chez odette

"Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM." Terrain Hostile.

dimanche 18 décembre 2011

Actumolle#3: Une douce sarkopé-e


écoute moi voir ... cou F C7 Bb7 tran Bb F Bb C?(X00010) ref Bb7 C7 F C? C9 G9+

Sarko
A pris son airbus,
A pris son air grave,
Pour aller à Bordeaux
Dénoncer la fraude sociale
La spéculation aux al-
-locations familiales.


Des crimes des prolos-voyous
Il avait été alerté sur le sujet
Par un ami huppé,
Un ex-amant dupé,
Un combattant du pet,
Un agent de la paix,
Elevé au bon petit lait UHP,

Un malin, un futé,
Un idéal UMP,

Bref, un Alain Jupé.

Commacko.

actumolle #2: La dette a fait maaaaaaaaaaaaal


écoute moi voir.
2ème au_cul_rance ... (Bb D9 (xx0210)) *2 (Bb7M D9) *2 C7

 
T’as vu ?
Il est joli ce petit caraco, non ?
Tu trouves pas ?
Il irait bien avec le p’tit short en jean (de l’an dernier) ?
Aïe
J’ai rien à me mettre pour la rentrée,
J’hésite
Doudoune ouatinée ou Trench angora ?

T’as vu ?
Dans le tout dernier catalogue des 3 suisses,
Tu le crois ça ?
Tu peux gagner une semaine à St-Barth,
Y’a un truc ?
Contre une promesse d’achat en or-massif,
De quoi mais de quoi ?
D’un chalet en bois au Fujiyama ?

Sans parler de ce tout dernier 4 :4
Qui nous fait tant rêver depuis si longtemps

C’était compter sans … la dette … oh a fé maaaal, oh la dette a fé vraiment maaaaaaaaaaaal, la dette …

Hé Nicolas,
Qu’est-ce tu penserais d’une rentrée pépère ?
Sympa,
Cul et chemise avec ces routiers sympas.
Maman Bobo,
Et comment qu’elles vont ce matin, nos infirmières ?
Tête de veau,
Lolo Parisot, elle a tout c’qu’il lui faut ?

Sans parler de ce tout nouveau syndicat
Vaudrait mieux d’entrée de jeu l’amadouer …

C’était compter sans … la dette … oh a fé maaaal, oh la dette a fé vraiment maaaaaaaaaaaal, la dette …

mercredi 30 novembre 2011

Qui se souviendra du CSMA ? / Edith Nylon Cinemascope

Soudain …

-----Message d'origine-----
De : Fraca-Ma [mailto:contact@fracama.org]
Envoyé : mardi 22 novembre 2011 15:29
À : Thierry Hosteins
Objet : newsletter du 22/11/2011
...

















Qui se souviendra du CSMA ?
Quand bien même son aîné, son fils prodigue, Rama, n’ose même plus, en société, prononcer son nom, annoncer la triste nouvelle, sa disparition.
Il n’y aura pas de discours, pas d’oraison funèbre de la part du fils aimant qui en pouvait mais. Rama, d’habitude si prompt au bavardage, ce coup-ci, est resté muet.
Même Vilcocq, notre aventurier du dimanche, qui nous livrait en cette journée du saigneur, qu’il pleuve ou qu’il vante, le journal de ses aventures rocambolesques, en a eu la chique coupée.
Nous sommes, depuis, sans nouvelles de ce personnage haut en couleurs, porté plusieurs fois à l'écran et notamment magistralement interprété par Claude Brasseur.
Il aura fallu qu’un lointain cousin auvergnat, un bougnat, un rustre, à travers une correspondance de peu d’importance, mentionne le disparu, le trépas de ce papa mais qui faisait aussi, parfois, mama, CSMA.
Que deviendront tous ces orphelins en panne, qui de mamelle, qui de prise cinch mâle-femelle ?
Que deviendront tous ces rejetons disséminés ça et là, ces garants de la diversité, en guise de qualité, aux vents mauvais des nouveaux amuseurs, à la merci des grands cannibales américains de l’entertainment et de leurs représentants au gouvernement, que deviendront donc ces smaques apeuré-es, dans cet univers tout d’un coup déstructuré, euh, en proie à des incantations atonales, peu en rapport avec la programmation pop/rock à la Pat’ Legaque en vigueur ?
Mama, j’ai peur de ce qu’il adviendra.
Qui se souviendra ?

Pour illustrer ce décès d’un être si peu connu, qui se targuait d’ailleurs d’être inconnu, qui gagnait aussi à être inconnu, en se gardant bien de partir à l’inconnu, une musique discrète, secrète, nue (et inconnue bien entendu) s’impose.
Euh … compliqué de trouver un truc aussi pointu en variété françoise ...
Ou alors un truc qu’on aura pris soin d’oublier à jamais, dont plus personne ne se souvient … Pas comme cet aznavaurien (vautRien marche aussi) dont on nous rebat les oreilles (décollées) sur radio nostalgi-e et que l’on pourra retrouver (pour se remémorer encore et encore ces airs entrainants éternels) à la patinoire ce samedi soir contre la modique somme de 100 euros. On aura noté au passage que cet aznavieuxRohan aurait été également pas mal en vilcoq à la télé ou à la mairie alain star de nos intrigants municipaux dont nous reparlerons forcément, comment les oublier ?
Le morceau choisi est également sur le mode jubilatoire (« Je vois ma vie en cinémascope, je vois … ma vie en panavision … »), chanté par Edith Nylon et, 30 ans après, il m’arrive encore de la chantonner avec conviction sous la douche mâtin mais, contrairement aux resucées d'aznavomi, je dois être un peu le seul, non ?

Après des heures et des heures de recherche (faites chier les mecs(, vous voulez pas les vendre vos p… de disques ou quoi !) ... bon ok, là c’est des vieux, probablement ils savent pas se servir d’internet …), …

Soudain …





















Commande 545061 - 29/11/11 | Vendeur : GMSI / Edith NYLON - cinemascope / passions - 45T (SP 2 titres) - VG/VG+ 5 EUR (1 ex) / Mode de paiement : Carte Bancaire / Total de la commande : 7.50 EUR

vendredi 11 novembre 2011

actumolle #1: Nafissatou, DSK & Tristane


Ecoute moi voir.
1ère au_cul_rance de ce nouveau concept révolutionnaire ... beaucoup trop long (comme souvent avec ces putains de morceaux lents) ... si pressé et/ou partisan, tapez 1 pour DSK, 2 pour Nafi, 3 pour Trist' ...
Comme la prononciation et la prise de son laissent à désirer, voici le texte de ce récit rocambolesque ou insupportable selon l'humeur ...


