chez odette

"Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM." Terrain Hostile.

mardi 11 novembre 2014

De riantes vachettes pour Novart, va, chante, rillettes, dans nos verres … et nous venge.

(pense-bête pour ne pas oublier de leur caser ovaires, à vayres ou à arveyres pour celui de dans 2 ans)

Bon, je vais commencer, une fois n’est pas coutume, penaud …
(, confus, contrit, déconfit, embarrassé, gêné, honteux, interdit, pantois [source : http://www.linternaute.com], péteux [source : perso], presque hagard [source : edgard]),
je vais faire ricocher sur l’onde étale …
(, immobile, dormante, figée, fixe, hiératique, immuable, impassible, inerte, sereine, stationnaire, statique)

de la toile mes plus plates excuses à ceux qui vous ont offensé (Et ne nous soumet pas à la tentation [NDLR de dénigrer son prochain à son tour, probablement ?] ) :
Je pense à tous ces pélerins desgarets …
ces darwin, ces bootleg, ces rama, cette assomante Palabre, cette coquette Intermittence … j’en oublie sûrement,
les vachettes d’hiver ne manqueront pas de me le rappeler, le moment venu, se gaussant de ma miséricorde (*), cruellement, comme requin marteau.
(*) à ne pas confondre avec la grosse corde de mi, accordée à la mode azérie, quand on veut sonner comme le chanteur le plus long … ah mais non, putaing, c’est pas ça, il est arménien, le chanteur le plus long, il est pas azéri, cong …

Mille excuses, Darwin, oh, Darwin !

La sentence est tombée : Inoxia - Agence conseil responsable, communication … va faire exactement ce qu’elle avait dit lors de la retraite de Bordeaux 2013, groggy, encore sous le coup de la défaite humiliante contre l’ennemi héréditaire, hésitante alors, chancelante, entre un séjour réparateur à Lafontaine jouer avec des écureuils amis pour retrouver la patate ou s’octroyer un bien communautaire précieux, à titre gracieux, au nez et à la barbe de gens formidables mais pas assez lookés, en faisant accroire, non sans un certain panache, à une moralité sans nuages aux bobos prêts à s’enthousiasmer, sur l’autre rive.

Face à ses openspaces majuscules ou tout se passe comme dans un rêve éveillé (aucun gros vilain vénère n’en vient, par exemple, par dépit, à casser le matériel informatique qu’on lui a mis entre ses grosses pognes, comme on voit fréquemment sur internet pour se moquer de ce prochain, le gros, le vilain, le qui pue et le qui, pour couronner le pompon de la cerise sur le gâteau 1er prix sous cellophane, du fait de son incompétence crasse qui suinte sous les bras et jusque la raie du cul, et le qui, par le fait, empeste l’atmosphère idyllique de cet éco-bureau (far away in times), néo art déco, et se verrait bien (le gros qui pue), par ses collègues impeccables incommodés, frappé d’un décès subit (s’il ne fallait le mettre à l’éco-poubelle (far away in times), en suivant et donc poser ses mains manucurées impeccables d’éco-esclave (far away in times) sur ce tas de merde, lourd de surcroit, ce con !), …
Ouf !
Rien de tout ça donc chez ce naturaliste anglais de Darwin … face à cette éco-majesté rugissante où tout sourit aux audacieux, majesté reconnue de tous, jusqu’aux couloirs inter-minables de rohan sur l’autre rive, adonc, disais-je, Inoxia - Agence conseil responsable, communication … va abriter, sous son aile éco-protectrice (far away in times), les circonvolutions harmonieuses (amoureuses ? aguicheuses ?) de gracieux artistes plasticiens, toujours plus à l’ouest, à qui tout réussit aussi (Près de nous sifflait un merle, La rosée faisait des perles réussies aussi), ayant enfin trouvé leur Sam Suffit, non pas à Lerm et Musset mais juste, là, passé les boulevards, comme ces colons (eH bEH, mON cOLON !) partis aussi à l’ouest, sur les traces de kirk douglas et robert mitchum, interprétés magnifiquement, dernièrement, respectivement, par stéphane jonathan et stéphane gilet (La Route de l'Ouest, adaptation du roman de Nathanael Jo Hunt, The Way West, prix Pulitzer en 2017).
stéphane gilet dont bizarrement, contre toute attente, c’est l’anniversaire, aujourd’hui.
Mais euh … qui est donc ce mystérieux Gulliver, insidieux, en commentaire ? est-il de la famille de notre reporter bien connu, ici, et apprécié de tous, jusqu’aux couloirs inter-minables de rohan, Jean-Eustache (aka euh c’te tâche !) Gulliver de BFM TV / Odette Est Josette ?
Comme ça, a bisto de naze, faisant appel à mon instinct légendaire (hérité du grand-maitre du 6ème sens du cul du lycée de talence, vleq banjolino !), je mettrais bien un richelieu sur la table que ce gonze, il s’est fait empapaouté par un éco-escroc (far away in times), il a du se faire faire en loucedé un site web dans le dos à 120000 euros la passe. Et seu (comme on dit sur France inter en le suffixant d’un « x » ou en cochinchine en le préfixant de « lao t »), par un éco-créatif (far away in times) monté comme un âne, de la bande à Barré, une branche pourrie de la bande à Kleber qui fît les beaux jours du « Bordeaux grisaille » avant que d’être sublimé par Jujube, l’enlumineur de ces dames, qui semble néanmoins sucrer les fraises depuis peu et qui devrait rejoindre, en toute logique, ses congénères écureuils géants du parc Lafontaine à Montréal.
J’en étais où, du coup, avant que de revenir à Montréal, dans un grand boeing bleu de mer … ah oui, Gulliver, hé beh, le gazier, là, Gulliver, il a du manger la grenouille, du coup, et il cherche à récupérer son artiche, pardine !

Mille excuses à toi, oh, Boutelègues, zoom-zoom !

Un article au poil (comme toujours) de rue89 bordeaux … http://rue89bordeaux.com/2014/10/bootleg-retourne-nuit-bordelaise/ qui anticipait un peu trop la reprise des activités …
Confirmée plus tard par le sous-doué, peu intéressé par le sujet, visiblement …

Pourtant, un indicateur pop chilien (mais non … rien à voir avec le 1er roi de la pop bordelaise du 3ème millénaire qui était péruvien, lui, souviens-toi, toujours flanqué de son paternel, général en retraite, et son poitrail garni de verroteries comme ces maréchauds d’empire au gaz, 3 feux, peu servi, faire une offre), un indicateur à la noix du chili, donc, aux bons tuyaux calaminés m’avait quelque peu enduit dans l’erreur, me faisant accroire que ce fieffé Boutelègues avait détourné la recette du casse de la brinks à toulouse avec gilles des camerase son crowdfunding pour régler un arriéré d’urssaf (qui ne veut pas dire, dans ce contexte d’utilisation, un employé de l’urssaf).
« Le sud-américain pop est un loup pour le lieu qui a choisi un nom trop bateau pour être eaux nettes. » me dis-je en mon faure intérieur …
 

… comme pour me remémorer (et alerter le monde à mon écoute) d’être plus perspicace à l’occasion d’un nouveau dérapage de la diaspora sandinista pop.

Il est très bien vu de nos jours de fustiger ces nouvelles populations rom qui viennent dénaturer de manière éhontée notre race et notre tanin parfait mais il faudrait quand même rester vigilant sur les précédents flux migratoires, ces précédentes tentatives de dilution du divin breuvage (*), issu d’un terroir millénaire, par des piquettes que renierait même un sans-dent, même PS, même PS bordelais. Souvenez-vous l’arrivée de ces chiliens à bordeaux, au mitan des 70’s, abandonnant dans l’œuf un pouvoir neuf et volontaire qui voulait simplement remettre le pays sur les rails de la western union où des pionniers enthousiastes construisirent les 1ers McDonalds et plus tard les KFC !
Ceux qui atterrirent sur nos côtes n’étaient pas de ce peuple des entrepreneurs qui firent l’Amérique mais plutôt donc d’un peuple d’indicateurs qui serviraient plus tard à remplir les tableaux de bords des pilotes de projets douteux, de TMA, de TRA, de TFGJKBA (Merde à celui qui lira).

