chez odette

"Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM." Terrain Hostile.

mardi 11 août 2015

Vachettes d'été 2015


Te souvient-il, fillette, fillette, te souvient-il  ces riantes vachettes un peu frivoles, un peu bonasses, qui courraient nues dans la vallée d’Aure, dévalant le champ de la pierre jusqu’à la Neste, au fond, à l’ubac, puis remontant aussitôt vers l’Arbizon (en pantalon, s’il s’était agi de l’Arbizongue, il eu été préférable de le gravir en tongues, comme aux chartrongues, par exemple, plus près de chez nous). Elles vinssent ainsi et revinssent encor, commacko loilpé, 3 longues années durant, nous susurrer à l’oreille des chevaux L’été Girondin qui revenait de transhumance, quelle chance !, égayer la vie de ce rude paysan d’antan, du paysan downtown, habitant de Saubissan, qui de Miniou, qui de Souley, ou qui de Pelarrey ?

Il y eut, à cet égard, en pâturage, ces années là, triées sur le volet, en ZA (plus moderne) :
{2015} :
  • Vachettes de printemps 2015
{2014} :
  • Vachettes d’hiver 2014
  • De riantes vachettes pour Novart, va, chante, rillettes, dans nos verres … et nous venge
  • Vachettes d'été 2014
{2013} :
  • Vachettes d’hiver 2013
  • Vachettes de rentrée 2013
  • Vachettes d’été 2013
{2012} :
  • Vachettes d’Eté (été 2012)
A quel indice manifeste reconnait tongues que les vachettes sont de retour des caraïbes comme esturgeons en la chaste estuaire ou ces oiseaux migrateurs que chanta si bien Jon Smith, maintenant dans l’hôtellerie ?
Bizarrement, le retour des vachettes est systématiquement annoncé par une antilope.
Allez comprendre, c’est le fruit de la réflexion de paons entiers de l’administration du spectacle (qui se serre les coudes en créant des festivals à tour de bras pour faire accréditer l’hypothèse de la pénurie et de l’inégalité culturelle aux africains sédentaires ou migrants, en mal de contes) !
Un jour de Mai dernier, donc, déjà totalement subjugué par le retour des tenues légères chez nos amies de tous poils, dont ces antilopes du spectacle qui nous intéressent plus particulièrement aujourd’hui, j’avais remarqué, à la sortie du parking des Capucins, cette vieille antilope craintive, comme égarée (bien que déjà au parking !), millésimée 2014 (celle avec les cornes emmitouflées en bleu-blanc-rouge), dans un recoin secret, après le péage.
Plus personne ne la calculait la pauvrette, antilope de l’an dernier, il faut dire que la manœuvre au sortir du péage n’était pas facile, le festivalier potentiel était alors tout accaparé par ce virage en épingle à nourrice qui menaçait de lacérer les flancs de l’automobile avant la descente vers les punks à chiens qui intriguaient ma fille.
Je m’étais même fait la réflexion, un de ces matins, dites donc : « tiens, tiens, t’as vu ? les voitures d’aujourd’hui sont manifestement bien plus grosses qu’icelles d’avant, du temps où l’on construisit ce parking des Capucins, on arrive difficilement, aujourd’hui, malgré une voiture quelconque, une DACIA SANDERO état soeur, à négocier le trajet qui nous est proposé, comme celui proposé à l’hérétic voulant s’emparer du Château de Monflanquin équipé de redoutables baisse-trognes (je connais pas le terme « techniques de guerre » exact), t’incitant à baisser la trogne afin que de maximiser l’effet bœuf d’un coup de massue agrémentée de dents de grizzly (ou de ptérodactyle) pour faire imploser la béchigue de l’importun.
Que dire de ces pauvres malheureux, aux commandes de leur TOYOTA Hilux TRD 4,0l, qui n’ont commis comme crime que d’être riche et hosteintatoire !

Je m’étais juré solennellement (devant ma fille cadenassée à l’arrière de la DACIA SANDERO, qui menaçait de poser une question aux punks à chiens) de partager cette réflexion avec le plus grand nombre.

L’émotion suscitée par cette performance virtuose et par la réflexion y attenante me fit oublier un instant le retour des antilopes pour nous brouter le minou, au printemps.
Et donc, ce faisan, un jour de Juin, alors qu’on pensait, moi et mes collègues, à tout autre chose, on revit galoper, au milieu des lapins d’aéroport, l’antilope à guitare au flanc des abribus, financés comme antilopes par le département, et l’auteur dit :
« il suffit ! finissons-en, bouclons cette boucle, qui commence à nous brouter le minou, en ce 4ème retour de l’antilope au pays des lapins d’aéroport ! ».
A cette époque, on testait chez ces gens de peu d’importance, ces mérignakoués, de nouveaux dispositifs, comme on testa jadis la bombe H à Tamanrasset ou à Kourou / Guyane. Entre le moment où je lançai cette phrase ébouriffante à la face du monde, étourdi par tant d’audace, pas peu fier, et aujourd’hui, 2 bons mois s’étaient écoulés et je ne savais plus de quel dispositif voulait parler ce jeune homme de 2 mois de moins que moi.
Peut-être s’agissait-il des bus de type Flexo (faut indiquer où tu veux t’arrêter) ?
Mais j’en suis pas sûr, à la réflexion …
J’essaierai de lui en glisser 2 mots la prochaine fois que je le croiserai à l’arrêt (Pythagore ou Pelus).