DSK est français, il a été ministre autrefois, un des plus brillants même, aux dires des mieux disants du microcosme, il a même été directeur du FMI un jour, c’est vous dire, et ce, sur recommandation d’un authentique président de la république française en exercice. Il a une femme aimante voire plus, si l’on s’en tient aux faits, m. le juge. Autrefois elle faisait partie du paf et a tout laissé tomber pour pouvoir le suivre dans son ascension.
Fin 2010, tout le monde le voyait même vainqueur haut la main aux primaires 2011 (bien qu’il ait pris aux précédentes, en 2006, une sacrée rouste contre Ségolène).


C’était avant que ne … Nafissatou, DSK & Tristane ... Tracas, fatum et bonnet d’âne … Anne, Anne, monnaie d'Anne Sinclair …


Nafissatou est arrivée un jour de guinée prétextant des incivilités de la part de ses congénères, qui s’avérèrent, comme nous l’étudierons plus avant, en partie exagérées. Elle venait d’un village reculé mais aimant d’après un frère, reculé mais aimant puisque resté au village. Arrivant aux states, afin de tenter sa chance, elle fit preuve d’entrée d’un certain manque de discernement, probablement par méconnaissance des autochtones, en accordant sa confiance à un trafiquant de drogue en goguette entre 2 séjours à Rikers.
Celui-ci à l’ombre pour un nouveau larcin, elle se mit en quête d’un premier emploi dans l’hôtellerie.


C’était avant que ne … Nafissatou, DSK & Tristane ... Tracas, fatum et bonnet d’âne … Anne, Anne, monnaie d'Anne Sinclair …


Tristane est des hauts de seine et, du haut de ses talons hauts à 800 euros la paire, s’en allait mâtin, toute pomponnée, quester un nouveau cador au gouvernement, en charge des austères affaires pécuniaires. Elle venait d’un village sous les sunlights des tropiques mais peu choyée, d’après TV7, par des parents qui avaient privilégié leur propre business. Ayant échoué dans la plupart de ses projets, scolaires ou de simple shopping, elle se destinait, en dernière cartouche à la mère, aux affres du journalisme puisque munie d’un dictaphone acheté 2 euros dans un vide-grenier à Montretout et d’une plastique irréprochable d’un point de vue de mâle entreprenant.
Elle entreprit donc, dès qu’elle eut ôté son pardessus pour être plus à l’aise, d’entreprendre le ci-devant.


C’était avant que ne … Nafissatou, DSK & Tristane ... Tracas, fatum et bonnet d’âne … Anne, Anne, monnaie d'Anne aux seins clairs …

mercredi 14 septembre 2011

Gedge, Nicolas, The Hedge, François et les autres (Vito, Toto, …)



Prochaine dissertation : Que voulait dire Gedge le visionnaire, dans cette autre chanson « Quand je s’rais président » (tiens, tiens) ? De qui voulait-il parler ?

Simplet à la culture me semble une évidence.

Bon, pour illustrer cette récréation en variété française, chez un de ces honorables représentants, même si légèrement mystique, probablement fou à lier voire, plus grave, de droite, on va rendre hommage à un indécrottable gauchiste avec une putain de vraie voix qui déchire sa race … françois béranger, qui nous a quitté récemment, hé oui, c’est toujours les meilleurs qui s’en vont les premiers, c’est pas les enflures de l’arrière train et de l’ égo-bitch, folle ? euh ouais. hein saïd ? égo-bitch, folle ? euh ouais. hein saïd ? égo-bitch, folle ? euh ouais. hein saïd ? égo-bitch, folle ? euh ouais. hein saïd ? égo-bitch, folle ? euh ouais. hein saïd ?

Et le morceau c’est « Tranche de vie ». à ne pas confondre avec « Tronche de vié » d’un (ou sur un) auteur plus comique-troupier à la Guy Béart.
N° de commande 171-7229246-7217102 Tranche de vie [Téléchargement MP3], Prix : EUR 0,89 Extrait de l'album : Tranche de Vie Par : François Béranger Vendu par : Amazon Media EU S.a.r.L


J’allais oublier un truc : lalala lalala lalalalalala lala.


lundi 27 juin 2011

Evento, cet avatar éventé (part I)

N’ayant plus trop d’Os Institutionnel en Musiques Actuelles (un OIMA en nov’langue) à ronger en ce moment (en fait, j’arrive toujours à leur trouver une excuse à ces gonzes, bonne pomme que je suis), j’ai décidé de déverser tout mon venin, soudain devenu inutile, sur l’ultime fumisterie en vigueur dans le canton.

J’ai nommé Evento, c’te merde.

Je reçois le 23/6 dernier dans ma b.a.l., ma b.a.l masquée, oh eh, oh eh (soit à une semaine du début du bouzin !) ...
L' édition 10*, anniversaire des grandes Traversées, initialement prévue les 30 juin, 1 et 2 juillet prochains, est repoussée au 22, 23 et 24 septembre 2011.

Ça te foutrait le blues même au plus solide des médiateurs culturels de la Palud (1), ce truc-là, non ?
(1) alors, la Palud, pour ceux que ça intéresse, si j’ai bien tout compris, c’est un peu genre les marécages le long de la 89, c’est pour faire genre référence à ce truc-là, tu sais, le bayou du delta du mississipi ? c’est comme une étendue fertile et mystique qui part de la zone industrielle d’Artigues au point névralgique où la drone enfile la garonne bien profond ou le contraire. Et oui, ami lecteur, pas simple les contours sinueux du blues du détroit ou plus près d’ici, de Près Bordeaux à Liburne DC !
Ou, tout au moins, à défaut de rêverie bluesy, ce mél invitait à la réflexion. 

Après les bordées d’injures d’usage pour lancer toute bonne réflexion sur les rails de l’apocalypse, comme on s’échauffe avant de faire un match de merde, je me livre à l’exercice suivant : comparons, cher candide (et Lefebvre), les trajectoires et concepts originaux de ces 2 grands barnums municipaux récents :
Les Grandes Traversées
(dites LGT)
VS
Evento
(dite « grosse daube qui pue l’arnaque politicienne RPR voire une ultime réplique de l’assassinat de R. Boulin, de la Palud justement »).

