
Ouh la belle jaune !
Soutenez
Aqui, ils ont besoin de vous.
Non,
j’déconne.
Ouh la belle bleue !
Ah
merde, voilà ! j’ai encore oublié de parler, que dis-je, d’invoquer ces
encombrants dont on nous rebat les oreilles, pour leur parler de tous ces
cartons à dégager là, à l’étage et au garage aussi, et de ces 3 objets assez
étranges dont j’ai rêvé cette nuit, si étranges qu’on ne pouvait les
matérialiser sous word, je me rappelle, et qu’il fallait donc un outil
graphique basique genre PhotoEditor 1.0 pour faire un collage viteuf,
l’enregistrer en jpg et l’importer dans les vachettes (par le trou du cul, par
exemple).
A
condition de se rappeler ce qu’il fallait coller, par contre.
Ce
qui n’est pas le cas.
Donc,
dans un souci légitime de productivité, de compétitivité en quelque sorte, on
va faire comme si on avait oublié ce rêve embarrassant, que dis-je encombrant.
Ouh la belle verte !
Sinon,
en bon d’achat (un bon d’achat est un d’achat mort), j’ai pris les 2
découvertes du french pop de cette année qui me permit d’envisager un nouvel
ami, Cléa Vincent et son étrange groove pedophilo-west coast avouable, et
Moodoïd, dernière sortie de la Gong Incorporation & fils (camemberts) &
filles (faisselles).
Thank you for purchasing: Möödoïd, Le Monde Möö - CD,
€15.00 Purchased 09 November 2014 08:20 AM ~ Payment 106086745 ~
PayPal transaction ID 1DA65659VN772423D
Thank you for purchasing: Cléa Vincent - Non Mais Oui
2/2, Limited Edition Compact Disc, €5.00 Purchased 09 November 2014 02:11 PM ~
Payment 414500744 ~ PayPal transaction ID 0VJ90297U8557980C
J’ai
filé 5 euros aussi à Wikipedia, pour jouer la transparence absolue, pas comme
ce Fillon qui cache derrière un nuage opaque de rillettes dûment chiantes comme
pas permis, ses inavouables penchants de cafteur.
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