Et enfin, ce jour fantastique, 8 Juin 2015 exactement …


elle apparut enfin, aux abribus, toute en jambe, en jupette affriolante, très Beth beige soirées Rallye, Cyrillus 89, sur ce fond d’écran built-in PowerPoint 2007 qui avait ébloui tant de cadres moyens, pourtant peu enclin à l’extase, sauf aux feux d’arties fesses.
« Le graphiste surdoué du CG s’était encore surpassé cette année ! » me DJ.
« Il a du faire péter un stage durant l’hiver (chez Webset à Liburne DC ou carrément chez MichelAnge « habillage de fêtes » à St-Germain du Puch …). »
Ou alors, il était tombé dans la Drogue ou dans le Peugue (comme chaghin say, les 2 passent par Mériadèque).

En toute fainéantise, l’idée que j’avais, pour expédier au plus tôt ces dernières vachettes en poste restante à Guchan, Aure (à la patte d’oie) et rejoindre mes nombreux amis à la plage (1) au plus vite, était de reprendre le plan des 1ères vachettes (celle de l’été 12, te souviens-tu ?) et de refaire les niveaux, comme à confesse.
(1) Je me faisais une autre réflexion amusante ce même matin (encore un matin, un matin proustien !), tout en maudissant le tram A qui avait goupillé 2 terminus consécutifs à Hôpital Pellegrin quand la norme était 1 sur 2 et que du coup j’allais doublement louper la correspondance du 48 à Mendès-France:
« Tu vois ? Cette histoire de culture, là, elle n’est, en fête, que très partiellement recouverte (au sens « enculée ») par cette histoire d’art, là ! … de dard, oui, à la limite. »
Prenons l’exemple des states : quand, chez nos sauveurs éternels (culture de l’attente qu’un autre vienne nous démerder le terrain avant que d’y aller nous-même), le concept de « ruée vers l’Ouest » recouvre une idée d’accession à une vie meilleure, tu vois ?
Alors que chez nous autres, attentifs aux autres comme pas d’eux, ça recouvre plus l’idée d’aller piquer une tête à l’océan, voyez ?

1-     Donne-moi de tes nouvelles, Aurélie, steuplait. L’attente m’est devenue insupportable, je n’en puiplu. Claude.


Comme Renaud, frappé de plein fouet dans la force de l’âge, un mâtin vers 9h00, à l’apéro, par une terrible panne d’inspiration qui lui fit préférer, au déshonneur, le repli (jusque z’aux bar disait-on jadis …) dans une bouteille de Ricard (cf ce merveilleux crobarre de Soulcié dans Télérama), comme ces fruits embouteillés trop murs, trop lourds, qu’on se demandait encor, avantélé, lorsqu’on sortait les chaises dans la rue Quintin, comment qu’ils avaient bien pu rentrer tout seul, dans cette jarre si étroite, sans le moindre tour de rein, sans le moindre lumbago, sans citer le moindre alexandrin, sans avaler le moindre cervelaligot, sans émettre le moindre kajacoincoin, sans simuler le moindre kajagoogoo (too shy shy hush hush how do I ?).
réserver magot, virago, a gogo, ouedraogo, trinidad et tobago, christine angot, … pour une prochaine impasse du raisonnement, inévitable …
Tout ceci est certes très intéressant, cher auteur, mais nous donne peu d’indications sur ce qu’il est finalement advenu d’Aurélie après sa séparation d’avec Frédéric qui précédait de peu celle très douloureuse d’avec Arnaud, comme elle homme de l’est.

Hé beh, moi qui suis habitruellement très friand de ces trucs de pipole (ainsi que de tuyaux plâtrage-carrelage, en général), j’ai pas trouvé grand-chose de poilant ce coup-ci …

  • un micro-différend sans intérêt Filipetti / Torreton (l’acteur français de 2nd plan, de Rouen, justement remis à sa place par l’amuseur arabe de Quota (Tunisie), Gad Elmaleh, mari de Caroline Sury),
  • une altercation bégnine Filipetti / GoldNietsche qui comprend pas qu’on ait instauré la préférence nationale pour les artistes, déjà privilégiés en tout, nature, taille de pénis, gonzesses y attenantes, caillasse, … et pas pour les ouvriers, vilains, cons, microzobes et qui puent …
Jusqu’à cette dernière saillie des média (tous pourris !) qui voudraient réduire Aurélie à un simple système d’amplification, comme exprimé dans ce torchon abject http://www.legossip.net/aurelie-filippetti-enceinte-d-arnaud-montebourg/250767/ où le journaliste, probablement formé à Radio France Bordeaux Gironde à la fin des années 80, laisse même sous-entendre qu’elle ne servirait d’amplification qu’au seul Arnaud Montebourg ce qui est strictement impossible, pour une femme, pensez donc ! Il ne s’agirait alors non plus de haute fidélité (qu’on a toujours qu’entrevue) mais de céleste fidélité, pensez donc !
Et donc, cette couille d’Aurélie, au lieu de profiter tranquille de cette incroyable planque, Ministre de la Culture, a préféré faire sa Che Gomina et partir au bras de ce bel andaloureed de
Clamecy dans la Nièvre.
Quand il apprendra par les enceintes qui relatent sa vie, son œuvre 24/24, 7/7 que sa moitié (en mono donc) est à la fois enceinte et enceinte, alors, pour ne pas s’embarrasser de femme et d’enfants (1) qui mettraient en péril sa mission de redresseur de Thor (« Emmène moi danser ce soir » entre autres), il se délestera de ces charges devenues subitement inutiles pour poursuivre seul vers un idéal que lui seul connaît (ibid … si qq1 sait ce que veut dire ce ibid qu’il m’appelle à Cognacq-Jay ou directement à la Madrague, je suis chez Michelle qui m’a demandé (encore !) de la faire danser ce soir)).
Et du coup Aurélie, seule avec une armée de chiards (1) à ses basques sera obligée de succomber à cet abject DSK qui lui fait une cour explicite depuis ses 14 ans, avec force mouvements de langue déformant la joue gauche et simulant le contact d’un corps étranger à l’intérieur de la bouche, à des fins récréatives (particulièrement le soir en rentrant fourbu du FMI, fulminant contre ces ronds de cuir, avec la raie au milieu). Il faut dire que DSK était subitement revenu en grâce, déjouant les pronostics des agences de fellation, ayant seul sauvé la Grèce des eaux, eaux prises avec des créanciers obsédés par les allées et venues du liquide dans et hors les bourses et les mûres.
A croire que sa graisse immonde qui avait réussi, in finez, à fermer son oeil torve se transformait en un divin élixir au toucher délicat d’une femme de lettres.
Au profit de peuples exsangues. De proche Lorraine ou de lointaine Méditerranée.