Une petite ballade sur l’internet où l’on fait ses emplettes (et, en période de solde, c’est plutôt bien vu, n’est-ce pas, Bastien ?) et ...
Les Grandes Traversées sont un festival permanent des Arts Contemporains.
...
La méthode et le projet sont simples : se laisser guider par l’artiste invité, pour découvrir, au coeur de son intimité et de ses amitiés artistiques, ce qui, aujourd’hui, fait sens pour lui.
Evento est une manifestation de création contemporaine, pluridisciplinaire, internationale dont le thème central est la ville. Cette 2e édition donne carte blanche à Michelangelo Pistoletto

Hum, hum … contemporain, … artiste invité … en la ville ... itinérance
Eureka, putain, ça y est, con, en fait, Evento, le grand nigaud, a pompé le concept à Les Grandes Traversées, le petit madré.

Et le petit madré, en l’occurrence c’est Eric B. (B. comme
blues).
Et ce petit madré n’a rien dit pendant ces dix longues années (absurdité journalistique classique puisque Evento n’a qu’un an d’âge).
Sauf peut-être en anglais dans ses chansons blues mais je suis pas très calé dans la langue de Rooney et du Général Custer et je connais fort mal son répertoire (au petit madré bien sûr et non pas au véloce anglois ni au belliqueux ricain … et non au belliquain riceux, ce qui n’aurait rien voulu dire).

Et oui, Eric B. (comme le jeu de mots foireux juste au dessus) ne veut rien dire. Pourquoi ?

Un indice dans le Sud-Ouest du 20/10/09: Eric B. aurait été pressenti avec Pitoiset pour être coordinateur Nov'art 2010 (autre mega-fumisterie municipale déjà évoquée).
Finalement, Pitoiset a emporté le morceau (de susucre et non de chair sanguinolente comme au bon vieux temps de Sigma). Et Eric B. n’a rien dit une fois de plus.
Que sait-on de ce qu’il s’est tramé alors, dans les entrailles pestilentielles du Palais Rohan ? Rien comme d’hab’ (à cette époque, ils devaient être tous sur le pont, derrière le coq jupetto au sujet de cette pitoyable affaire de vieille héritière neuneu dont j’ai oublié le blase et qui se faisait gentiment dépouiller par des notables en poste à la mairie + 1 voyante … trop cool …).

L’omerta du milieu culturel, comme toujours, était assourdissante.
Il faut dire qu’en situation de précarité, tout le monde tient tout le monde par les couilles (par les nichons, si vous préférez, même si c'est moins usité et pas seulement pour des convenances sexistes).
Tiens, tiens, je l’ai déjà fait celle-là, non ?
Et oui, ce baratin que je vous livre, ce jour, tout de go, comme
je le pense, au tout début de l’été, rejoint très exactement ce que je disais dans un post oublié par mes soins sur Nov’Art 2010 et la note d’intention de Pitoiset, celui qui avait emporté le morceau, il y a 1 an tout juste.
Soit je commence à radoter, et c’est parfait !
Soit je suis droit dans mes bottes et dans mes idées tel le Chaban pré-grabataire et son nouveau Monde merveilleux.

Bon, tout ça pour dire que, c’est bon, tu peux y aller, Eric, tu peux enfin cracher le morceau (de chair sanguinolente), arrêter la langue de bois et les ellipses futées comme dans le Spirit ! #71 (http://issuu.com/spiritbordeaux/docs/spirit_71light).
Comme Chevance, le premier lâché, le mois dernier, suite à une
première trahison institutionnelle.
Allez Eric, lâche donc les chevaux écumants du châtiment à travers la Palud et ses brumes du matin angoissantes.
En blues si tu veux.
En blues nerveux, par contre.

Pour illustrer cette première saillie contre cette "manifestation culturelle" pourrie, et ses 2 axes majeurs (à la saillie) à savoir le blues et la promotion des artistes du crû, comment ne pas distinguer ce grand trouvaire digne de cenon de Dècheman que j’aimais pas dans Dèche d’en face car je l’avais (peut-être à tort mais pas l’temps d’analyser si oui ou non) assimilé à cette autre pourriture de rock alternatif français.
J’ai choisi une ballade qui s’intitule délicieusement (et mystérieusement) Joe and Violette et qui pourrait accompagner avantageusement une déambulation rêveuse en ville à l’occasion d’une nouvelle instance de manifestation municipale. Pourrie.
Signalons que celui-ci chante habituellement en Anglois mais il s’agit ici d’un instrumental donc ça passe comme expliqué quelque part sur ce blog. Pourri.
En revanche, aucune trace à la vente de ce morceau sur internet (si vous voulez pas vendre, les gars, …, déjà dit également) donc on va plutôt acheter, une fois n’est pas coutume, un ouvrage à lire pour les vacances, (je vais faire un p’tit tour à Dresde, je mang’rais de la panse, j'envahirais la France, déguisé en
soldat SS (1)).

(1) celui qui trouve, celui qui trouve, celui qui trou-ou-ouve à quelle chanson fait référence cette fantaisie militaire gagne sur le champs 100 disques d'Alkatraâz).

Oui euh, donc l’ouvrage en question c’est : 
Numéro de commande : 1252WNJQM1YVM Vendu par  Fnac.com Vie culturelle a bordeaux 1945-1975 F. Taliano-Des Garets (broché) 24,63 € 

Un bon été en vos applaudissements.



Autres articles remarquables sur les vertus et vicissitudes libidineuses comparées des LGT et du EVENTO :

dimanche 5 juin 2011

Si Odette m’était comptée, mes chaussures seraient manufacturées, comme il se doit.

Comme naguère évoqué par Joe « Et merde ! » (1) Dassin à l’occasion de son manifeste « Et si tu n'existais pas (Dis-moi pour qui j'existerais.) », nous allons étudier à travers ce post quelques interactions entre l’existence ou la non existence des uns et l’existence ou la non existence des autres.
(1) (2) admirable dernière phrase (selon son biographe officiel M6) prononcée en ce bas monde par Big Joe réalisant soudain le déclenchement de son 2nd infarctus, fatal celui-ci.
(2) nouvelle technique pour essayer, en limitant les parenthèses et digressions horripilantes pour les uns (existants), enthousiasmantes pour les autres (non existants), de rendre plus aisée la lecture au lecteur occasionnel (celui qui lit un livre par an, pendant les grandes vacances, par exemple) et qui comprend plus que dalle à ce qu’il lit, à la première virgule envisagée (comme on dit dans les notes d’intention).

Pour être plus précis, ça fait un bail que je voulais faire un post impitoyable sur la pitoyable odyssée de cette odette, et surtout, au grand surtout, sans jamais, au grand jamais, s’apitoyer sur le sort coquin qui s’acharna sur icelle, comme DSK sur la 1ère gourgandine envisagée, dont l’intention ne faisait alors aucun doute.

