chez odette

"Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM." Terrain Hostile.

dimanche 27 avril 2014

Vachettes de printemps 2014



Que retiendra t’on des socialooses ? (projection euclidienne vectorielle sur l’axe du bien culturel et local d’une relation enflammée, entamée sur facebook)
OU … comment distinguer immédiatement, d’un simple coup d’œil, ce qui relève de MON facebook (Emportements politiques surjoués et autres poilades) et ce qui relève de MON blog ("Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM.")
et répondez pas tous en même temps, surtout, ça nuirait à la compréhension du bouzin !

Localement, chevance a tenu, haut et seul, en ville, le flambeau socialoose, en campagne, en intégrant parfaitement les nouveaux codes en vigueur … bavardage, noyage de poisson systématique, attaques molles (et de côté) du système, auto-synthèse mystique voire christique de ce qui fait son soi terrestre et autres foutaises pour quelques illuminés béats de Manhattan (pour changer un peu des Chartrongues où je sens pointer un début d’exaspérationgue chez mes fans).
En revanche, on ne connaîtra jamais l’adhérence des propos d’icelui avec le monde réel puisqu’il en a été sèchement exclu un dimanche, dès le 1er tour.
Peut-être eut-il fallu, cher tribun, être plus méchant avec ces foutus rohan qui viennent nous chier sur la tête en retour, dès que leur emploi du temps le permet, sans chichiter, eux (les expérimentés), maintenant qu’ils sont réélus haut la main, vous êtes cernés ?
Peut-être eut-il fallu, alain star de cette Odette Est Josette de facebook, si novatrice, user et abuser de calomnie et de paranormal ou bien carrément invoquer ce Saint-Père des Ecureuils Géants du Parc Lafontaine à Montréal qui nous envoya naguère ce jeune blanc-bec, éjaculant à tout propos et dans toutes les directions cette fétide sève d’érable, soi-disant le meilleur d’entre Eux, dont ils n’arrivaient plus à combler le désir d’en découdre et de fourailler tout ce qui bouge à grands coups de « Ne vous échauffez pas, Respaud, c’est très mauvais » (*) ? Peut-être le Saint-Paire (de mes 2) pourra t’il enfin récupérer ce garnement, cet enfant soi-disant prodige pour une retraite enfin apaisée, après avoir guerroyé une vie durant, chez les cousins « île de France » puis « hilh de pute » (aquitains) ?

… qui se joue aux Beaux-arts, aux portes de la ville, où les complices (apprentis-artistes et mandarins) remettent en question l’élection d’une Sonia Criton en invoquant 2 objections pas piquées des hannetons (*)?
  • Le manque d’ambition lié à cette candidature (visiblement, la lettre de motivation de Sonia ne devait pas être tip-top, tsé, là où on doit se trouver des excuses pour parler de son projet personnel qu’on a, comment qu’on voit le job qu’on nous demande, tout ça quoi, tsé ?
    En revanche, le salaire demandé semblait parfaitement convenir à Ducassou, encore vert de la calculette, bien qu’à la retraite, et qui a toujours été plus sensible à l’aspect pécuniaire de la chose de l’art qu’à l’art elle-même, ce faisan …)
  • L’article 11 des accords de Bologne (**), et c’est là que nous rejoignons de concert le chœur monotone des socialooses ennuyeux avec cet espèce de concept archi-fumeux, quasi-gazeux (***), de l’ordre de l’Ecureuil suprême des Laurentides ou carrément de l’Ecureuil céleste du Tabernacle mordoré du Rouleau de Printemps, qui affirme, sans bafouiller, raide comme un écureuil prêt à bondir à l’export, en France :




(*) genre de lucanes. non retenus au grand casting de l’invasion de Liburne DC au début du XXIème, certains trouvèrent un poste à la Bataille de Castillon, d’autres au père noël de la Poste, tous les autres moururent dans d’atroces souffrances.