2-     Non mais, t’as vu Rousset ? Non mais, quand même, j’te jure !

José Ruiz va encore penser du mal de moi, que j’ai couché avec les Les Républicains (et la raie au milieu), que j’en pince pour cette insolente de facilité plus mauvaise droite du monde qui nous en met plein les mirettes, jour après jour, grâce à ces virtuoses de la formule qui fait mouche : xavier bertrand, bzzzz, bzzzzzzzzz, boum badaboum … et merde !, frédéric lefebvre … euh … bzzzzzzz, bzzzzzzzzzzzz, nkm … elle fait chier cette putain de mouche qui m’empêche de discuter avec mes copains sdf, wauquiez … non, vous ne me ferez pas aimer les assistés, ce n’est pas la peine d’insister … bzzzz, bzzzzzzzz … mouches qui se transforment parfois en chrysalides, après usage (comme capotes napoléoniennes), puis en Ecureuils sacrés des Laurentides qui n’attendent que le retour de leur chef, encore aux affaires (Bourgmestre à Bordeaux ), malgré son âge avancé et son énervement croissant, bzzzzz, bzzzzzzzzzzzzz … pour marcher sur Montréal et chasser Anglois et Chinois vers les Putes du Niagara, aouh tcha tcha tcha …
José Ruiz, gnagnagnagna gnagnagnagna gnagna … mais comme j’aimerais quand même, voiture josé ? voir un jour, avant que de rejoindre le club des 27, ce fanfaron autotuné de Rousset renvoyé à Les Echoppes, Pessac (33) par cette nouvelle rombière, ex reine du paf le chien, nouvelle sorcière de Rohan, cette Calmels, promise aux Cérémoniales aux Chartrongues avec un très joli chapeau représentant un esclave donnant son sens pour en faire du vain en guise de coiffe, pas peu fière de son parcours audiovisuel extravagant et de son allure dynamique à la Soliselec + Femme libérée = Pat’ Le Gac’. Tu sais, c’est pas si facile.
Il (Rousset) pourrait alors (enfin !) rejoindre ses troupes amassées à Verthamon (limite Berliquet), cette impressionnante Division Cervelas, responsable des pires charcuteries, exclusivement composée de Cochons sacrés, engraissés à la sub’ depuis 30 ans, en rangs serrés, prêts à fondre sur Mérignaque récupérer Arlac injustement annexé en l’an 1421 par le Connétable Dantès au gérant du Relais de Poste, Hosteins, lors d’une partie de brèmes de sinistre mémoire, au Bar des sports, Avenue du Vallon, que les draps s’en souviennent.

3-     PizzaRockCollection

PalamPalam, PalamPalam … on a tous dans l’cœur …
Bon, ça n’a pas grand-chose à voir avec nos vachettes mais le programme PISA que j’avais rebaptisé PIZZA pour faire rire mes pires ennemis, vous avez vu ?
Vous avez pas vu ?
Vous vous rappelez pas ?
PalamPalam, PalamPalam …
Mais si ! Le machin dont se sert l’abominable homme des œufs en neige, Flamby et sa ministre issue de la grande diversité des rayons frais dans les grandes surfaces, de Quota (Algérie framçaise) pour faire LA GRANDE REFORME de l’abominable homme-collège, voyez pas ?