La lecture du plaidoyer d’Eric Chevance, à l’occasion de son départ du TNT a ravivé en moi cet instinct salutaire de charognard éructant ses viscères.
Vous objecterez à raison, vous autres, gens raisonnables car rassasiés: oui mais … les trajectoires de cette Odette et de ce TNT sont notablement différentes, mon jeune ami.
Odette était une micro-structure, un vermisseau qui n’avait d’associatif que son statut et ne représentait que les intérêts d’un seul individu qui voulait se faire une place (rémunérée) dans la cour grasse et ombragée où se languissent les grands vers luisants et autres vers à soi, … euh pardon … à soie (dont ce
TNT, ça va de soie).

Odette n’en pouvait mais (expression qui sonne pas mal, dont la signification m’échappe mais qui s’envisage comme une respiration dans la trame A, arrêt Galin, face le Speedy).
Si bien qu’à force à force, comme on dit aux salinières où il n’est jamais question de s’abaisser à chercher des financements, tout le temps, ça devient agaçant, le vermisseau s’est desséché malgré force ravitaillements aux alentours de 19h30 pour essayer de relancer la machine à boniments.

Car, et c’est bien de ceci qu’il s’agit, le point commun entre cette Odette, ce TNT et probablement cette Scala de Milan, c’est :
Comment faire apparaître son projet (1) comme incontournable voire, comble de bonheur et d’excellence, tutoyant, peu ou prout, une mission relevant du service public ?
(1) qu’on peut également écrire Pro-j’ai, comme contraction de : « Du Professionnel, j’ai tous les atours » ou « Le Profil, mais foutre-cul, bien sûr que j’ai le profil ! »)

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah, le service public, ou, tout au moins, un machin-bidule incontournable voire tutoyant une attribution d’une des strates du mille feuilles territorial et culturel à la Framçaise.

Apparemment, ce TNT avait, par l’entremise de Chev’(1), un jour d’emphase de niveau national, convaincu un ministre (préférer un conseiller de l’élysée, sous sarkono 1er) de l’intérêt national de son entreprise de chaussures.
(1) afin d’instaurer une ambiance plus cosy à ce post mortifère, je décidais d’avoir recours aux diminutifs des uns – existants – et des autres – non existants – ; Chev’ fait ici référence à E. Chevance et non à Andreï Chevtchenko, autre fou de la balle, fou d’balle, ni au groupe cheveu, mon neveu, qui a également un bon camphre.

Quelques années plus tard, le ministre en charge d’apprécier ce qui est du domaine public et ce qui est du domaine de la sous-merde, comprenant qu’il ne s’agissait pas de recycler de vieilles groles pour en faire des flûtes de champagne (ou de mousseux, selon si c’est en les murs ou hors les murs) pour vendre aux épicuriales ou dans les stations-service, commença à remettre en question la dimension service public de cette entreprise confidentielle puisque n’ayant pas réussi à toper un stand aux dites épicuriales et que la dernière station-service sur les boulevards à hauteur de Bègles et susceptible de promouvoir le projet culturel de l’ancienne manufacture était tombée entre les mains d’Al Qaeda (selon Le journal du Médoc) ou de Frédéric Boucher (selon Gold FM).

C’est une première, je crois, qui voit un financement (qu’on pourrait assimiler ici à un acquis culturel, pour faire de droite) accordé depuis des lustres (très exactement à la 3ème sortie à gauche après les 30 glorieuses), remis en question. Et ce précédent, je le crains, va donner du courage à certains obscurs institutionnels, toujours en quête d’un nouveau signal pour justifier leur lâcheté, et va faire des petits (contrairement aux apparences, je ne m’en réjouit(pronounced [prəˈnaʊnsT]) – clin d’œil au passage à l’attention de mes innombrables amis d’enfance cestadais - pas du tout’ (pronounced [naʊnsT])).

Contrairement à Chev’, Chevance en l’occurrence, je pense, que l’outrecuidance de ces gibiers de potence n’a qu’une lointaine incidence sur la déliquescence de notre présence et qui nous fit illico en vacances et, comble de malchance, sans la moindre finance, pour faire bombance, …

En fait je pense que ces gonzagues territoriaux n’ont, à l’instar de leur courage, qu’une prise minime sur le cours des choses. Celui qui fait la diff’ (la différence et non pas, malheureusement, la diffusion), cher Chev’ (le garçon, trouver son nom, chercher le pognon …), une fois de plus, c’est le public (à ne pas confondre avec le service public, ni avec le service 3 pièces, d’ailleurs).
Le public.
Celui sans qui rien ne serait possib’ comme on dit au quebec, à tout bout de chant.
Le public, ct’enfoiré !

Pas si simple, Chev’, et je m’en vais m’en expliquer.
En parlant de moi, une fois n’est pas coutume, pour une (dernière (1)) fois.
(1) Loin de moi l’idée de me soustraire à l’existence (pour reprendre la dimension en vigueur dans ce post existentiel), la non existence de mon humour rendrait mon existence moins épatante.

Il se trouve que, et telle est ma pénitence, j’ai toujours vécu à cheval sur ces 2 mondes parallèles qui s’ignorent royalement, le monde du travail qu’on pourra symboliser par sa déesse de l’utilitaire, Mérignaque (évoquée dans un post précédent) qui danse sur ses hideuses zones industrielles à perte de vue
et d’humanité et le monde des arts qu’on pourra symboliser par la Place Renaudel et ses farfadets malicieux qui déboulent de toutes parts pour nous jouer un tour merveilleux.
Il est amusant pour tout un chacun sauf moi (quoique … si finalement, c’est amusant quand-même), de constater que j’ai échoué dans le « culturel » par la même insuffisance chronique que dans la « vraie vie (la vie ou vit le public) », où j’exerce dans l'activité, inconnue à juste titre, de « service informatique » (à ne pas confondre avec le service public, ni avec le service 3 pièces, d’ailleurs)..
Vers 93-94, constatant une stagnation totale de mes affaires, tel le mime marceau mimant l’ennui (ou sophie et sa moue, ou le spectateur occasionnel devant un spectacle de mime), et envisageant toujours, pour la suite, une arrivée massive de caillasse dans mes fouilles, prévues à cet effet, je me proposais, tout de go, pour changer d’attribution, de passer de la vulgaire technique à la flamboyance du commerce, et donc soumettais ce projet (déjà) à mes supérieurs hiérarchiques (mes institutionnels de l’époque … comme la vie est bien faite, chacun a affaire à un institutionnel ad hoc, à chaque étape de sa lente déchéance). Ceux-ci, toujours prompts à la déconne, refusèrent, tout de go, cette proposition, arguant … rien du tout, comme souvent dans le monde merveilleux de l’entreprise cher à Lolo Parisot où l’explication n’apporte aucune sur-prod’ donc on s’en branle.
Quelques années plus tard, exerçant (enfin) cette activité commerciale, pour le compte de cette Odette que j’avais créée de mes propres mains, pour me distraire (et puisque personne d’autre n’avait jugé bon de me confier une mission commerciale), exerçant mes talents, donc, à l’attention des institutionnels, les seuls, les vrais, ceux de Mériadèque, pas leur pâle copie de Mérignaque, du monde merveilleux de l’entreprise cher à Lolo Parisot, je justifiais involontairement, en obtenant systématiquement que dalle, la décision de mes supérieurs hiérarchiques du passé qui avaient finalement fort bien analysé la potentialité du candidat.
Comme quoi le monde merveilleux de l’entreprise cher à Lolo Parisot est pas aussi nul qu’on veut bien le dire, surtout les feignasses, les jean-foutre et autres artistes.