(**) Wiki says to me :
Le processus de Bologne est un processus de rapprochement des systèmes d'enseignement supérieur européens amorcé en 1999 et qui a conduit à la création en 2010 de l'Espace européen de l'enseignement supérieur …
I translate for the rest of the people in the world :
Sur le modèle des problèmes de trains qui se croisent et plus si affinité : En 11 ans, le gang de Bologne a réussi à monter une commission. Combien faudra t’il (aux spaghettis boloniaises) pour prendre une décision sur la Controverse des Beaux Arts de Bordeaux ?
Vous avez 2h avant que je ramasse les copies.

(***) C’est tellement fumeux que je journaliste-félon (d’après mes informateurs de la Bodega de Pessac) de service chez Rue89 confond l’article 11 des accords de Bologne et l’article 11 des statuts de l’école. Putain … ils sont cons, ces artistes !
rue89bordeaux.com/2014/03/nomination-contestee-de-la-directrice-de-lecole-des-beaux-arts-de-bordeaux/


Josictionnaire : abréviations utilisées, lexique, terminologie, bons mots de niveau dictionnaire
Afin de faciliter la lecture de ce blog (aux plus démunis en matière de neurones, et jah sait qu’ils sont nombreux – oui, en fait, je vous ai pas dit, je suis devenu rastafari dernièrement du fait de certaines complications avec le 1er et le 3ème temps) et à la demande générale (2 personnes, quand même ! Sly Dunbar & Robbie Shakespeare, 2 nouveaux fans depuis ma conversion à Haïlé Sélassié Ier), j’introduis, à l’occasion de cette nouvelle saison en vachery (un genre de winery en odorama, si vous préférez), un petit josictionnaire cosy afin d’y ranger ses cochonneries.

Prêt à fourrer [à sec {fac.}, bien profond {fac.}] : Se dit d’un principe, d’un objectif ou d’une méthode revendiqués par tous, quel que soit leur place sur l’échiquier politique ou le pré, de Bakounine à Morano, de Raspoutine à José Anigo.
Exemples : Les pratiques amateurs, le développement durable, la co-construction.

Anecdote croustillante #1: té au sujet de cette histoire de reggaer en toutes occasions, lors de la promenade en bord de Garonne, avec les filles et leur mère, hier après-midi, quelle n’a pas été la poilade ainsi obtenue quand un jeune cayra avec 2 clébards s’est amené par le côté et a rappelé à l’ordre un des canidayras (clebs de cayra) de la sorte : « hé bob marley, arrive, là ! ».

Bootleg
Je vous avais conté l’inconséquence de ces Bootlegs qui s’était mis à dos cette vermine de Police Municipoil qui pullule en ville (et c’est pas fini ! avec le triomphe de jujube, surclassant de bien chancelants socialooses, le cul entre 22 chaises …), toujours par 8 nos municipoils, à fureter, à chercher la petite bête, la bête à 8 dos, bête comme un escargot mais qu’il ne faut jamais, oh grand jamais se mettre à dos. Attention ! Quelle coquille, enfin, boutelègues !
Sur l’autre main (traduction intégrale de On the other hand qui veut dire d’autre part, il me semble ?), Aymeric (de Monségur de Bordoroques) est vénère contre le Bootleg qui lui a fait un enfant dans le dos, en faisant sauter une date à laquelle il tenait beaucoup (du fait de la fermeture administrative … il auraient pu prévenir, quand même, ces fumiers, dit-il vertement !). Aymeric est également vénère contre le Café Pompier qui ne lui aurait pas accepté cette soirée SDF (qui finira par s’échouer aux bassins à flots, au H36, aux portes de Boboland), en compensation de services rendus. Aymeric est fâché depuis toujours contre les 2 hippopotames (mon 1er est un mouvement global afro-américain de la fin du XXème incluant danse, musique, arts plastiques et délinquance, mon 2ème vient en ami, mon 3ème est le coloc de l’esprit, mon tout est un gascon indécrottable qui s’empara, de haute lutte, intestine voir sphincterrienne, d’un bastion municipal imprenable à la fin du XXème), ces hippopotames, alain star de celui du zoo de Pessac, eurent gain de cause in fine et se prélassent désormais dans leur luxueuse Smack de ville (genre de datcha bordelaise pour vieux grognard de l’éducation populaire !).
Attention Aymeric, bientôt, il ne te restera plus que le D’nS (http://www.diner-et-spectacle.fr) ou la Coupole Saint-Loubès (www.lacoupole.org) pour accueillir la lente agonie du rock jusqu’à son terme (St-Loubès ou Pétaouchnok en Verdelais, donc !).