Hé beh, en fait, c’est l’OCDE, con, qui s’y école, en fait, qui tire les ficelles, qui étale sa pâte comme on étale sa culture, à plate couture, à la dead Jean Lacouture, elle s’est entichée de mesurer l’employabilité du pizzaïolo, vallaud, qui barrit olé quand il brandit œufs au lait, ricotta, aligot au hasard, badaud et qui rit au laid quand il l’est, et qui rit au gros quand il rit oh, bravo.
PalamPalam, PalamPalam …
La PizzaRockCollection est un jeu qui se joue à 4 ou 5 contre 21, Monsieur, et, à la fin, c ki ki gagne, à la fin, hein ?
Hé beh, c’est la Finlande, Monsieur !
Ceux qui rêvaient de renvoyer les grecs à la mer avec leurs migrants (survivants) …
Alors là, chapeau, me la ministre, vous en faites une bien bonne, elle est bien bonne celle-là …
PalamPalam, PalamPalam …
A cet instant, j’eus une première alerte, un inexplicable ras le bol de ces vachettes, à qui je devais pourtant tout mon succès et l’essentiel de mes rémunérations, comme une envie de tout envoyer bouler, de passer directement au chapitre 4 sans tirer d’enseignement de la PizzaRockCollection de cette année.
Et, effectivement, je décidai, sur le champ (de la pierre à Saubissan) d’expédier les affaires courantes et de donner le bac à tout le monde.

4-     Les Scènes d’été en Gironde proposent 1000 spectacles, cet été. Dont 500 gratuits.

[Début d’accroche ultra laborieuse que je voulais virer en 1ère lecture, en proie à une honte bue de travers, mais que, finalement, je décidai de garder pour me faire les pieds et me guérir de cette arrogance]
Ah ça, je vous l’ai déjà dit pas moins de 100 fois au lieu Dune (je suis à Lacanau au moment où j’écris ces quelques mau) … Nul, putain ça commence mal ce chapitre 4 qui devait relancer ma carrière !
Pour ceux que la Nature n’a pas doté, comme moi, d’un solide Esprit Sud-Ouest, Lacanau est un endroit balnéé comme un âne mais assez nul au lit, à la Mérignaque (ma maîtresse d’hiver), à 2 doigts d’un endroit épatant, Carcans-Plage, champion du monde des préliminaires.
Mouais, un peu mieux mais bon … un peu capilotracté tout de même (expression nulle qui colle bien avec le reste, aux bonbons)…
Bon, je vais réessayer un dernier truc pour voir … si ça marche pas, charrette de fumier (lol viv !) …
Si je l’ai pas dit 100 fois, bordel de merde, je l’ai paddy mac aloon …
Putain, mais c’est pas vrai ! Ah, ça, c’est pas joli-joli un auteur-auteur qui se renaud et se renard à lui même.
Renul ! Reine d’Angleterre, je vous renifle le nénuflar !
Tabernac’, je l’ai caddy de fumier nonante fois.
Mais c’est pas vrai ! Même avec l’accent québécois, c’est nul, t’as qu’à voir !!!
Quand ça veut pas, dis, ça veut pas … lamPalam, PalamPalam, je l’ai pas déjà fait celle là ?
« Si je l’ai pas dit 400 fois, » disais-je soudain à la Jean Marais, pataugeant dans sa beauté flasque et son inconséquence « il prit 2 fois de la morue et dit en substance : « Huile 2 fois 2 morue, il était une fois une morue, éprise de foi, il était une fois de la merde en soi comme un ouragan qu’est passé sur moi. Eprises, l’une comme l’autre, de gratuité. » »
(Et oui, mes amis, je sais que c’est déroutant mais j’avais plus haut cité Jean Marais qui, lui-même, au bout du rouleau dont on fait des Cocktaux (pluriel de Cocktail), citait une anecdote bidon qu’il semblait avoir comprise d’où les 2 » » pour clôturer la narration. Bidon.).
« Qu’importe » s’emporta le dramaturgescent, « j’arriverai bien à la (ccroche) fourguer, après ma mort, à Les scènes d’été que j’envisage en Gironde.
J’ai l’ancienneté requise, palsambleu !
Je ne supporterai jamais qu’un de ces jeunes dénué de talent, un de ces Torretons, emporte le morceau de ma chair divine transformée en charogne pour faire croire qu’il est admis dans la grande famille du spectacle vivifiant.»
[fin d’accroche ultra laborieuse que je voulais virer en 1ère lecture, en proie à une honte bue de travers, mais que, finalement, je décidai de garder pour me faire les pieds et me guérir de cette arrogance]

Conspuant les gratuits, se gaussant des benêtvoles, debout sur le bureau (en guise de scène endettée), je vous avais prévenu (résumé de l’accroche pour ceux qui auraient décroché).
Vous me prîtes pour un fou, un fou d’amour, un fou de prétérit, un fou d’Boigny.
Certes, j’avais secrètement espéré avec la disparition de ces maudits rois CG, la retraite aux flambeurs des Madrelle, l’arrestation de son fils fictif arc-bouté sur son emploi fictif, comme ce gonze à cheval sur la 1ère ou la 2nde bombe H (dont c’est l’anniversaire, lol !), à la fin de ce film culte dont j’ai oublié le nom car n’aimant pas spécialement ce nouveau procédé dit de cinématographe à part chez celui de Pessac à Berliquet dont j’ai également oublié le nom.
Ah beh non, c’est Couzinet, ça m’est revenu 2 jours plus tard !
Ce démantèlement du gang des Madrelle aurait du promouvoir automatiquement (électroniquement, pourrait-on presque dire) sa fille secrète, sa Mazarine, Katelectro, aux commandes de Carbon-blanc voire du bec d’en baise moi toute entier, du Peugue au Zambèze, et en finirait une bonne fois pour toutes avec ces scènes datées, ces scènes gâtées, ces scènes hâtées, ces scènes athées, ces services à thé.
Au profit de siestes musicales où on est mieux assis.
Hé beh, que tchi (comme on dit à Carbon-Blanc et un peu à St-L’où baise, quand on est un peu pompette), non seulement ils ont pas dégagé le plancher des vachettes, Pilarski et toute la cliquaille des post 68 (tares), mais ils ont même fait des petits, dis-donc, antilopes endimanchées, antilopes enturbannées, antilopes en burqa, antilopes de Quota (hiti), antilopes de pacotille … comme de petits veaux dAqui ! qu’on avait illico baptisés « Aquitaine en scène » et « L’été métropolitain » plutôt que Milou et Raminagrobis, comme il est de bon thon dans les milieux marrants.
On était plus à un paradoxe près, faut dire, dans cette époque un peu folle.