Parce que c’est ça, le truc, comme des millions de pécores qui grossissent les rangs du non-public, n’ayant pas eu les couilles d’abandonner lâchement mes études, comme l’avaient fait très rapidement mes amis artistes en devenir (qui allaient quand-même en chier des ronds de chandelles pendant des années avant d’obtenir une situation précaire mais à peu-près viable, à force de privations), je me suis retrouvé dans ce putain d’engrenage où tu réussis donc tu continues sans jamais rien remettre en question de ce putain de système puisque ça fonctionne et, un jour, au bout du bout des rails, sur lesquels tu avances cahin-caha, tu te retrouves, com1-connard, à passer sous la porte où il y a écrit « arbeit macht frei », servile comme pas 2 et malléable à toutes les propositions les + incroyablement humiliantes que peut te faire le monde merveilleux de l’entreprise cher à Lolo Parisot.
Et Dieu sait que ce monde cher à Lolo et Mérignaque a de l’imagination (dans le cadre du boulot seulement, parce qu’en dehors, queud ! (1)(2)).
(1) Té, ça me rappelle un collègue qui venait du Gers comme Tartarin de Mescoinques. Quand il y avait un apéro chez un collègue après le boulot (ça remonte un peu, y’avait encore un semblant d’humanité dans ce cloaque cher à Lolo), il se pointait,
bouffait tous les biscuits apéro et s’endormait aussi sec sur le canapé. En toute logique chère à Lolo, il est devenu chef.

(2) Un de mes amis artistes qui fait dans la chanson françoise et
le court-métrage un brin sarcastique mais qui va tout de même à l’essentiel à la fin, que l’on nommera, pour respecter son anonymat (3), Jack Turner, s’est retrouvé, le week-end dernier, sans préparation spécifique, en contact involontaire avec des gens de la vraie vie (chef d’agence bancaire, comptable, …), par l’entremise d’amis d’amis d’amis de sa moitié. Il en est revenu tout traumatisé. Un peu comme ses journalistes, otages des grands méchants orientaux enturbannés, et qui reviennent de ce monde « compliqué avec des idées simples » lessivés mais célèbres. Un détail, amis journalistes (je peux me lâcher, c’est en italique et personne ne lit jamais ce qui est en italique), si votre motivation n’est pas de devenir célèbre, n’allez pas dans ces terrains hostiles, la non existence de l’évocation de ce qu’il s’y passe ne modifiera que très superficiellement le cours de nos existences. Que nous soyons du monde de la vraie vie ou du monde de la fantasiiiiiia, indifféremment.

(3) cette expression n’a guère de sens pour un artiste qui, a priori, rêve que l’on ne respecte surtout pas son anonymat.


Reprenons le cours palpitant de la vraie vie que nous nous sommes choisie …
Le soir (vers 20h30-21h), tu rentres chez toi, le cerveau mis en lambeaux par ce travail à la fois très difficile et sans aucun intérêt que t’as proposé le monde merveilleux de l’entreprise
cher à Lolo Parisot et tu n’as d’autres ressources que de t’affaler sur le canapé et jeter un œil torve à ce qui se passe sur le petit écran, dans le monde parallèle des artistes.

Et qui ne t’intéresse pas plus que ça, car ce qui est important, dans la vraie vie (« la vie où ne vit pas l’artiste »), c’est le boulot et, s’il te reste un peu d’énergie après le boulot, c’est pour essayer de justifier comment ton entreprise que tu aimes et qui t’aime peut se comporter aussi mal avec toi, qui a pourtant fait, tout le temps, ce qu’on t’a demandé de faire.

Il te reste, donc, en quotité disponible d’attention à une proposition culturelle, et ceci recroise la fameuse théorie du Temps disponible de cerveau énoncée par le Dr Lelay du laboratoire d’étude (n)euro-comportementale TF1, de quoi tenter de suivre les exploits laborantins des Experts, une tisane et au lit.
Le week-end, tu te régénères un peu, tu te prend une petite murge pour dire et c’est reparti pour un tour de soumission à essayer d’attraper la queue de la reconnaissance.

Alors, autant te dire, Chev’, que les propositions de ce TNT ou de cette Odette, tu n’en as aucune espèce d’idée :
o       ni de l’existence,
o       ni du support qui te permettrait de découvrir son existence,
o       ni du fait que, potentiellement, il puisse exister quelque part sur terre (de quoi ? à 2 pas de chez moi (1), il y aurait à 2 pas de chez toi (1) des gens qui vivent la vie de ceux du petit écran ?) une forme de vie qui ressemble à celle vécue par ces artistes précaires sur ces planètes TNT ou Odette, tout ça ne fait juste pas partie de ton monde borné, entièrement voué à ta sainte-patronne Mérignaque.
(1) l’utilisation du je, tu, il générique devient totalement bordélique dans ce récit. Pour y remédier et par décret du 4/6/11 15h04, je, tu et il c’est pareil.

Le problème, Cher Chev’, à mon sens, n’est pas qu’un institutionnel sucre un jour tes subventions ou ne m’en accorde jamais, mais ce système global, de type perdant-perdant du point de vue de l’élévation de l’être humain, bizarrement de type gagnant-gagnant du point de vue économique, où personne n’est coupable mais chacun à son niveau participe à la décrépitude générale qui fait que, dans 50 ans probablement, la culture ne concernera que 0.001 % de la population, ces 0.001% de la population représentant également, ça, c’est fort de café, les 0.001% de la population ayant réussi après des années de disette à obtenir une situation précaire à peu-près viable, à force de privations, dans une discipline artistique.