(*) qu’on va s’efforcer (comme à con fesses) de représenter par un étron ces prochains jours sur les quais … lire à ce sujet notre autre tintin reporter impeccable en ville, terrain hostile … http://www.lejournalduvin.com/2011/06/bordeaux-architecture-l%E2%80%99audacieux-centre-culturel-du-vin/

La pop bordelaise du 3ème millénaire est un loup pour la pop bordelaise du 3ème millénaire, disais-je donc à mon auditoire, captif (par sa propre engeance ! je partageais à cette époque le même auditoire que Salons Vivons, que l’apôtre St-Faustin pourfendait régulièrement de ses piques pour réveiller enfin ses misérables mortels qui s’étaient fait, entre la fin du XXème et le début du XXIème, endormir par des malfaisantes (la bande à Marie-Laure et ses sorcières dites de Rohan) ; heureusement, la 2ème moitié du XXIème vit le retour du goût dans nos allées de Chartres et les sorcières repoussées au-delà de Mondésir, dans la zone marécageuse et/ou commerciale de Mérignaque Soleil où elles devaient finalement être englouties dans les sables mouvants, qui engloutirent plus tard le Rocher des Pirates jusqu’au Carrefour qui m’avait pourri la vie depuis les early 70’s quand il fallait que je mette cet affreux pantalon écossais en laine qui grattait terriblement, comme pour incruster définitivement l’empreinte de Mérignaque sur mes chairs sanguinolentes (qui n’a rien à voir avec sanguinet comme je le rappelle souvent à babette, qui n’en fait qu’à sa tête et qui vient de m’envoyer sa quiquette et sa braguette en comprenette via internette) …
Et donc la proposition , suscitant un intérêt croissant de mon auditoire (partagé avec Saint Faustin !) à l’exception de ceux étant partis s’acheter des croissants, justement, afin de pallier à une juste fringale, petit tracas que nous connaissons tous, nous autres boulimiques. Boulimiques de la vie, boulimiques de l’amour … Boulimique, boulimique ? … Boutelègues … ah oui, c’est ça … Boutelègues, voilà.
Donc, au fait, arrêtons-nous un instant sur ce Boutelègues pour voir si, malgré ce nom si passe-partouze, il a les reins solides à la saillie, une certaine légitimité (un beau cul), de grosses couilles comme dirait l’épatant jfg qui sait déceler dans les situations les plus inextricables, la présence ou l’absence de grosse couilles, précisément, pour expliquer tel ou tel travers …
Mais dites moi, ce Boutelègues, il semblerait qu’il gravite depuis le siècle dernier, dans la galaxie IREM, non ?
Cet IREM qui voudrait foutre au cul visiblement des Rouxschool (Roux qui vient à l’instant de faire copain avec moi sur Linked In, ça sent pas un peu l’embrouille, çà ?), des CIAM, des Roquets chanson et autres Adams devenus Tiber’, si j’ai bien tout suivi ce qu’on a essayé de me faire accroire (tabernenculé, comme disent les écureuils du parc lafontaine, ceux dont les parents ont démissionné, trop englués dans la téci …).
Mais au fait, cette galaxie est-elle toujours sous la coupe (impeccable) de ce très antipathique Franck Dijeau (malgré un nom avenant, vous remarquerez. Qui refuse un bon dijo, hein ?), déjà vu à l’œuvre au Son’art (dernière fois en train de pourrir un benêt vole, pour faire accroire, tabernaconputain, tostaki c’est le chef, hein ?) ?
Beh, il semblerait que non, dis donc !
Que s’est-il passé ?
Darroquy m’avait parlé de ce projet de salle il y un certain temps déjà … en terme élégants et prometteurs, en termes d’habitus, comme d’hab’.
Comment diable est-on passé d’un gros enculé de sa race du coran de sa mère à un projet salutaire, dis donc …
Apparemment le nouveau Franck Dijeau s’appellerait Cyril Beros.
Cyril Beros, c’est qui ce gonze qui ose porter mon début de nom à la fin du sien, qui me fait par exemple, pour la titiller, appeler ma mère, la mèroce, voyez, pour faire ressortir son côté pas commode, voyez ?
Dis donc, le mec, le Dorémi, dis donc et le CCPR.
Bon le Dorémi, j’ai pas trop connu, c’était les années 90, j’étais en train de faire mon businessman.
Le CCPR, début 2000, oui, en revanche, endroit très sympatoche tenu par Cédric Rolf Jeanneaud (qui apparemment fit partie de Tschack ! comme expliqué par son PDG, évadé fiscal repenti en Belgique, ici … https://www.facebook.com/david.chazam/posts/326350264138571 … et donc aussi ce Beros.
Au fait, où je voulais en venir déjà avec ce Boutelèques, comment vais-je pouvoir finir ce putain de zoom-zoom qui me colle aux basques ?

Eh beh, comme ça, té.

Mille excuses à toi, RAMA aux structures si structurantes qu’on aimerait tant s’y lover …

Aux moulures si moulantes qu’on aimerait s’y fixer résolument, comme ce bébé alien taquin, voulant pour s’amuser encore et encore, encore et toujours, prendre le contrôle de ton enveloppe terrestre par effet vantouse, un peu comme nak1oeil et son opération « pour 1 œil rincé, 2 culs emportés » …  … cf schémas explicatifs …

https://www.facebook.com/naqu1oeil/posts/10203113525414919?pnref=story

Aux raclures si raclantes qu’on aimerait qu’il (rama, l’enfant sauvage) nous gratte le dos (comme ces flamencayres endiablés des guitares), lors de ces crises de démangeaison dans des endroits inaccessibles au public (backstage, comme on dit !) et dont la fréquence (synonyme de tonalité) augmente avec l’age.
Aux enluminures si enluminantes qu’il faudrait une armée de geoffrey Torres (et peut-être même 1 ou 2 jean jaurès à l’administratif, pour monter les dossiers de sub) pour faire fonctionner le bouzin afin que les shoegazers, ou ce qu’il en reste, dont la vue décline forcément, aient une vision correcte de ce parterre de pédales qui n’est pas sans rappeler ces maréchauds d’empire en vitrocéramique, peu servi, faire une offre à Cognacq-Jay ou à Pelus, à Mérignac où je passe le plus clair de mon temps, le plus précieux de mon magot, je t’ai toujours aimé.
Aux allées Lescure, aux Allez Nantes ! Je chante en mi aigu, la digue, la digue, je chante en mi aigu, la digue du cul, la digue béante, hum …
Mais …
mais qu’est-ce que je raconte, moi, ça va pas la tête ?

Ah oui ça y est, bon c’est pas pour dire, les RAMA, mais là, fini de se branler la nouille multipaire, y’a du lourd qui arrive, du réglementaire, là, pas moyen de se débiner, nul n’est censé ignorer la loi (je voulais faire un jeu de mot avec l’aloyau mais j’ai pas réussi et puis la deadline approche …).
Ils sont pas chiés, eux, les donneurs d’ordre (ceux qui vont récupérer, au passage (*), le pactole du CICE qui devait structurer le secteur du chômage jusque dans les cimetières  !), ils te passent pas le bouzin de 105 à 100, comme ça, sans prévenir (sans le moindre 3, 4 pour se structurer la gueule), impossible d’y échapper, c’est marche ou crève dans les musiques actuelles, maintenant, la serviette autour du cou, nous autres smacks en proie aux normes européennes du rock, pas d’échappatoire, on va devoir embrasser résolument, sur la bouche, Agison 2.0, qu’on le veuille ou non !
Bon, désolé, cher tintin reporter de Chez Odette, là, on va pas pouvoir continuer à pétasser, là.
[NDLR dans le milieu, il arrive qu’on emploie également le verbe palabrer lorsqu’il y a vraiment un gros problème à traiter, quand on en a gros sur la patate, par exemple.]
Là, tu vois, on a un gros dossier sur le dessus de la pile … oui à Saint Denis, si tu y tiens, ou dans le secteur.

(*) banlieue de agen, assurant la fonction de porte entre le monde réel du 47 et le(s) monde(s) parallèle(s) d’icelui, plus traaannnnnnnnquille, ou, par exemple, il est interdit d’interdire (sauf le pruneau show, faut pas déconner, quand même !)

Mille excuses à toi, Palabre, sous ton arbre, perchée !

Té justement (belle transition, tintin reporter !), apologisons 2.0 un peu auprès de cette instance si caressante (bien qu’ennuyeuse à la longue) …
La Palabre.
Contrairement à mes sarcasmes incessants de hyène de jungle métropolitaine captive rendue folle par sa séquestration dans le quartier des hôtels à Mérignaque, la Palabre 2.0 a bien eu lieu.
Comme tous bons médiateurs qui savent ce faux-filet dans d’autres pince-fesses en espérant décrocher la timbale, in finez [aka attraper la plus belle gonzesse de la soirée], les maîtres de la Palabre ont fait d’un alternibaba (et ses belles babas cool, te rappelle ?) 2 coups de cuillère à peau.