5-     Rendez nous les Frères Brothers !

Les Freres Brothers en concert le Jeudi 30 Juillet 2015, Salle Bleue A St Georges De Didonne.

6-     Hollande contre les UNESCOW, vent debout, tout contre les UNESQUAWS.

Dans un souci de moindre détail endiablé, j’étais même parti, frétillant encor, comme un lançon tout frais, péché à l’aide d’1 filet de fortune dans une baïne de Carcans-plage au mitan des 70’s, figurez-vous, à me documenter sur les Droits de l’Homme et tout le merdier, afin de se faire construire en 1ère ligne un point de vue imparable sur l’existence ou le rêve éveillé de l’existence de droits culturels dont à peu près que Doc Casimir Bisou ose parler aux amis ébahis mais quelque peu interdits et qui n’en pipent mot, hé.
Se contentant de liker puisque ce n’est pas LE LIEU pour en débattre. Troll !
Une baïne à Carcans-plage ferait mieux l’affaire (pour en débattre des pieds). Un filet de fortune tiré par 2 enfants, l’un blond, l’autre frisé, de 8 et 7 ans suffirait à ramasser toutes les idées folles et frétillantes émises, comme fulgurances du passé.
Qu’une franche mayonnaise sans nul doute magnifieraient.
En effet, comme vous le supputiez, une bonne palabre s’accommode habituellement, parfaitement, outre mayo (bikini aussi), d’un arbre vénérable mais en aucune façon d’une vague arborescence, fut-elle booléenne.
Un arbre B à la limite … faudrait qu’on en parle sérieusement un de ces prochains jours. Appelles moi.
Sous mon arbre à cames (où es tu ? où es tu ?), j’en étais rendu à ce point de la réflexion (facile, les mains en haut du guidon, comme toujours, en plaine) :
«Indéniablement, Bob (je ne tolère que Bob Marley en interlocuteur quand j’en suis arrivé à ce niveau de réflexion), les droits de l’homme ont droit de cité dans la législation française. Ils sont même expressément mentionnés dans la constitution de 58.
En revanche, Bob, nulle mention de droits culturels, t’as vu ?
Le vocable culture n’est même ni présent dans ladite constitution ni dans la déclaration des droits de l’homme et tout le merdier. Bob, tu te rends compte ?»
A fortiori, dans cette sournoise baïne (qui emporta tant de débatteurs au large, pour un simple désaccord sémantique, qui, demain, aura probablement disparu pour aller se reformer, friponne, offerte, en Charente-Maritime ou tout comme, au vul et sul d’autres médiaculs de sac et de ressac (17).

7-     « Sélection Délices de Printemps / Bain de Culture » :

Foin de Vidal, foin de Rouxecoule de Barbey cette année en 1ère de couve, foin de Délices d’été, cette année, non plus, c’est comme si la terre s’était arrêtée de tourny à Ravesies (pour l’Homme du Médoc, à dos de consanguin, exsangue) ou à Plume la poule (pour l’échassier fanfaron voulant décrocher la Mairie du Porc de la Lune, au nez et à la barbe des doryphores).
Au triangle d’or,
(jadis réputé pour ces belles chattes bien entretenues), les éclaireurs de LA Sélection n’ont même pas été foutue de lever une nouvelle belle paire de loches judicieusement structurée (un bonnet ST, de rigueur) mais encore structurable à loisir, au besoin, par un médiateur chevronné à la main habile, n’hésitant pas à mettre en avant sa personne aux prises avec ces 2 brochets, sous le nez du curieux, public bon-enfant, qui aura payé, à un prix d’ami, ce voyeurisme aussi appelé quelquefois, pompeusement, Education Populaire.
Beh dis donc, vieille ville, ton rock en ST, il fout bien le camp, à cette heure où le gratosse nous aura jusqu’à l’os (en Chalosse, ou l’on engraisse déjà de nouveaux échassiers, de nouveaux gouard’aise, de nouveaux crânes en gelée pour faire des 1er magistrats à Bordeaux).
Quand tu suis à la trace la trajectoire de ce C&C qui se voulût un jour Régie Public pour fédérer tout le fanzinat, pour finir, de guerre lasse, par cirer les pompes de Stephan Delaux, tu peux te dire qu’à Bordeaux, le trip Art a bien pris l’eau, une fois n’est pas bitume.
Bientôt ne restera plus que vieilles vignes, terroir millénaire et cité du vin-étron pour éblouir le croisié, en croisière, accostant aux quinconces pour découvrir cette ville rock.
Bientôt la vieille ville rock millénaire aura disparu, recouverte de tronches de vigne, noueuses comme étrons fantasmés ou braquemards fantasmagoriques Hunter (ou Wakeman au pire, pour les babosses).