Bon je crois que j’ai fait à peu près le tour de ce que je ne voulais pas forcément aborder dans ce post si ce n’est pour faire causette entre ce Chev’ et cette Odette.

Pour enfoncer un peu plus le clou (du spectacle) dans mes flancs (que j’aimerais plus) émaciés, (l’été approchant,) et c’était donc ça, l’objet initial que je visais, à travers ce post impitoyable mais j’ai trouvé mieux à faire, chemin faisant.
Comme un purgatoire à cette odyssée brinquebalante entre Mérignaque et Mériadèque, tentons de répondre à cette question embarrassante :

« Et si Odette n’avait pas existé, quelle aurait été la trajectoire de tous ces amis-chanteurs accompagnés ? ».

Adonnons-nous, pour cela, aux joies de l’inventaire (cher au gestionnaire de stock, vous savez ?):

  • Supermika : le premier et probablement le plus imprégné de la philosophie d’Odette, puisque s’est totalement desséché en totale synergie avec la vieille chounette. Auraient-ils gardé leur fraicheur de « Nouvelle fête chez Max » s’ils n’avaient croisé un jour la vieille chounette ? difficile à dire.
  • Frantz : grâce à odette, a découvert sa vocation, le juridique et renoncé à toute carrière de chanteur aux dernières nouvelles. Dommage car le bourru avait bonne bouche et bonne attaque.
  • Leq : le seul à assurer que Odette lui a pourri l’existence. C’est pour ça que c’est resté un bon pote. Je pense qu’il est comme Odette trop charançonné, trop attaché à sa dynamique d’échec, pour avoir un jour assez d’énergie pour réussir malgré toute cette engeance de 30 ans.
  • Snut / Polder : d’un naturel bonhomme(bien que supporter du PSG), El Magnifico Seron suit son chemin qu’il connaît par cœur. Odette aura été une étape chaleureuse.
  • Jon Smith : ah jon smith … je pense que la rencontre avec Odette a été bénéfique humainement et logistiquement (le déménagement sur Bordeaux a été indéniablement bénéfique en terme de qualité de vie pour ce gonze).
    Artistiquement, va t’en savoir … s’il était resté à Paris, n’aurait-il pas eu d’autres types d’opportunités ? on ne le saura jamais mais, pour l’heure, le ci-devant privilégie sa carrière vidéaste où il a une bien meilleure technique individuelle qu’à la 6 cordes, enfin j’me comprend.
  • Maria Blonde : le capharnaüm, un gonze dans lequel j’avais placé tous mes espoirs de professionnalisation de cette Odette et qui se révéla très surfait. Un autre à qui j’avais préféré le premier, quelle bonne idée !, et qui est resté un très bon ami. Un 3ème que je vois de temps en temps dans le tram ligne A.
  • Kim, Pull, Call Gate, Aeroflot : pour ces fleurons du rock bordelais, Odette aura été une étape sympathique, je pense. Un peu plus pour le néo-papa David De Lesseps qui reste également un ami cher bien qu’étant depuis peu rangé des guitares.
  • People on holidays / Minuscule Hey : Odette aura permis à ces olibrius de passer un cap. Malheureusement, les olibrius ont du mal à passer le dernier cap qui leur permettrait de basculer, à force de privations, dans le monde merveilleux des artistes évoqué + haut.
  • Microfilmures / Alkatrâaz : Odette aura permis de graver ces trucs au bon soin du long trail.
Pour illustrer cette tranche de vie (vraie ou rêvée), je voulais mettre Supermika « Les américains » mais ils sont tellement blaireaux (cf + haut) que ce titre, 1 des derniers que j’ai apprécié, est introuvable sur la toile.

En clin d’œil à JL Veyssy et son positionnement bordelo-éditorial « pas de salut éditorialo-économique hors les sciences sociales » (1), choisissons un titre censé illustrer ce que pourrait être une musique qui relèvent des sciences sociales …

o Les Charlots / Merci Patron
o Les Escrocs / Assedic

Ces 2 là, pionniers en la matière, ont acquis ma reconnaissance éternelle contrairement aux adeptes de Mérignaque qui n'auront jamais droit à une quelconque tape amicale de quiconque, pas le grand singe, l'autre.

N° de commande 403-6386191-8770725
Merci patron [Téléchargement MP3], Prix : EUR 0,89 Extrait de l'album : Les Charlots L'Essentiel Par : Les Charlots
Assedic [Téléchargement MP3], Prix : EUR 0,79 Extrait de l'album : Faites-Vous Des Amis Par : Les Escrocs
Vendu par : Amazon Media EU S.a.r.L

(1) Terrain Hostile s’y essaye, depuis. en voiture titine pour 2012 http://perso.wanadoo.fr/odette/Belzeburne.mp3.

dimanche 15 mai 2011

FCA002 Fiche de capitalisation artistique

FCA002/1 Principaux faits saillants
Cœur de cible :
Connasses (6-195 ans)

Registre émotif :
s/o.

Debriefing carrière :
Il (François Feld{Marschall}man) est d’origine russe par son père et belge par sa mère. Sa fille, fruit de son (François Feld{InLove}man) union avec Caroline Gardel (dont le nom d’artiste était Fanny Gardel), se prénomme Joy.

Les débuts difficiles (1980–1986)
GnaGnaGnaJouePasGnaGnaGnaJouePasSansMoiGnaGnaGnaFunkGnaGnaGnaRadioCrochetsGnaGnaGnaYellowHand.

GnaGnaGnaJouePasGnaGnaGnaJouePasSansMoiGnaGnaGnaCarrièreSoloGnaGnaGnaWallyBouleNoireGnaGnaGnaSansGrandSuccès.

Les trois premiers albums et le succès national (1986–1993)
GnaGnaGnaJouePasGnaGnaGnaJouePasSansMoiGnaGnaGnaRienQuePourToiGnaGnaGnaCaillasseGnaGnaGnaPétassesGnaGnaGna …
… ELLE …

Me Feldman prête à accomplir son 1er
devoir conjugal de la journée, dès potron-minet.

Retour à une carrière confidentielle (1993–)
GnaGnaGnaJouePasGnaGnaGnaJouePasSansMoiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOui
GnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaJoyGnaGnaGnaTraverséeDuDésertGnaGnaGnaGalasGnaGnaGnaLaCoupoleStLoubès(*)GnaGnaGnaBoucheAOreillesGnaGnaGnaRFMParty80.

Salut l’artiste ! et … amitiés à vot' dame …
Ouh la la, tu trouves pas qu’il a l’air fatigué, François, il aurait pas un peu trop tiré sur la corde (pas la vocale, l’autre) avec sa jeunette.