Donc, ils ont réussi l’incruste mais, par contre, comme souvent, dans ce monde moderne si rapide, si volatil, si fantasque, si déstructuré, on sait pas trop s’il a attrapé, l’abbé, en fin de palabre, s’il a réussi à choper une biche aux abois encerclée par une bande de zads en érection d’utilité publique.
Voilà … donc, y’a du mieux, c’est indéniable (une 2ème palabre !), par contre, dans le cadre de l’amélioration permanente du process, je reste un peu sur ma faim.
Qu’est-ce que je veux dire ? les comptes-rendus et autres procès-verbaux (ce qu’on appelle communément les traces, le traçage, la traçabilité, voyez ? la vertu quoi …), ils arrivent à pied ?
C’est pas (encore) trop ISO9000 par ici …

Un exemple, ces derniers jours, à ce sujet, je demande au responsable de la Palabre, via le perfide coursier fehssebücke, vers le 20/10/14, c’est quand c’est qu’il compte nous y communiquer, le gonze, ses impressions et/ou aquarelles sur ce qui s’est dit à Palabre #2.
Et là, le gonze, qui manifestement n’est pas soumis aux dures lois du Just in Time qui ont contraint le CNPF a renoncer au CDI auquel il tenait tant pour instaurer une précarité à laquelle il répugne définitivement, il te répond pas, tout de go, en toute solennité : « Sans problème. Nous transmettons les actes des échanges avant fin novembre. ».
Il faut dire qu’on est à mille lieux, dans ce microcosme culturel si pittoresque, du milieu des affaires et des élus où on admet généralement qu’il vaut mieux une réponse incomplète mais rapide que complète mais trop tard. Milieu des affaires et des élus qui, en retour, garde également une certaine distance vis-à-vis des avis de ce microcosme qu’il ne croise qu’une fois l’an à l’occasion des festivals ou autres scènes d’été, avec son nez rouge (in finez) et un polo haties pour faire genre décontract’.

Té, maintenant qu’on est copain comme cochon, palaboureurs et l’argent du bonheur, un dernier petit tuyau taquin voire, peut-être même, un sujet à mettre à l’ordre du jour de la 3ème palabre (2ème semestre 2015 si accalmie, après 2033 sinon (voir plus bas planning prévisionnel)), pourquoi ne pas s’inspirer un peu des trucs qui marchent, c’est vrai ça :
Prenez cet ange bleu, son million de spectateurs … http://www.sudouest.fr/2014/10/12/un-ange-millionnaire-1701301-2889.php voire son avatar girondingue, le DN’S http://www.diner-et-spectacle.fr/, ils représentent bien l’idéal culturel de l’élu (pour lequel il demandera à vous recevoir en cravate et non plus avec cet affreux polo rose burberry. Dans la grande famille du « une main devant, une main derrière », on peut les considérer comme … le papa ! et son petit dernier, là on est de plein pied dans la démocratisation de la culture, l’éducation populaire, on dégrossit l’électeur (avant de le sodomiser), et pan dans ta ruralité, en plus, pile poil !
Autre proposition à mettre (éventuellement, s’il reste un créneau au terme de ce marathon de la pensée) à l’ordre du jour d’une prochaine Palabre :
« et si on laissait ces blaireaux (les électeurs et les élus) faire leurs cochonneries entre eux et qu’on essayait de fédérer les élites curieuses (nous) autour d’un réseau particulier et dynamique (bibliothèques / médiathèques, librairies, lieux polyvalents type bistrot de quartier 2.0) ? »

Mille excuses, intermittence, toit si moderne et si fragile à la foi …

Je crois qu’on s’est pas bien compris dés le départ (à sauveterre) avec Intermittence, douce parfois, insoumise, toujours.
Un malentendu qui a fait que nous 2, ça n’a pas collé (pégué aurait dit le linguiste-coiffeur-mixeur Stef Gilet de La Tresne et non de languit, coiffe et mixe, comme on aurait pu le croire, sans une analyse un peu poussée).
Intermittence est jolie, Intermittence est douce mais Intermittence a chaud au cul, je le crains.
Dans mon schéma prévisionnel 2015-2030 (je suis un peu visionnaire, à mes heures, mais moins que vleq banjolino, du cul du lycée de talence, quand même – je l’ai déjà dit ça, non ? excuse vleq, je sucre un peu, ces derniers temps, depuis mon éviction de Magendie), dans mon schéma prévisionnel 2015-2030, disais-je, j’imaginais ceci :
2017 : Jujube (ou autre utilité UMP) président
  • Bilan du quinqueñha : l’UMP, ça ressemble à de la merde et c’est de la merde.
2022 : Marine
  • Bilan du quinqueñha : Marine ne résout rien, Marine n’est bonne qu’à pétasser, Marine, c’est comme pisser dans un violent.
Et donc début d’une nouvelle ère prospère (youp la boum) vers 2033, l’age du christ

Et là, doucement, un petite musique s’installe, à la satie (… ma guinguette joue satie faction … euh … non, j’y arrive pas, non plus … laissons ce jeu de mot, en l’état, comme ces artistes pressés, en recherche de public, laissons ce jeu de mot sous forme (dite 3ème forme normale chez les vieux geeks) de work in progress, c’est à la mode ! pour faire participer le lecteur et le captif rendu-fou, comme cette hyène suce-mentionnez rouge aux hôtels, pour lui donner à becqueter de la cO-cONSTRUCTION, mON cADET et surtout ne pas oublier de finir le job un jour, pas comme tous ces jean-foutre du territoire et probablement au delà).
Donc une petite musique s’était installée avant que ne vienne s’insérer, selon un processus d’itération très néfaste à la compréhension, plusieurs couches de Nawak Comfort Hotel (mon préféré, bulots à volonté !) …
« et si on essayait, maintenant qu’on a épuisé tous les tocards, autre chose pour redresser la France, en finir avec ces histoires de croissance (au beurre ou nature). Et si on généralisait ce système d’intermittence puisque approche (enfin) la fin du Travail, cher à Pétain et aux gros niqueurs copieurs-fax des talk-shows, sans qui rien n’est jamais possible. »


Mais bon, là, je m’égare, revenons à nous moutons, les intermeeeeeeeeeeeeeeeeeh-ittents.
Si après 2033, l’age du christ, donc, la situation semble se dégager pour iceux qui sont pas encore nez (encornet fonctionne pas mal, aussi), je crains une forte zone de turbulence pour les e-sucks (pronounced iceux) de maintenant.
Dés 2017, je crains que Jujube, pour faire son méchant (chose qu’il n’a jamais réussi à faire, par exemple, à Lafontaine où il est considéré par tous ses paires [de queues] comme un incomparable boute en train qu’on s’arrache quand il s’agit d’organiser un repas à la maison quand on a pris la peine, toutefois, de construire son havre de pets sur une branche assez solide pour supporter les esclaffements incessants d’un auditoire transporté qui a lâché définitivement prise avec les tracasseries du quotidien et les trépignements saccadés des invités qui en redemandent toujours plus, dans l’attente du prochain bon mot de ce MC Ecureuil géant en provenance de Bordeaux.
Donc, n’ayant pas réussi à inspirer la crainte, comme on le voit dans ce reportage animalier de notre tintin reporter, à Lafontaine, il est à craindre qu’au match retour, à Lescure, après s’être fait remonter les bretelles par le coach libéral rompu aux valeurs de la con cul rance, Jujube commence à entailler sérieusement les belles toilettes de l’élégante Intermittence, toujours très apprêtée, même en ville, et qui s’en trouverait un poil fanée, défraîchie quand les Bertrand, Lefebvre et autres afführer conseil auraient repris leurs appartements de fonction.
La belle Intermittence qui se retrouverait carrément en oripeaux voire à loilpe quand Marine et ses corbaques auraient botté le cul de cette gangrène UMPS qui ignorait le peuple depuis la fin du siècle d’avant, malgré (il me semble …) de très jolies propositions annuelles de type « une main devant, une main derrière » proposées par ces élus UMPS dénigrés (un peu rapidement, je trouve …) par ce nouveau pouvoir voulant faire table rase du passé.
Il faudra alors, pendant une grosse dizaine d’années, qu’Intermittence se résolve à mettre le bleu de chauffe (Marcel), à aller se faire embaucher en CDI (si ça existe toujours) ou en intérim à l’Ange Bleu ou au DN’S (si dansante) ou alors aux Salinières ou autre théâtre privé bordelais répugnant, au pire.
Avant la renaissance de 2033, l’age du christ.

Mille excuses, Nov’art, si nov’atrice !

Putain j’allais oublier d’accepter les excuses de cette vieille roulure croulante offensée, oh, français, oh chancelante, oh chancelade (pour rester dans le territorial, même le plus reculé) de Nov’art.
Nov’art. Ov’art. De l’œuf. De l’art de faire l’œuf. Qui de l’œuf ? Quelque p’art, ovipare, à ne pas compare avec ovovivipare. Qui de la poule ? Qui est in, qui est out ? En les murs, hors les murs, Lichen boy sur les murs, il se barre, il part et ne se retourne. Hello Dit Berdot, Les mêmes à la maison. Avec sa maison sur le dos. Hello Dit Berdot. Comme un escargot. Ovipare. Ovipaire. Multipaires. Multipères. Oh vipère. Ovaire. Camembert. Gong que j’écoute présentement en répondant à jfg qui considère qu’après You (74), c’est jazz-rock et compagnie et que ça pue du cul, en conséquent. Cul que je me fais opérer Jeudi (Berdot) et qui me fait louper Gong, c’est pas de cul (pour ceux qui déploreront mon absence à cette communion, en position de l’oeuf).