Té, ça me fait penser qu’il faut, à tout prix, que j’écrive ce tome 2 de « Bordeaux n’a jamais existé », en sollicitant les vieux mandarins du bled, avant qu’ils ne calanchent tous, comme cela semble se dessiner depuis peu, en une fatale et mécanique Sélection Décès de Printemps / Bain de crevures. 

8-     Guinguette de Neufont

La Guinguette de Neufont est repartie à fond pour une nouvelle saison au son des flons-flons.
Ils ont des chapeaux ronds, vive la dordogne, Ils ont des chapeaux ronds, vive les dordons.

9-     Les noyés de bordeaux

De l’eau a coulé depuis 2012 sous les ponts de l'Alma, nous laissant de pierre. Ça nous changera, espérons le, de cette enfilade rébarbative de ponts « Shah bande, elle masse », "Tu mousses mon salade ambalaba" (et non pas "Tout mousse, mousse à la bamba, là bas" comme nous l'avions cru, naguère, tout à notre ignorance fièrement revendiquée d’alors : on était puceaux).
Plusieurs éléments nouveaux à mettre au dossier, cependant:
  • « Shah bande, elle masse » a repris dernièrement, turgescent, sa marche irrésistible vers Rohan qui lui tend les bras (et la bite), bien décidé à engrosser ces sorcières en héritage, baisables, sans plus, et ce, malgré une redinguotte fort mal repassée (du fait de la fréquence de l’érection et du massage originel, probablement) par Micheline, que son ami François Mitterrand lui avait présentée, après usages multiples.
  • Zumi est déjà passée et repassée plusieurs fois, au gré des masques à raies,
  • Des bateaux-Résidences type Avenue Tiers - Arts Déconnants - XXIème ont été signalés dans les parages repêchant des noyés à tour de bras pour les ressusciter en croisiés venant découvrir cette ville rock, pour faire croire à Delaux et Tripard que les gens d’ailleurs sont intéressés par ce que nous sommes.

Mais avec tout ça, je n’ai pas avancé d’un quota (Mésopotamie extérieure) sur cette enquête, Commissaire Primeur !
C’est bien simple, personne ne veut parler !
Et là, je suis sous l'eau, là, voyez ? touché, coulé, trop de boul'eau, je coule sous le travail.
Vite un oasis, un ouarzazate, un quota (SubSahara 2 steps Chill out) sinon c'est le burnaoute assuré !

10-  Gabi Farage

Pas de nouvelles du defunkt.
Ce qui est relativement classique chez les DCD.
Ne pas s’inquiéter outre-tombes-mesure, donc.

11-  Dead galeries A suivre et Tin Box

« Une bonne Galerie est une galerie morte » comme disait, à juste titre, après les jeux de Grenoble, le père de Jean-Claude Killy (et demi-père d’Isabelle Mir) à son fils (et sa demi-fille), accrochant les skis (des Rossignol vintage basco-andalouielouie en merisier) sur les cadavres encore fumants des galeries bordelaises, alors que le fils (et la demi-fille) aurai(en)t préféré infiniment rester à la maison se déguiser en Robespierre (et Léa Salamé).
Formule probablement utilisée aussi (mais c’est moins sûr) par Sitting Bull, en position arrière (sieste musicale), à un touriste belge menaçant, qui voulait lui faire dire : « c’est bon les frites ! » pour lui faire faire, in finez, un selfie à ramener aux collègues, pour épater la galerie (bruxelloise), voire peut-être, en cas de succès même relatif, de « succès critique » comme on disait chez les voisins français, se faire un peu astiquer le poireau pour en extraire l’amidon.

12-  Niel / Miel / Fiel / Ciel, paissent-ils en Ciel (vos antilopes masculines) !