(*) c’est probablement lors de cette date (comme on dit dans le show-bizz) que François, non content d’aller à la rencontre de son public (faut dire que le public de la Coupole à St-Loubès, c’est genre le public de Radiohead dans 30 ans, t’as qu’à voir …), François, lors de ce pèlerinage, rencontra la foi, par le truchement de cet apôtre Loubès, en charge depuis des lustres de la variété dans la Communauté Urbaine (Urbain faisant référence ici au vénérable patron de la paroisse de Thionville-Guentrange (57100) et non pas à cette prétendue métropole millionnaire du XXIème siècle qui vient d’en prendre 4 à la maison contre un bled malfamé presqu’allemand, sauf d’un point de vue robustesse automobile).

Quelque chose à déclarer, chef de produit ?
NON
...
Quoique, finalement, si ... y’a quand-même ce truc-là, le funk, on peut pas dire qu’on a trop poussé cette piste-là ! On était vraiment des branleurs à cette époque, te rappelles, Bastien, ah les cons, tout ce pognon qui tombait comme à Gravelotte. Sans rien branler. Et des putes partout … à perte de vue …
C’était sympa, te souviens, Bastien ?
Ouais … faudrait voir ce truc-là, à l’occasion, le funk, un petit duo avec … comment-ils s’appellent déjà les 2 mecs là, le gratteux et le bassiste de ce groupe-là, euh comment ?, Chic, ça doit pouvoir se goupiller ça, non ? Ou alors avec Image ?
Ou alors … Yellow hand, mais ils sont où ces gonzes ? T’as des nouvelles, Bastien ? 


FCA002/2 Mais qu’est-ce qui n’a pas marché, bordel ?

Peut-être que, dans le cas de François, peut-être qu’on peut évoquer le fait que la relation avec Me Feldman a été un petit peu trop chronophage au début (pendant 3, 4 ans) et qu’il  (François Feld{PoirierPapa}man) aurait, en quelque sorte, un peu négligé ses affaires, euh … ses gammes serait plus juste, en l’occurrence, au détriment d’hommages répétés à sa muse.

Le tournant mal négocié :
Et puis il y a eu également ce truc insensé (source : WikiVousSavez) …

Invité (François Feld{DindonMamie}man) à chanter lors du Téléthon 1996, il commet une gaffe en invitant le public, composé majoritairement de personnes atteintes de myopathie, à se lever. Il s'exclame « Tout le monde debouuuut !  » avant de se rendre compte de sa bourde et de finir sur « …là-bas !! » en désignant une petite partie du public ne se trouvant pas en chaise roulante. Peut-être sans cause à effet, ses (François Feld{PaonPeterPan}man) présences télévisées depuis cet incident ont été progressivement réduites.

NDLR : pour mieux comprendre cette gaffe inouite (du même tonneau que la dernière série TV américaine Dead BinLaden à laquelle on préfèrera, à tous les coups de pistoles et autres dagues, les bonnes vieilles sagas Dead Kennedys ou, par chez nous, Petit Gregorys), c'est-à-dire que le père François n’avait pas trop la tête à l’empathie, à ce moment-là (l’empathie qui, soit dit en passant, serait le nouveau moteur de demain, théorie échafaudée par je sais plus qui chez FOG Vendredi soir et pour cause, je m’étais légèrement assoupi), ce pauvre hère, ce saint, François, celui qui chante, celui qui chante, celui qui chan-ante, en effet donc lui le saint, en ce jour funeste, paraissait un peu préoccupé. Sa dame venait de lui signifier, avec sa geste délicate mais précise, que 4 saillies par jour était un peu insuffisant pour son teint de rose et qu’elle envisageait l’appoint d’un second étalon, éventuellement moins porté sur les choses du funk voire carrément adepte de la bourrée (Note à l’attention des djeuns : dans ce cas de figure, et seulement dans ce cas-là, on aurait aussi pu écrire bourrée avec un r, le sens de la phrase n’en étant que très légèrement altéré).

Artiste sur même cœur de cible qui surfe encore sur les lèvres lippues de la gloire et de la dolce vita, à rien branler et emplatrer comme un goret:
M

FCA002/3 Suites à donner :

Faut-il relancer sa carrière ?
Pas forcément. Faudrait demander au public, ce fumier.

Utilisation en synchro possible :
Campagne de prévention contre le surmenage des hommes mûrs qui filent, tel guy l’éclair, vers un infarctus mérité.

Utilisation en duo possible :
M ou L.
Le risque avec L, c’est qu’il (François Feld{JoliCoeurKebabDönerSansFritesNiOignon}man) se sente pousser des ailes, comme autrefois avec fanny (qui forcément s’est un peu fanée, au gré des années, elle tendrait plus vers jauni, fanny et plonge dans l’embarras le péni à françois, qui ne hennit plus que nenni ou mercredi) et reparte, à hue et à dia, tel henri IV qui y croyait turgescent comme 1 os, vers un quadruple pontage corona-schweppes.
Avec M, le risque est moindre, le sujet évoque moins, pour ses cons gen’r (clin d'oeil à mon public djeun) qui dansent à ses mélopets et pour les quelques autres empêchés, les choses de la bourritude appliquée et systématique.

Utilisation en Tournée Revival :
Comme toujours, pas mal de possibilités, dans cet exercice récréatif:

Tournée revival « Joue pas, joue pas … à tripoter mon blouson, avec ton marcel pourri, tu vas prendre un ramponneau ! »
  
 Tournée revival « Ouais beh moi, au moins, j’ai essayé de transposer la coupe afro ! »

Tournée revival « Ouais beh moi, au moins, j’ai essayé d’inventer de nouvelles approches de l’oreille opposée ! »

FCA002/4 Enseignements D/A :

Réutilisabilité, clonage, points intéressants (resp. rédhibitoires) à reproduire (resp. éliminer) sur un postulant (resp. sncfulant) sur même cœur de cible ?

Mais, oui au fait, comme évoqué plus haut par un habile procédé narratif, au fait …, que sont les Yellow Hand devenus ?
On avait fait grand cas de leur disparition inopinée à 2 encablures d’un succès interplanétaire, comme jauni à las vegas et son public amené (les grands du show-bizz amènent leur sono pour pas être emmerdé, tous les réglages sont faits, nickel ; les très grands du show-bizz amènent leur sono et leur public pour pas être emmerdé, tous les réglages sont faits, nickel).