Concernant notre festival des trucs qui se passent de toutes façons en Novembre, qu’il pleute ou qu’il vembre (d’ailleurs ne dit-on pas comma con fesses : Nov’art en Novembre, qu’attends-tu pour en descendre ?), j’ai vu que ce concept incroyablement nov’ateur d’un point de vue économique et retour sur investissement (ROI), nerf de la guerre culturelle que se livrent les territoires, exsangues, souvenez-vous, à ce sujet, les vachettes de rentrée 2012 Nov’art, si bonnasses … http://odette33.blogspot.fr/2012/10/odette-est-josette-soutient-les-causes.html, ce diable de Novart, figuez-vous, il est en train de faire des petits.
Nov’art, c’est, comme on l’a démontré maintes et maintes fois, grosso merdo, 1 stagiaire (1 service civique, au pire …) pendant 1,5j donc cette belle idée pour relancer la France qui fait des petits, est reprise au centuple (Bordeaux = 1/100ème de la France, en gros, je le démontrerais plus tard, de manière irréfutable, en réactualisant le fameux manifeste « Preuve évidente que bordeaux n'existe pas » d’un auteur douteux, et ce, en m’entourant des plus fins limiers de ce Bordeaux qui n’existant pas est d’autant plus dur à ausculter dans ces recoins les plus abjects et ces crevasses les plus maldororantes.
« Et si tu n’existais pas, Dis-moi pourquoi j'existerais » disait, jadis, un des poètes majeurs de la variété, avant que d’être repris par un ancien travers, un certain infarctus, de son état civil. On remarquera à ce propos, que l’utilisation de « travers » pour qualifier cet infarctus n’est pas du tout impropre en ce sens que l’infarctus se produit précisément sous les « travers » (autre appellation des côtes utilisée principalement par les « face de citrons » et autres gnacoués pour nous fourguer leur mangeaille dégoûtante et recycler leurs chats et autres ragondins.
« Et si tu n’existais pas, Dis-moi pourquoi j'existerais »
Et oui, si l’on procède à l’équivalence suivante : tu = bordeaux, je = un fin limier étudiant son territoire, ça donne quand même matière à réfléchir :
« Et si tu n’existais pas » (avéré comme on l’a vu avec l’auteur douteux, donc la seconde partie doit être réalisée pour rester dans le politiquement correct mathématiques … Dis-moi pourquoi j'existerais ». en gros, à quoi sert-il que je lime, moi le fin limier, s’il n’y a rien à limer ?
En effet, ça jette un froid sur les ébats (*), de suite !
(*) les ébats ou les travers, faudrait savoir, quand même ! personnellement (si ça peut éclairer le débat) je préfère les ébats, ris de veau, rognons, tout ça, quoi ! tout ce qui pue la merde, quoi !

Au centuple, Bordeaux, disais-je, avant que de digraisser, par un Ministère de la Culture, un peu gêné aux entournures, en ce moment de par quelques ordures au gouvernement.

blah, blah, blah,…, blah, blah, blah, blah, blah, blah, … accompagner la … structuration du secteur … de quelques patates sautées en chemise …
la … structuration du secteur … té, ça me rappelle quelqu’un, ça … mais ouiiiiiiiiiiiii, rama, l’enfant sauvage qui saute de branche en branche pour aller apporter la bonne nouvelle, la concertation, la co-construction aux paysans harassés par des journées de travail de 112 heures par jour, 448 jours par an et payé 3 cacahuètes … mais au fait, faut être complètement con pour accepter des conditions pareilles, ils devraient demander conseil à un intermittent ami pour leur structurer leur gagne-pain de manière plus trannnnquille, tu vois ?

Encore mieux que Novart, le truc du gouvernement, dis donc. Là, tu peux même faire travailler des enfants en lieu et place des stagiaires donc c’est tout bénef !

2, 3 conneries supplémentaires …

Deejaying is dying at last, let the good times roll, oll, forever
Résumé des épisodes précédents : 80 … last night the dj saved my life (from a broken heart) … 90 … death of a disco dancer … 2014 …
Un après-midi où j’étais en RTT, je discutais avec mon voisin arnaud hotflower de la dérive constatée de tous ces dj’s qui piquent le boulot des vrais musiciens. 800 entrées à 10 euros …
Qui aurait prédit que ces dj’s qu’on appelait autrefois, entre disco-dancers émérites, pousseurs de disques, comme on pousse des caisses à la sortie de la patinoire où vint s’échouer, la semaine dernière, avec son ban de 38 tonnes, comme des éléphants de (coran de ta) mer, transportant qui un baobab en carton mâché, qui un panneau géant donnant à voir le soleil couchant au Kilim Al jarreau, qui une compagnie de gospel à tarte, yannick noaaaaaaaar (une bonne blague raciste de temps en temps, c’est pas mal, si, si, vous y viendrez aussie, vers 2022 !), en guise de reconversion. Non mais sans déconner, qui aurait pu prévoir que ce yannick noaaaaaaaaaaaaar, du fait de sa nonchalance naturelle, eut pu gagner un tournoi du grand chelem ? Nonchalance qu’il sût néanmoins, par son intelligence du moindre effort, convertir en qualité quand il eut phallus (énorme !) convertir cette belle aptitude à monter au filet en un filet de voix que les anglo-saxons ne nous envient pas.
Mais ils sont déjà habitués avec notre jauni national qu’ils ne connaissent pas (admirable non sens). Et le chanteur le + long, aussie, bien sûr.
Le lendemain (du RTT, con !), DirectMatin m’apprend, dans son fameux « Agenda du week-end » que le Samedi sera le pic culminant de ce phénomène de dejaying sur nos côtes (travers) …
  • Namaste #4: Astrix + G.M.S + Symphonix + Sonic Species + Riktam & Bansi + Sensifeeltrance/psytrance/goa (ital., nL, All., UK, Fr.), plus mapping & visual show par Y#/Fanfy et performances échassiers/cracheurs de feux par Les nuits blanches. espace du Lac (parc expo), 21h-7h, 20-30€
  • Disco Punk Party #7: spécial battlesMixes dirty electro, hot 90’s, sexy trap, hip hop & booty shakers en versus, avec blank feat. Paula H. Satàn, blood bath... Heretic club, 23h-4h (fin des entrées à 2h), 5€
  • Syndrome : James Ruskin + Ø [Phase] + Nuit + Loner (Semaine digitale)techno (UK, bx). i.boat, 23h55, 10-14€
  • Hysterik XXL: Bill X + Floxytek + Harry Potar + GaufretteHardtek/tribe (Fr./bx). respùblica, 23h55, 5-10€
  • Techno Brothers (The Jeweller & Dancefloor Patroller)tech/drum/trance/break (bx). bt59 (bègles), 1h-6h, gratuit
On peut donc prévoir un retour à la nordmäle dans les 4, 5 ans à venir, les dj’s vont gentiment reprendre leur place d’utilité dans les dancings, là-bas, au fond, voyez, à gauche de l’entrée des chiottes. Dans un trou noir, à l’abri des sunlights, et le teint d’endive au jambon qui sied si bien avec leur tronche de nerd (tête de nœud) aka hipster dénoncé avec véhémence sur internet ces jours-ci.
Cabale franco-française apparemment sinon comment expliquer que Yanao, récemment converti au hipsterisme le + radical, n’ait pas réagi à cette saillie contre son culte moulé ?

Roquenville
Alain star du bordelais qui s’était réapproprié ses quais sous la menace de médiateurs culturels armés jusqu’aux dents, La RouxSchool Barbey se réapproprie, cette année, le rock en ville (inventé par les potaches kids éternels de l’asso Bordeaux Rock[s] (1)), avec l’appui de ses policiers munisipeu, ceux là même qui avaient raté lamentablement, souvenez-vous, le concours d’entrée à l’éducation populaire et qui se vengent en lançant des grenades dans le dos d’honnêtes zads qui envisagent une planque au PS, après le brevet …
(1) : avec un [s] pour faire iech le futur maire (cf plus bas …) qui n’apprécie visiblement pas plus que ça les groupes en ST, d'en haut de ses échasses.