Vous l’avez compris aisément, Evolution est devenu un trop gros poisson pour moi.
Je ne voudrais pas finir comme un de ces jeunes imprudents qui ont voulu dénoncer, bravachettes, leurs turpitudes et ont fini par basculer mollement (on appelait, à cette époque, ces jeunes, ces générations Y, les « mous du bulbe » voire les « chiffes molles et les lettres de mon moulin de daudet »), (… ont fini, par basculer, ces cons de jeunes …), par choir mollement (origine probable du nom de groupe Chamallow) dans la poisseuse Garonne qui en a charrié d’autres, au cours des chiècles et des chiècles, souvenez-vous, maints objets flottants non il danse, harry, il danse, il aime bien quand ça balance (je reprend là l’énumération de type liste de prés verts dont raffolent les vachettes et que j’avais eu du mal à finir en §9 sur les noyés, alors que là, ça parle d’autres objets du quotidien dont …):
  • les excrémengues des esclavagistes des chartrongues, mélangé au sens des esclaves, transformés aussitôt en cèpes de vignes dont on soutire encor aujourd’hui le sens des artères commerçantes, pour remplir de vagues boutanches, des boutanches et des cubis et enrichir des négociants, des chartrongues itou padine ! la boucle est bouclée !, noceurs oisifs et impénitents comme pas d’eux, déversant à leur tour leurs fientes, dont le sens des esclaves mal digéré, mal intégré, mal assimilé, à tel point qu’il finira par brûler des Ford Mondéo dans des cités poste-restante modernes qu’on ne saurait voir d’ici, sur l’autre rive.
  • les crémants-mousseux des collaborateurs des chartrongues, toujours à chanter Lili Marlène pendant qu’on écartelait Jean Moulin Rouge au point où ils fondirent plus tard un Café Rouge puis un Wunderbar, en hommage rétro provoc’ aux occupants de jadis, si regrettés, si friands de bières tiédasses et de bretzels en forme de Love à l’attention sûrement des autres grands résistants du bled (Les Français parlent aux Français !), devenus bizarrement tous plus ou moins DJ (sauf Gilet qui s’arc-boutait sur sa licence de coiffeur-mixeur, obtenue avant-guerre et qu’il avait payé une blinde du fait du STO, et que des taxi-mixeurs über alles indélicats, pré-pubères, de Lit et Mixe pour la plupart voulaient piquer le boulot des Français (ceux qui parlaient aux Français), tout au black, bien sûr, à la DARWIN).
  • les hectolitres de crèmes solaires des vieilles rombières des Chartrongues avant qu’elles soient, à tort ou à raison, mises sous tutelle par des employés municipaux trop z’ailés , François-Xavier Bordeaux Hajduk Split et Gilbert Montagné Lhérété (des chartrongues égalonguement), pour ne pas les nommer exactement, qui estimaient, à tort ou à raison, avoir suffisamment donné à la ville maire et qu’il était temps d’en cueillir les mamelles les plus mures, les plus juteuses, celles qui font encore bander les vieilles tiges.
  • D’où cette couleur vermillonne (allons voir si l’arrosoir qui, hier au soir, est resté pas éteint, a pas fini par noyer le jardin ? et les voisins y attenant, toujours à expier ... de tomates) et cette affreuse pestilence non sans rappeler le parfum Kouros, des earlies 80’s qu’un être malfaisant (ma 1ère femme) m’avait offert pour me discréditer, à jamais, auprès de mes amis en ST que je n’aurais jamais eu, in finez, par Toutatis, Flambis & Tsipras et Filipjolis.
  • Oui je sais (à l’instant), vermillon, c’est rouge. Et alors ?

Mais je n’en dirais pas plus, craignant la fatale bascule.

NDLR : Si vous voulez vraiment savoir où ils en sont rendus de leur sidérante évolution, les Evolution, demandez donc à leur attaché de presse, pieds et poingues liés par le secret, ligoté à un carrelet géant vers St-louis de Montferrand (face au château, dans le fossé où se terra Michou de peur de se faire taper par la bande des petits punks de Gradingue), écartelé, en proie aux esturgeons géants de l’estuaire qui délestent les attachés de presse de leur roubignoles pour en faire du simili caviar de chez Lidl (au goût de zobe 1er prix).

13-  Grand Travaux

Mon bijou, mon joyau … qu’est-ce que j’étais truelle, à l’époque ! Un vrai piteboule.
Un ami proche (à 2 pâtés de maison), Léonard de Vinci (cariste chez Fayat, au siège, à Floirac, et également parent d’élève, comme votre serviteur) me dit même, un jour découvrant cette matrice parfaite, attendant les enfants au sortir de l’école à 4 heures :
« on dirait presque le tableau de bord
Qui fit de nous de vrais cadors
Sur la rive droite du Fleuve-Lune
Sur la rive gauche, on devinait des Rhunes ! »


14-  Salle à Floirac

Nous en étions restés, souvenez-vous, à l’automne 2012, à l’ascension victorieuse du Mont Palmer par le Général Pistoulette, sur son cheval de marbre andalougascoun, Evento II, flanqué de ses troupes, le mors aux dents, tous les tire au flanc de la CUB qu’il avait (aisément) débauché pour former une parade, une armée espagnoles de médiaculs, au bout du rouleau dont on fait des pétards.
Arrivant au faîte du promontoire du monticule du belvédère de mes 2 qui faisait un peu penser à un brochet (1) vu d’en bas, ils construisirent leur dispensaire (endroit où l’on peut se passer de pas mal de choses), une clinique tout confort, publique, pour faire la nique à la rutilante Clinique des 4 Pavillons, privée, en face.
(1)    En fait les 2 brochets d’au dessus (qui ont du vous sembler saugrenus) faisaient référence à ce Brochet de Palmer que je croyais lui-même au dessus alors qu’en fait il était au dessous. Voyez ? Puisque le voilà, seulement, maintenant. En 2ème position.