Ah ouais, je me souviens maintenant, on avait reçu un courrier, te rappelles, Bastien ?
« vous inquiétez pas, je suis parti en Australie, en service commandé par Winston Churchill et Jacques Lafitte, pour apprendre le funk aux aborigènes et aux kangourous. Faites pas attention aux gravats dans le jardin, j’en ferais des maracas en rentrant. Et avec les osselets qui sont dessous, je ferais des bâtons de pluie. »

Putain mais attend, si ça se trouve, sous les gravats, la plage … euh non, j’ai perdu le fil là … la main jaune, putain, la main jaune, yellow hand, il les a buté ce con de François. Mais pourquoi il a fait ça, ce con ? ah ouais … c’était peut-être pour appliquer les nouveaux quotas, tu sais, « il faut en finir avec ces mecs funky à double nationalité, ici en France on te forme des mecs au funk, gratos, et une fois qu’ils sont formés, ces enfoirés, au revoir les loulous, on va aller funker ailleurs, papa, dans ces pays qui n’ont qu’une vague notion du groove et du fun, tu vois, et où on peut s’en foutre plein les fouilles, tu vois, papa ? ».
Euh non, je vois pas trop là, tu parles de quoi là, je vois pas trop le rapport avec la réutilisabilité de la carrière de François, notre pèlerin de l’amour ?
Mais si putain, ça a carrément à voir ! En fait, ce qu’il faut comprendre dans cette histoire, c’est que François, tu vois, en fait sa véritable identité c’est Saint François d’Assise (devant), tu vois ?

En fait il (François Feld{MortGarcimore}man) est la réincarnation de Saint François d’Assise (tout court). Tout comme lui (cf WikiDitQuiEst), il est analphabète, il rit quand il pète, il a fondé les franciscains pour faire son américain, il a fondé san francisco pour y planter ses haricots, il a fondé al qaeda, youkaïdi youkaïda, mais il n’a pas écrit …

« la célèbre Prière pour la paix, appelée aussi Prière simple ou encore Prière de saint François »,

En revanche, il a peut-être écrit …

« d’autres prières, autrefois fameuses, mais qui ont récemment perdu du crédit auprès des chercheurs et ont disparu des éditions critiques des écrits de François. Deux textes sont autographes (LLéon, LD-BLéon). Pour d'autres, on a un témoignage attestant que François en est l’auteur (CSol).
Parfois, comme cela arrivait souvent au Moyen Âge, François a dicté un texte à un secrétaire, plus ou moins habile.
Certains textes commencent en effet par « Écrit comme… » (JP, TestS, BBe). Ceux-ci sont qualifiés d’opera dictata. Certains textes (Adm) semblent être des notes prises pendant des entretiens. La règle (1Reg, 2Reg) est un écrit ayant évolué de 1208 à 1223, dans lequel François tient certes une grande part, cependant une étude précise montre que ce texte est l'œuvre de la communauté franciscaine réunie en chapitre. ».

Qu’est-ce c’est ? on me parle ?

Et après on s’étonne qu’ils en chient à la SACEM et qu’ils filent tout le pognon à Obispo plutôt que s’emmerder à aller à la pêche aux ayant-droits (ainsi qu’aux oeils en bois, aux en croix mais aussi aux pimpoyes en soie, aïe pour moi, aïe pour toi, tu n'savais pas, pauvre de toi, qu'il y a du Mr Hyde en moi …).

Et en plus t’as ce WikiDortDine qui arrête pas de leur mettre des bâtons (de pluie) dans les roues (François Feld{aRoueFrançoisBayrou(*)}man), ça ne leur facilite pas franchement la besogne à nos vaillants travailleurs qui cherchent (toujours) et (parfois) trouvent qui est l’auteur !

(*) ouh la la, un autre françois s’immisce dans le débat, ça va pas faciliter la comprenette de mes lecteurs les + limités intellectuellement, ça, un autre saint en plus, qui distribua des bouffes aux enfants cayra comme naguère son maitre, du pain aux enfants aryens. Pour le distinguer dans la suite du récit (bien sûr on prendra un soin particulier à ne plus jamais y faire mention) du Saint-François qui nous intéresse aujourd’hui, nous appellerons ici-bas ce second Saint-François, Saint-François d’Assise (le cul entre 2 chaises).

Et alors, du coup, elle achète quoi, Odette la vieille chounette, comme chanson pour valider son droit à postage (sncfage pour les pieux niais durailles) ?
Beh ché pas quoi ...
té si ... 
Prenons cette proposition que l’auteur nous donne à entendre (formule insupportable récente utilisée surtout, dans le cadre de l’art contemporain donc pile-poil raccord avec cet article de pêche) :
« Qu’est-ce qu’elles deviennent, bordel de merde, les valses de Vienne ? ».

Alors transposons cette maxime selon les 2 axes de ce blog (pour mémoire, pour les oublieux, français et brouzouf) :
· Vienne en français donne Vienne (38, Isère).
· Valses en brouzouf donne rock alternatif (donc français) ou rock festif à 2 balles (donc français), selon les époques.

Remuons le chapeau dont on fait les hommages (clin d’œil à Fanny qui, si elle est fanée, pour qui la goujaterie est bannie, n’en reste pas moins trombinable).
Alors ça donne … rien.

Modifions la première transposition.
· Vienne en français donne aussi Vienne (85, Vienne) voire aussi Haute-Vienne (86, Haute-Vienne).

Remuons ce chapeau, cette fanny, sa vieille peau …
Peau d’zobi, balpeau, queud.

A cet instant précis, et pour vous épargner un suspense sans intérêt, et ce, par la grâce du tout puissant et de son plus fidèle gregario, je rappelle Saint François d’Assise (devant) … bon t’accouches ? ah oui, à cet instant précis, arrive dans ma boite à lettres virtuelle, que n’auront pas les congres de l’Atlantique-Sud et leur sous-marin furtif, arrive un message sacré, qu’on dirait écrit par Lui :

Le Festival Montpellier Temps Chante, off du
festival Radio France Montpellier est ouvert à toutes les chansons.

Essayons avec cette nouvelle donne providentielle :
· Vienne donne Montpellier.
· Valse donne … Valstar

Putain, les sheriffs, quoi, ça c’était un putain de bon groupe, te rappelles Bastien ?

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Liens externes[modifier]


Ghost scoop :
Tu savais, toi, cher non-public ou public empêché ou public amené, que Soma Riba, le fabuleux Directeur Artistique de l’établissement culturel Le Macumba à Mérignac (avant d’arriver au Pied, pour les habitants de la Communauté Urbaine de + de 45 balais) avait fait un titre avec jaunisse dans sa jeunesse (avant d’arriver au tournant des années 80, pour les + de 45 balais, quel que soit leur lieu de résidence) ?

Non.
Si.
Té.