Le meilleur d’entre nous ouève, il vient de là, il vient du blues
I have a dream, today.
Le nouveau maire de Bordeaux s’appelle Guillaume Gouardès. Comme son prédécesseur, il est originaire des Landes.
On se souviendra de Jujube pour ses quais, ses monuments, son étron à l’entrée du médoc, ses allers-retours mystérieux à Montréal (au parc lafontaine insinuaient les envieux …)
Alors, quelles pourront être les traces laissées par ce nouveau grand homme, à la Bruel, qui nous arrive à travers la pinède, ce grand échalas comme sur des échassiers pour fendre la foule vers un nouveau challenge, ce GG pour la Ville (Clin d’œil à cet AJ pour la France qui met la banane à tous les grands et les petits … écureuils du parc lafontaine à montréal) ?
Et si on faisait un jeu pour fêter l’arrivée de ce nouvel édile à Rohan, de cette nouvelle idole à pey-berland ?
Chacun donnerait ses propositions de réalisation de ce nouveau maire ?
Allez (et Cazeneuve, ah merde, c’est dans le 47, fais chier !), faites vos propositions, quelles pourraient être (ou quelles devraient être !) les grandes réalisations de ce grand homme, ses grands travaux à lui, sa trannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnsformation (chère à dick) de sa ville d’adoption, faites vos propositions à Cognacq-jay (*) ou directement à la Bastoche, pour aller plus vite (toujours plus vite !).
Parlez en autour de vous qu’on nous débarrasse définitivement le plancher de ces olibrius tristes et vieilles rombières qui empestent l’eau de cologne, en place depuis la libération ! pour une équipe de jeunes avec un projet politique roulé comme une andouillette vegan, un certain panache que ne renierait pas sieur Clémenceau, vos agents sont devenus des cerveaux, grand amateurs de savate également, et « en réaction au conservatisme et au puritanisme qui voudraient que la femme ne soit au monde sportif qu'un faire-valoir masculin » [wikipedia, page 4952356897] au travers d’une pratique raisonnée du Roller derby.
Votez Gwardeath, il vous en dira des nouvelles !

(*) p…, savez pas ? j’ai écrit cette annonce le matin même du jour où cognacq-jay brulît, emportant avec lui, dans les flammes de l’enfer l’histoire de la radio de type service public, ne laissant aux antennes que les radios libres et leurs cadavres emmitoufflés.
Je crois que je suis en train de devenir medium comme l’autre mescoinques au cul du lycée de talence, mais si, vous savez.

Autopromo en loucedé : Carnet2bal
J’ai fait un petit outil sur internet, vous savez, pour vérifier si j’étais toujours compétent en informatique après 32 ans d’activité plus ou moins enthousiasmantes.

Bouquet final

Ouh la belle rouge !
Une nouvelle amitié est en train de naître entre votre serviteur et le fondateur de Docks Dupont.
A l’occasion du rapport Feppia dénonçant la félonie (*) du numérique et du départ à la rentière du ci–devant, nous devisâmes gentiment.
Indéniablement, on sent une détente certaine des zygomatiques s’opérer naturellement, sans aucun doute dû à une certaine distance prise vis à vis de ce milieu du travail, si enquiquinant.
Comme quoi, on a beau dire, la rentière, ça a du bon, hé !
La quille, bordel !
Dans une 10aine d’année, je serais également enfin débarrassé de cette affreuse tradition séculaire et on pourra alors, avec mon nouvel ami, aller faire quelques parties de pêche à la ligne au bassin. Ou une bonne pétanque à Gujan, pareil !

(*)qui n’a rien à voir avec la cliquaille libournaise et stdenisdepilaise bien connue des Felloneau qui ont poussé l’outre cuir dance jusqu’à envoyer leur petite dernière à la télé nationale montrer de quel bois on se chauffe, dans la palud.

Ouh la belle jaune !
Soutenez Aqui, ils ont besoin de vous.
Non, j’déconne.

Ouh la belle bleue !
Ah merde, voilà ! j’ai encore oublié de parler, que dis-je, d’invoquer ces encombrants dont on nous rebat les oreilles, pour leur parler de tous ces cartons à dégager là, à l’étage et au garage aussi, et de ces 3 objets assez étranges dont j’ai rêvé cette nuit, si étranges qu’on ne pouvait les matérialiser sous word, je me rappelle, et qu’il fallait donc un outil graphique basique genre PhotoEditor 1.0 pour faire un collage viteuf, l’enregistrer en jpg et l’importer dans les vachettes (par le trou du cul, par exemple).
A condition de se rappeler ce qu’il fallait coller, par contre.
Ce qui n’est pas le cas.
Donc, dans un souci légitime de productivité, de compétitivité en quelque sorte, on va faire comme si on avait oublié ce rêve embarrassant, que dis-je encombrant.

Ouh la belle verte !
Sinon, en bon d’achat (un bon d’achat est un d’achat mort), j’ai pris les 2 découvertes du french pop de cette année qui me permit d’envisager un nouvel ami, Cléa Vincent et son étrange groove pedophilo-west coast avouable, et Moodoïd, dernière sortie de la Gong Incorporation & fils (camemberts) & filles (faisselles).
Thank you for purchasing: Möödoïd, Le Monde Möö - CD, €15.00 Purchased 09 November 2014 08:20 AM ~ Payment 106086745 ~ PayPal transaction ID 1DA65659VN772423D
Thank you for purchasing: Cléa Vincent - Non Mais Oui 2/2, Limited Edition Compact Disc, €5.00 Purchased 09 November 2014 02:11 PM ~ Payment 414500744 ~ PayPal transaction ID 0VJ90297U8557980C

J’ai filé 5 euros aussi à Wikipedia, pour jouer la transparence absolue, pas comme ce Fillon qui cache derrière un nuage opaque de rillettes dûment chiantes comme pas permis, ses inavouables penchants de cafteur.

mercredi 16 juillet 2014

Vachettes d'été 2014



Oooh Antiloooope !

3 Juin 2014, Bus Liane 1 Direction aéroport: je l’ai vue ...


dès l’entrée dans la chicane du Buffalo grill à Cadera nord, ses cornes emmitouflées dans de très jolies moufles bleues cerclées de rouge comme il est d’usage chez ces mammifères ruminants de la famille des bovidés, aux pattes menues et aux cornes longues arquées et qui vivent dans les steppes d'Afrique, d'Asie ou même d'Amérique du Nord [comment on faisait, avant, sans wikipedia ?], la truffe habilement camouflée derrière le nouveau poster des scènes d’été (en police arabisante, en forme de goutte d’eau) par le graphiste virtuose officiel du Conseil Général, Conseil pourtant mis à mal dernièrement par un président aux abois, traqué de toutes parts par les lions affamés qui voudrait le dévorer vivant comme on nous montre à voir dans ces jolies émissions animalières dominicales et familiales comme pas d’eux et qui donnent à apprécier à sa juste valeur la mort dans d’atroces souffrances.
Le souffle coupé par tant de grâce en cet endroit si commun, je m’approchais à pas de loup (clin d’œil au nouveau titre épatant de kebous relatant, à sa manière, un sujet original, la montée du front national, clin d’œil suggéré aux hululements aux loups de Reggiani qui traitait exactement du même sujet et dans les mêmes termes selon un principe dit de copie privée … privée de scrupules, il va sans dire). Entonnant à son tour les lou, hou, houhouhou, soit par l’Taillan, soit par l’Haillan, avec la légéreté légendaire du kebous argenté cendré, ses panzers et ses godillots caractéristiques de ce mouvement chanson réaliste que nous envie la terre entière, redevable.
M’approchant encore, sur ces considérations, je constate, à l’absence de burnes, qu’il ne s’agit pas d’un chevreuil, le gonze (avec sa guitare en bandoulière), comme je l’avais cru benoîtement aux premières saisons de cette proposition allez chante :
« c’est une antilooooooooooooope, la salooooooooooope, con ! » m’écriais-je soudain à l’attention de mes vieux amis de transports en commun qui n’avaient manifestement pas analysé aussi finement le signifiant burné que nous donnait à croquer le CG, en attendant que d’être ligoté et bâillonné sur leur fauteuil de bureau afin de minimiser les gestes inutiles et ces bavardages oh combien dispensables de ceux qu’on est bien obligé d’appeler désormais ses collègues de bureau (de l’occitan « co », ensemble, tous ensemble, … et « lègue » qui vient de « langue » et qui peut s’entendre comme « lécher le cul du directeur » (avec sa langue)).
Afin de produire, in fine, le maximum potentiel, relativement aux bribes de qualité qu’on aura bien voulu nous octroyer et ce mauvais goût dans la bouche probablement dû à une hygiène douteuse du postérieur de ce dernier directeur en activité, si stressé.
« une antilooooooooooooope , une antilooooooooooooope qui galoooooooooooooooooooope sur tout le département et qui nous court même, parfois, à l’occasion, sur le haricot et qui s’arrête aussi des fois pour nous brouter le minou, plus souvent qu’à son tour ! »
La nouveauté cette année, au CG, voyez-vous, c’est qu’ils la revendiquent fièrement, cette belle antilope métisse, qu’ils ont imaginé par hasard, un midi, vers 13h45, au sortir d’un apéro musclado.
« Et si on leur fourguait une antilope avec une guitare en bandoulière, hein ? »
« ça s’est jamais vu ça, une antilope avec une guitare en bandoulière, hein ? ».
« t’imagines, hein, une antilope avec une guitare en bandoulière, hein ? ».
Certes.
Cette belle antilope, telle une sirène aguicheuse, une ouvreuse au guichet, agrémentée d’un corps de bénévole très seyant, comme pour appeler le festivalier à festivaler tout l’été, à recharger les accus à st-denis de pile ou dans le secteur, avant que de reprendre le chemin du travail et retrouver ses collègues, la langue reposée, pour reprendre, ensemble, tous ensemble, l’Œuvre où ils l’avait laissée, un brin coupable, sur la langue.
Au début, ils savaient pas trop si ça allait prendre, les CG, le coup de l’Antilope.
Et puis, à force, à force, comme tous les concepts débiles qui marchent (pourquoi mais pourquoi donc Randy Newman, ce bon vieux Randy, sur Leroy-Merlin, l’enchanteur des bricoleurs de leur solitude ?), cette belle antilope, sortie de nulle part, d’une chicane pour Buffalo grill à Cadera, s’est imposée comme une évidence, au-delà de Mérignaque, elle est même devenue … porteuse de Sens.
Té, en parlant de porter du Sens, je ne saurais trop vous conseiller ce Château Le Sens, à St-Caprais, qui, bien qu’ayant une pochette très quelconque (probablement sous-traitée au graphiste du CG au black pour arrondir ses fins de moi ?), s’avère être d’un très bon rapport qualité/prix.
Un peu comme ce mec là ...
qui ressemble un peu à rien mais qui a vinifié dans les plus prestigieux chais de Canterbury et d'ailleurs … non pas le Sens mais le Beau.
Merci de me faire livrer céans, gens du Château Le Sens, une palette de ce divin breuvage pour maintenir le cap de mon inépuisable inspiration et traquer, sans Relâche (où l’accès aux binouses est un défi au Sens commun), cette antilope aguicheuse, cette antilope allumeuse sur les GR du département.