Rock in opposition, ils la conçurent un brin austère, toute en couloirs mais WC intégrés tout de même, avec même, soumise sur le catho, un bar au fond des chiottes, avec un serveur aussi aimable qu’une dame-pipi, dotée également, c’est amusant, probablement pour distraire les patients hagards de tous ces couloirs, comme stone(s ? d ?), de 2 salles de concert utilisables simultanément comme à festival, fracas.
Vous l’aurez compris aisément, un genre de Smack, en quelque sorte.
Les partisans des Cliniques-Théâtres privés, agglutinés autour de leur champion, Pat’ Le Gac, ruminaient leur vengeance au Pin Galant. Ils étaient en formation, ils attendaient, ce jour même, de pied ferme, une pointure du secteur, un « professionnel », le maréchal Courbet, ancien des Radios Libres !, qui venait les entretenir, pour leur faire partager ses zAqui!, ses diverses techniques de Coming out utilisées à la capitale, pour reprendre progressivement du poil de la bête sur la Critique, aux abois.
Aux Salinières, les troupes de Chevance … euh non de Jouveeeeence, bien sûr, vous l’aurez corrigé de vous-même, bande de cons … fourbissaient également leurs plus jolis atours, leurs meilleurs calembours pour faire succomber définitivement le grand public, ce fumier :
« On ne va quand-même pas se faire empapaouter par des fonctionnaires du divertissement ! » lâcha Jouvence, avé l’assent (un peu à la mado), pour faire marrer ses partisans, chauffés à blanc, déjà Aqui!.
Fabien Robert, dans la salle, venu en voisin, listé comme un âne, fût enthousiasmé par cette saillie (il était assez friand, comme chaghin say o’bled … de ses prises de position hardies, un peu à la hussarde).
Ainsi, le lendemain, au bureau, il donna son accord à ce consortium hollandais, financé par des fonds de pension austro-australo-ostréiculteurs, qui envisageaient, depuis (et malgré) Conchita 1ère, un(e) Hyper-Clinique-Théâtre privé(e) à Floirac pour délester les pauvres (les + nombreux et de + en +, d’après le business plan) de leurs dernières économies, pour acclamer des chanteurs semi-morts ou par paquets de 12 ou des spectacles à base de handicapés bénis des dieux, en vogue chez les crevards.
Avec ce 3ème lieu de culte, le réseau Hyper-structuré des Cliniques-Théâtres privés faisait la nique aux 3 caciques rebel yell aux belles crêtes, en position arrière (sieste musicale) regroupés en Smack de ville depuis peu, pour préparer l’arrière-saison, à base de canasta et de tisanes.
Pistoulette s’en repartait penaud vers l’Italie et ses migrants.
Peut-être profiterait-il de cette croisade au pays des droits culturels pour leur trouver de quoi bouffer ?   

15-  Les adeptes de DARWIN sont également adeptes de TED.

J’ai appris, pas plus tard qu’hier, de source sûre (Bacalan) que chez DARWIN, comme chez toutes ces enflures qui prolifèrent et qui se réclament du développement du râble (de LEUR râble, plus précisément), personne était raqué.
Rappelons quand-même aux crédules et autres médiateurs du Progrès que TED, c’est lui là …
Il décoiffe, ce gonze, non ?
On dirait presque Steve Zob, trouvez pas ?

J’ai vu hier soir à la téloche (media fort décrié dans le Microcosme, qui provoquerait l’engourdissement puis l’assoupissement de son utilisateur abruti, contrairement à un séjour prolongé sous un arbre à palabres à boire les paroles d’un de ses équivalents en tous points terrestres qui fortifierait durâblement les synapses) un incroyable documentaire sur un épisode oublié de la glorieuse histoire de France, l’épisode des Avions dits Renifleurs.
Non mais sans déconner !
Ah ça, on l’avait oublié, celle-là, on s’en était pas vanté, té !
Incroyable démonstration de la médiocrité et du jemenfoutisme généralisé de nos dirigeants qu’on a élu avec notre argent (Raymond Barre, quand-même, merde ! Le mec, il te monte pas un bar rock impeccable à Clermont (http://www.raymondbar.net/), d’une main, et, de l’autre, lâche des millions d’euros à un fantaisiste italien inconnu, un ancêtre de Pistoulette sûrement ? Pour un projet digne des Pieds-Niklos, des Charlots ou d’Evento).
Beh, TED et tous les suce-boules à la DARWIN, amis du mon râble, ç’est ça, voyez, des charlatans qui veulent vous faire les poches et repartir aussitôt en Italie s’occuper des migrants (dans le meilleurs des cas).

16-  A tous les vilains copieurs d’Earth, Wind & Fire qui ne festivalent Rien qui Steve Vaï

Non, Maurice ne vous en veut pas, vilains copieurs, il sait pas que vous le copiez, vous savez ? il ne sait même pas ce que c’est, ce Earth, Wind & Fire dont vous parlez. Vilains copieurs.
Au pays merveilleux de Boogie, après que l’amour s’en est allé, il vous adresse son meilleur souvenir.
De son côté, Michel devrait pas tarder à rejoindre à tire d’aile les oies sauvages qui l’enchantaient naguère.

 Ah, au fait, et qu'est-ce que je vous sers en variété française, aficionadeaux ?

Personne n’a réagi à ce Nôze au bistrot du coin de Fesses Bouche, c’est donc que ça doit être un gros bon.
J’aime bien ce petit côté anachronique, qu’il a, ce petit côté Schulteissien assez étrange  « c’est moi que j’aime à travers vous », comme un précipité de jazz-rock à la framçaise, comme il est de mauvais thon parmi les bien dansants.
ImportCDs / commande n°00DX6TEBMX1TY / Come with us [Audio Variété] / EAN: 0827170125629/ 11.82 €

Au fait, et Gino Vanelli,
je vous en ai parlé de Gino Vanelli, finalement ?




Alors, elles étaient bien les dernières Vachettes ?

Car ouais …
En fait, elles étaient bien les dernières Vachettes.
Je vais maintenant essayer d’écrire un autre truc super chouette,
Dans un autre format, au format de bluette, pas prise de tête,
En gros, comment dire ? en gros, gros comme un petit cahier.
Mais va falloir trouver plein de choses à dire dedans et ça, c’est pas gagné !
Gnégnégné.