Chérie, qu’as-tu pensé du dernier rapport ?

« ah, un nouveau rapport, chouette ! je vais en parler aux vachettes d'été voir ce qu'elles en panse. » lançais-je à la cantonade, dans l’espoir de déclencher, comme toujours, l’hilarité de mes nombreux fans sur facebook.
Dès réception, la vachette de garde m’indique :
« Maître, nous allons, sur le champ, selon la méthode en vigueur, nous amuser à extraire de ce précieux rapport uniquement les mots en gras censés nous impressionner, nous les vachettes, pour voir de quoi il retourne, in fine. »
Il en ressort ceci : « Pas de mesures contraignantes / assécher les ressources financières / le droit souple / une liste publique / des injonction de retrait prolongé. ».
Réserver ce 1er résultat intermédiaire.
« Puis, nous allons le comparer avec ce fabuleux rapport initial que vous nous communiquâtes, Maître, naguère ? Pouvez-vous, Maître, s’il vous en sied, nous en remettre copie, céans, sur le champ (où nous ruminons habituellement), séance tenante ? »
« Certes, vachette. Le voici. http://1drv.ms/1qTOoNW. »
En appliquant le même procédé, on obtient ceci : « Contexte / Solution / Modalités techniques. »
Mixez les 2 résultats intermédiaires.
Dégustez.

D’aides, l’os en gelée !

Ça a bien décanillé, là, cette année, au printemps. Intéressons-nous à quelques-unes de ces mises en bière.

Dead Winery
Avant même que d’en comprendre le con cèpe, cette innovante entreprise a tourné au vinaigre.
L’œneuneutourisme qui devait, alain star de sa trisaïeule mémécenah relancer la culture dans nos contrées arriérées (le Médoc), s’est pris les pieds (de vigne !) dans le tapis rouge (vinasse) que ne fouleront plus jamais ces j’en-foutre d’artistes locaux.
Décidemment, le public, cette pourriture noble, ne s’intéresse plus à rien.
Si ce n’est à déambuler comme un con sur les quais avec son pass non remboursable, une main devant, une main derrière, avec 500000 de ses entre-chouanes en pleine fermentation pathétique.

Dead Alriq
Le préfet, ce fumier … non mais sans déconner, à quoi ça sert un préfet, en fait ?
Vous savez, vous ?
A part faire chier le festayre et racketer ce gros con d’automobiliste.
Ils devaient pas faire des économies, là, les autres truffes au gouvernement ?
En voilà une piste à creuser, pour faire des économies, que dis-je une piste ? une tombe, à creuser. Allez, dans le trou, le préfet, avec tous ces jeunes hauts-fonctionnaires désoeuvrés aux basques, venus combattre l’hérétique, le festayre, l’automobiliste, oh moyen, oh riant  

Alors voilà, les préfaits, pour se faire mieux connaître et apprécier du contribuable bordelais, ils ont commencé par fermer les lieux historiques bordelais, le Tube’s à Lescure, la Notte au Taillan-Médoc, le Retro à la Bastoche, la Guinguette du Pacha à Magonty, le Studio 21, rue de Belfort, le Monseigneur (ah merde, le Monseigneur, ça existerait encore, figures toi !), …, un peu comme Clint Eastwood dans l’Homme des hautes plaines quand il fait repeindre, par SES gens, SES dépendances en rouge, pour savoir qui est le chef..
Hé beh, le préfabriquet, c’est la même, c’est un genre de Clint Eastwood au rabet, à la framçaise, on sait pas comment il s’appelle, on sait pas à quoi il sert, il arrive comme ça, il rentre dans ton bureau et il essaie de te faire faire un truc, tu vois, pour savoir qui est le chef.
Comme chez Cegetel en 1999, à la défense, tu vois ?
Alors, après, moi je pense qu’il faut gentiment lui signifier d’aller se faire mettre, au préfabriquetterie du lauraget, mais après, c’est chacun qui voit son midi qui sonne à sa porte, qui, ceint dans son lardeusse de couleur rouge, qui, dans le sien qu’il aura laissé dans sa couleur initiale, beigeasse flore, en hommage au futebol d’avant les évangelistes.
Dernier en date de ces historiques épinglés par ce préfabrice comte-robert, tset ? 2ème du nom, chasseur de primes (sur l’épaule duquel un contrat devrait délicatement se poser, ces jours-ci, de source yakuza sûre, et qui devrait régler définitivement le problème …), Alriq 1er, le 1er des bobo, bizarrement révélé rive droite à portée de canon des chartrongz où l’attendait pourtant le comité d’accueil et sa présidente, Isabelle.
Etablissement Alriq qui serait repris, aux dernières nouvelles (d’Alsace), par la fille de l’autre Alriq, le 1er bobo de la droite complexée, coincé, la main dans le sac, entre l’hippodrome du bouscat et le Garage Pigeon, qui n’a rien à voir avec ce sympathique chanteur des années 80, Jerôme Pigeon, fils du journaliste Gilles Schneider et qui n’avait donc pas besoin de piston automobile comme la Pargade sur l’autre rive. (cette phrase ne veut absolument rien dire et c’est un délice d’été que je vous offre).
Oui par contre, ce que je voulais dire, c’est que chez Pigeon, tu vois, le pigeon, c’est le client !

Dead l’Eté métropolitain
Fin de l’été métropolitain et des refuges bruit du frigo ... http://1drv.ms/1mOM9sX ...
On était donc sur une trajectoire d’été en pente douce qui se finirait par un grand feu de la st-jean des refuges péri-urbains … quand … au dernier moment, …
Jujube, ce con, pour faire son écureuil suprême devant ses groupies à rohan, a décidé de gracier les artistes résignés euh … résiniers qui donnent à voir des cabanes en rondins, construites de leurs mains, à côté d'une rivière où viendraient boire les daims.
Tiens, des daims, maintenant.
Ça serait pas plutôt des antilopes, Bruit du frigo ?

Dead Epicuriales
Je croyais pas vivre assez vieux pour assister à la mort dans d’atroces souffrances de cette enflure d’Epicuriales, imaginée par des commerçantes en chaleur et probablement Starck au fouet, quand je découvrais, jeune con, émerveillé, la caveau à 2 pas …
ou entrais à reculons dans la vie active, je sais plus trop …
En fait, c’est pas si vieux que ça, cette merde, 20 ans à peine (20 ans de peine, 20 ans de pain in the ass comme aurait sûrement surenchéri Moz, qui nous revient, en pleine forme, pétant comme pas 2 !).
Toujours pareil, quand on s’emmerde, c’est vite interminable.
Je pensais fermement que ces épicuriales accompagneraient ma vie active dans sa dernière demeure (un algeco, probablement), mon calvaire comme chante l’Eve Angeli ou le témoin de jéovial, 42 années durant, pour me laisser groggy, sur le carreau, Centre Commercial de Cergy-Pontoise, libéré mais au bout du rouleau de Papiers Peints à prix exceptionnels chez Leroy Merlin !
Hé bien si, ça n’aura duré que 20 ans, cette promotion exceptionnelle, je suis exaucé, loué soit le saigneur de voir enfin crever la charogne, sous les yeux des badauds, amoncelés, aux files d’attente.
Attention, ami bordelais, ne nous enthousiasmons pas trop, quand-même, on annonce, sur nos côtes, l’arrivée d’un nouvel événementiel qui pue du cul … toujours avec Côte Ouest aux manettes. Du culturel cousues mains.
La charogne se nourrit de charogne.
Charogne.

Dead MyGlobalBordeaux
Que dire du trépas d’isa ? Que n’aurait dit le père d’Yzia ?, Dans ce décor paradisiaque, où les barriques roulèrent aux chais, des négriers firent antiquaires (« oh antiquaire » est un peu un équivalent du « oh antilope » dont on parlait à l’instant avec François Synaeghel, de passage à Bordeaux, après une longue traversée du désert et dont on était sans nouvelle de Puy).


Plus précisément, que dire du trépas d’isa, donc, sans encore passer pour un de ces indécrottables fumiers (pas mal, ça, indécrottable fumier. pour qui aime bien l’humour scato, à 16 heures. J’y suis, je dois bien l’avouer, en toute humilité, assez sensible. Même mâtin.) ?
Peut-être qu’une absence trop marquée d’opinion a rendu difficile l’adhésion corps et âme du lecteur, fût-il bobo (à part peut-être dans le milieu interlope des esthéticiennes, limite Grand-Parc, ou des développements durables, sur le Quai des Marques) ?
Mais il s’agit là encore d’une niche, chère Isabelle !
Et tous les experts du marketing direct vous le diront : Point de salut dans les niches. A part peut-être dans le toilettage pour chiens.
MyGbx repartira seule avec son dilemme entier, comme neuf, et si joliment troussé : Comment ne pas paraître henné trop pastel ? Comment ne pas déverser hainé qui vire au fiel ?

Comme on dit plus simplement dans le bled (IVème arrondissement de Bordame) : Comment intéresser ce public de merde qui se branle de tout, mes chouasnes ?

Scouts not Dead
Bon, par contre, ça y est, c’est certain, le dernier homme sur la terre sera 1 scout :

D(r)ead loque Djoliba
Voilà, je suis bien emmerdé, maintenant.
Tous les ans, grâce à Djoliba, figurez-vous, j’avais 2 cadeaux de noël récurrent assurés :
  • mon filleul julien (le fils de pauly, le seul homme sur la terre à avoir joué à la fois dans Parfum de femmes puis dans Stagiaires ! donc, si on se réfère au film sur les quais où s’expliquent le rock des prolos et le rocks des bourges, LE chaînon manquant du rock d’ici) et
  • mon neveu babou, digne représentant du rap clodoaldien, le rap des bourges, donc, aux antipodes (genre d’antilope qui donne à voir sa graciosité naturelle mais, de l’autre côté de la terre) du rap du 9-3.
Donc, si vous connaissez quelqu’un qui serait intéressé pour reprendre cette officine de percussions exotiques, je serai moins emmerdé à l’heure de faire des cadeaux … déjà que c’est pas très naturel, chez moi.

Livré à lui-même, au cœur de la brousse septentrionale, territoriale, hostile, RAMA rencontre une 1ère difficulté …

Nous, ci-devant Odette Est Josette, avons été, ce jour, mandaté (par huissier modèle Rohan 80’s monté sur Sebago, vous vous rappelez ? huissier également accusé de réception de dessous de table XVIIIème pour financer l’UMP et d’extorsion de fonds de vieille des Chartrongz), nous, ci-devant Odette Est Josette, sommes, en conséquence, OFFICIELLEMENT mandatés par le RAMA pour vous annoncer la modification suivante (indépendante de notre volonté, vous en conviendrez) de l’Agenda21 du RAMA, du fait de ce (foutu) redécoupage territorial, peu concerté, de ce gouvernement, pourtant ami de longue date, mais qui n’en fait qu’à sa tête qui ne tient qu’à un fil qui ne répond pas au nom de Collins.
Vous pouvez essayer : Collins … Collins, … voyez, il ne répond pas ! CQFD
Souvenez-vous, cher co-constructeur, nous avions esquissé, à l’occasion des Vachettes d’Hiver (hiver 2012-2013), un 1er canevas de planning prévisionnel, élaboré lors des 5 premières années de la Concertation Territoriale (une trentaine d’atelier, quand-même !).
Le revoici, pour les éternels oublieux, les mêmes qui oublient leurs enfants à la sortie de l’école, plusieurs années durant, en libre-service pour les pédophiles et qui font des marches blanches après pour tenter de rattraper le cou :
  • 2015-2030 : croisement des diagnostics
  • 2030-2045 : identification des scenarii d’amélioration du process
  • 2045-2060 : mise en place pilote sur un des territoires (Les Landes, par exemple, pour fêter les 25 ans de la disparition de Henri Emmanuelli ou pour le 143ème anniversaire d’Olivier Roumat)
  • 2060 : généralisation au territoire Aquitain

Nous sommes donc, nous, RAMA, à notre (double-)corps défendant, dans l’obligation de revoir ce planning, déjà très tendu, vous en conviendrez, pour intégrer cette nouvelle difficulté que les dieux des musiques actuelles aiment à glisser, en fin de balance, sous nos goulettes impeccablement scotchées par nos gaffeurs émérites bien qu’intermittents.
A l’heure où je vous parle, Français, Françaises, les allemands sont à nos portes, ils nous ont évincé de notre Coupe du Monde au Brésil et s’apprêtent à renvoyer les argentins à leur faillite permanente et leur Florent Pagny, dans sa lente Patagonie ponctuée de grognements plus disgracieux les uns que les autres.

Le problème le plus extraordinaire (depuis Agison) qui se pose irrémédiablement à nous, RAMA, est :
  • Peut-on se permettre de modifier uniquement le planning en faisant glisser ça et là les deadlines de quelques dizaines d’années ? ou bien …
  • Doigt-on repartir du tout début, relancer la Concertation Territoriale initiale (débutée en 1926, souvenez-vous, sous Jean Jaurès !) puisque le TERRITOIRE a bel et bien changé !
    … refaire la photo historique dite l’Arbre à Médiateurs (en vente 12 euros dans toutes les Smacks), dans le grand hall du Conseil Régional, souvenez-vous c’était hier …

Nous en sommes là, co-constructeurs de tous poils, et ne manquerons de vous tenir au courant de l’évolution du dossier dans les prochains siècles.
Nous vous prions de nous excuser, encore et encore, c’est que le début, d’accord, d’accord, pour le dérangement.

Ici l’ombre, Les Aquitains-Limousins-Poitevins-Charentais parlent aux Aquitains-Limousins-Poitevins-Charentais.
Ça chie !

T’es où ? Je suis aux Palaaaaaaaaaaaabres. Aaaaaaah, et t’en as pour longtemps ? Chépa.

En fait, j’ai beau réfléchir, j’ai trop rien à dire sur ce machin là, ce process dit Palabre.
Je reste là à tourner la langue dans ma bouche comme 1 con (au délà des 7 fois réglementaires) et rien ne vient qui vaille qu’on s’y attarde.
Euh, à part les trucs classiques, quoi, branlette, j’en foutre, pisser dans un violon, …
Les Gourous du process (pour ceux de mes fervents lecteurs qui n’appartiennent pas à ce drôle de microcosme cultureux, un genre d’équivalent des Divas du dancing (1), transposé des dancefloor 80’s sous un arbre, au café pompier) étaient censés communiquer aux reporters tintin et/ou autres scouts affiliés à Rohan voire même aux rares esprits affûtés, aux polémistes virtuoses et/ou avisés un CR de leur déjections afin de se faire démonter en bonne et due forme, une bonne fois pour toute.

Ils l’avaient juré, ils l’avaient promis, par voie de paresse.

Autant dire qu’avec cette authentique bande de vaillants, on a pas vu la queue d’une ligne relatant la rencontre (si ce n’est une tentative de CR de la Palabre #0, par un tintin reporter (fourbe d’après une amie, voire pervers narcissique !) qui tente, comme il peut, de relater comment partir d’un sujet flou pour déboucher, in fine, sur un sujet encore plus flou (2)).
Une fois de plus, par leur amateurisme et leur foutue tendance à s’exprimer par leur nombril, ces gens donnent à Jujube et ses fripouilles moins talentueuses, oh combien, mais mieux organisées, oh combien, les armes pour les renvoyer jouer à la baballe à la prochaine occasion.
Aux prochaines municipales, par exemple.
(1) Pour ceux qui préfèrent haut la main à ces palabres, avoir des nouvelles fraîches de Philippe_Cataldo, c’est par là, ne me remerciez pas, c’est tout naturel … http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Cataldo
(2) http://rue89bordeaux.com/2014/06/palabre-0-faut-il-culture-utilitariste-rentable/

Tu le trouves pas un peu trop échancré, mon nouveau streaming ?

Un soir où je m’emmerdais, je me dis : « té, et si j’allais à ce concert garage là, à Barbey ! » (j’ai jamais trop pu blairer cette musique garage mais bon avec quelques binouses dans le museau, ça peut passer le temps …).
Je me pointe donc.
Bon, comme prévu, c’était chiant et la bière était bienvenue.
Vers le 3ème Distingué (comme on disait au temps béni de la no wave, barrière de pessac), j’avise pas le père Couderc en grande discussion avec je sais plus qui là (Greg Nordmäle ? qu’est-ce qu’il foutait là ? il avait pas ses 45 tours chéris à lustrer à la peau de zibeline pour qu’ils brillent de mille feux, à la prochaine HMNI PARTY 45 TOURS, MON AMOUR dont on fait des gorges chaudes, downtown ! ?).
Je m’incruste donc.
Ça parlait crise du disque, streaming, …
J’y dis tout de go au président de la FELIN (1), ni une ni deux, que j’avais vu que le numérique commençait à marquer des signes de fatigue dans sa compensation des pertes constatés sur le marché physique (2).
Voilà t’y pas que le président, soudainement transformé en roi de la jungle se met à me rugir dessus, le gonze, que j’ai rien compris, que le problème c’est pas ça (ah oui, ça y est, ça me revient, j’en avais profité pour glisser malicieusement que ce distinguo entre majors et indépendants vaut pas pipette, tout ça, forcément, ça l’avait un peu énervé …) …
Augmentant, pour impressionner sa proie à sa merci, son discours de gestes circulaires des bras, comme un tourne-disque qui aurait soudain réalisé, en pleine travail de rotation et de diffusion, sa condition et qui voudrait, tout en continuant son œuvre de diffusion, faire comprendre au monde alentour que ça a assez duré et que ça va péter. Voyez ?
Alors, au faîte de la ire du tourne-disque léonidé redevenu humain sur ce coin fumeur, en la personne de ce Couderc, un des 2 bras en rotation rapide sortit brutalement de sa trajectoire asymptotique et vint percuter mon Distingué qui ne l’avait vu venir, tout à sa pose.
Celui-ci chut lourdement. du fait de sa relative plénitude (j’avais du boire 2 ou 3 gorgées, tout au plus).
Et se vida presqu’entièrement sur l’asphalte. J’engueule même pas le coupable puisque c’est un notable et qu’il pourrait me servir, un jour.
J’attends en revanche qu’il remette les niveaux comme on dit.
J’attends toujours.
Je me dirige donc assez rapidement vers le bar me (re)payer ce fameux 3ème Distingué. Puis un 4ème et probablement un 5ème pour pousser …

Moralité : à la FELIN, la crise du disque, on en parle mais la crise du Distingué qui se retrouve à terre du fait de la Présidence et dont les niveaux ne sont pas refaits au frais de la Présidence, ça, on en parle moins.
(1) http://www.fede-felin.org/2014/05/14/irma-stupeur-et-incomprehension/, en allant pécho cette adresse, j’apprend la fin de l’IRMA qui marque certainement la fin d’une époque, les 30 glorieuses des musiques amplifiées, 1982-2012 … 
(2) Pour ceux que le Streaming intéresse ailleurs que par en dessous … On entrevoit une issue de secours … http://www.irma.asso.fr/Streaming-d-une-economie-de-la?xtor=EPR-183 sauf que … http://www.irma.asso.fr/Malgre-le-streaming-le-marche?xtor=EPR-183.

Vole, benêt, vole !

En ce moment, on se focalise sur la crise des intermittents car ça ramène plus d’oseille aux journalistes (1), par le truchement d’un meilleur audimat (… moi cette bande de privilégiés !), mais il ne s’agit que de la party émergée du collectif iceberg.
En fait, une crise bien plus préoccupante est en train, sournoisement, d’instiller le tissu socio-cul dans son ensemble. Et risque de faire s’effondrer tout l’édifice Smack de ville, patiemment érigé, pierre après pierre, et de faire rouler, dans un vacarme assourdissant, bien au-delà des 105db autorisés, le rocher de Palmer dans la descente des 4 pavillons jusqu’à aller s’écraser sur les Grands Moulins de Paris (2), de réveiller le volcan krakatoa pour nous débarrasser à jamais de cette Mérignaque aux galeries marchandes qui ne pensent qu’à ruiner sa prestigieuse voisine, porc de la lune, de rendre à Vaudeville et aux lotos ce théâtre de quartier de Barbey.
Rappelons au néophyte, du secteur marchand, que le modèle économique du microcosme socio-cul repose entièrement sur les épaules de ces chers benêt vole ! à un m’man donné, il s’agit pour le gourou aspirant à une juste rémunération du fait de son pouvoir maléfique, d’hypnotiser suffisamment de ces petits êtres malléables et corvéables à merci pour leur faire réaliser un ETP (Equivalent Temps Plein) sans rémunération. Cet incroyable gain de productivité justifie à lui seul l’octroi de subventions pour permettre au gourou de se payer grassement en retour et de garder intactes ces qualités permettant de profiter du travail des autres à moindre frais.
On voit partout fleurir dans la presse festivalière des appels aux secours de Directeurs aux abois, obligés de rogner sur les olives farcies aux apéros pour pouvoir accomplir leur sacerdoce … quelques exemples édifiants par ici …
 Et par là …

Après le fameux « Cours, Forrest, cours » qui relança Hollywood, pour copier une fois de plus ces américains qui ont tout inventé, on essaiera avec cette french cover « Vole, benêt, vole ! » de sauver les festivals français.

(1)  peut-être permettra-ce de sauver Libé d’une reconversion en cybercafé / station de service ? 
(2) qui a une légitimité et des fondations autrement plus solides que ces saltimbanques … http://www.sudouest.fr/2010/08/30/les-grands-moulins-taillent-dans-le-vif-172192-757.php

Brèves de comptoile

Rama … Rama … allez, descends de ton arbre, on mange là !
Dans la dernière Lettre à RAMA, rien comme d’hab’.
Ah si, peut-être, ce truc-là, sur des collègues Poitou-Charentes : Ils sont marrants, quand-même, ces Poitou-Charentes, (les charentais, on savait depuis longtemps, ah ah ah, ah les cons !), quand ils créent leur Pôle Musiques Actuelles, les Poitou-Charentes, c’est pour tirer vers le haut la scène locale.
Heureusement, Flamby a choisi de les envoyer s’arsouiller avec les bretons bretonnants et leur festnazes plutôt que de venir déstructurer nos côtes de sable fin immaculé et leurs festivals impeccables (multipaires, bien sûr).

1 mois + tard (environ le temps qu’il me faut pour écrire cette bafouille), retour sur information !... oh putain, roux et didou, savez pas ? beh, en fait, les Poitou-Charentes, ils viendraient avec nous !
… avec leurs oiseaux qui volent à l’envers pour pas voir la misère.
Fermez les volets, publics empêchés !
Et rallumez-moi cette télé, bordel ! Restez pas debout avec cet air ahuri.

Au Centre Commercial Les Rives d'Arcins à Bègles, c’est décidé, on va tous mourir !
Pour éviter de payer la SACEM et rémunérer les auteurs, car ça ne rentre pas dans les critères de bon comportement des actionnaires, les responsables de ce centre culturel (au sens où l’entendait l’Education Populaire, élever les masses vers un absolu récréatif et grand-public) Les Rives d’Arcins à Bègles ont fait leur programmation : ils ont porté leur choix sur l’acquisition d’un nécessaire à diffuser de la Musique au Kilomètre.
Mais enfin, cher programmateur, ne craignez-vous pas que les gens qui supportent ça toute la journée risquent de devenir, à la longue, des serial killers en puissance ?
Je sais, ça ne concerne nos amis les actionnaires que tout à fait à la marge, dans l’épaisseur du trait, comme il est convenu de dire maintenant en milieu professionnel up to date quand on te fourgue une tâche supplémentaire imprévue et qu’on te fait comprendre, en s’esclaffant, car t’es tellement bon, que tu vas nous régler ça en 2 coups de cuillère à pots.
Cuillères à pots que vous pourrez trouver aisément au rayon Puériculture, au Centre Commercial Les Rives d’Arcins à Bègles, où tant de gens aiment à aller se familiariser avec la mort, en promenade.

Ramoul vs Rama
Hé les RAMA, faites keye, y’a un mec là, en loucedé, qui essaie de vous piquer 1 de vos 2 idées … non pas agisson (saucisson j’allais écrire, quel balôt !), l’autre là, la malette, savez ? le machin là pour pas se sentir à loilpe en milieu amplifié, pour pas se sentir empaffé en milieu amplifié, pour pas prendre le jus par les couilles, voyez ? beh l’autre, là, RAMOUL (RAMOUL … RAMA, t’as compris … bonjour l’embrouille …), il essaie de fourguer une malette en matière plastique, si j’ai bien compris, avec plein de tuyaux dedans pour pas se faire enfler par les cafetiers.
Me remerciez pas, les RAMA, c’est tout naturel, avec tous les sujets de poilade que vous m’avez fourni, je vous devais bien ça !
Allez, un bon été, en vos applaudissements, les RAMA !

Un café et l’addition

Alors, comme d’habitude, en France, tout se finit en chanson, et comme d’habitude en France, t’as un mec hyper bon, personne le connaît, j’ai nommé … Nicolas Paugam !
http://souterraine.biz/album/aqua-mostlae Aqua Mostlae by Nicolas Paugam CD, €10.00  Purchased 16 July 2014 09:37 PM ~ Payment 1401962592 ~ PayPal transaction ID 9PV95995M4678210S



Pendant ce temps-là, Vassiliu summer. La bise, champion du monde !