Concernant le Bootleg (puisque c’est quaaaaaaaaand-même le sujet de cet article-dépêche), notons que les Rohan avaient fermé l’établissement bien avant les résultats des municipales … c’est vous dire à quel point ils s’en branlent de la tribu R&R de Bordeaux et probablement de la tribu toute entière Culture, entrejambes et microcosmes st-michelois et environs.
Fermeture administrative visiblement assortie de l’assentiment mou du Maréchal Feltesse, un brin détaché de tout, et de son apôtre Chevance (cf chaise n°19 pour plus de détail, y’en a un peu sur la n°7 également) qui avaient imaginé comme argument massue de campagne pour tordre définitivement la queue panachée majestueuse de jujube, l’écureuil bourgmestre de bordame, de lancer une patrouille joyeuse et badine de polices municipales relookés djeuns, à la rencontre des formidables lieux de distraction bordelais, afin de leur signifier de fermer définitivement leur établissement épatant car il embarrasse quelque voisin, électeur de longue date et ami de toutes les luttes.

En conséquent, les Bootlegs, pour essayer de corrompre les munisipeu, ils ont créé un nouvel impôt, dis donc ! décrié par ici, dis donc … http://www.jetenculetherese.net/culture/financement-participatif-fout-en-boule par le nouvel ami de jon smith qui a pas sa langue dans sa poche, non plus, en bon écureuil écumant qu’il est aussi, probablement.

Chevance rebondit.
Comme déjà évoqué partout, dans tous les bon kiosques (et haras !), Chevance avait donc choisi le mauvais Cheval.
Feltesse. Un arrière petit-fils d’un vague Maréchal-Ferrant de Blanquefort qui n’avait pas anticipé l’arrivée du Cheval-vapeur jusque les recoins(-coins) de la Palud, infestée de moustiques et de chanteur beuglant à venir qui pollueraient tous les radio-crochets et autre karaokés pendant les siècles qui suivraient et qui feraient que nous sommes la risée de la planète en matière de groover sa race, comme l’a si bien croqué (comme toujours !) Soulcié dans Telerama, le journal culturel truffé de Pigasse.

Son père, peu dégourdi également (probablement un problème génétique, assez courant dans ces territoires isolés aka ces trous du cul du monde, où la consanguinité est assez élevé, comme le soulignait si justement les supporters du virage Auteuil), avait déjà refusé la main tendue par le Général Pistolette qui allait faire main basse sur le trésor des Rohan et se mettre à l’abri du besoin jusqu’à une autre réplique d’Evento, dans une autre métropole dirigée par un écureuil formé à Montréal.
Souvenez-vous …
… le récit de l’hallali des troupes du Général Pistolette, encerclées dans la Palud, relaté dans Mon Evento 2011 page 57 (http://1drv.ms/1ji5BIA), par notre envoyé spécial sur le front, Terrain Hostile qui obtint, sans coup férir et à plates coutures, le prix Paul-Loup Sulitzer sur cette relation impeccable.


Mais … revenons à nos moutons, Chevance, puisqu’il s’agit bel et bien de lui.
Chevance, Chevance outragé ! Chevance brisé ! Chevance martyrisé ! mais Chevance libéré !
Tel le Général, pris de court par la Blitzkrieg pop, Chevance lança son appel au peuple interdit qui ne voulait se résoudre à être dirigé par un écureuil, fût-il géant, fût-il formé dans les meilleures écoles montréalaises !
Depuis, tous les soirs, je colle mon oreille, transi, au transistor, réglé sur les grandes ondes (GO pour les jeunes qui ont pas découvert Bernard Lenoir en GO, PO c’était plus les petites ondes pour ceux qui avaient découvert, un jour, les Grosses têtes au mitan des 30 glorieuses et voulaient garder jalousement à eux, leur jardin secret de bonne humeur communicative …).

Rebondir ... toujours … feltesse en chevance ... de feltance à chevesse ... par chance ou faiblesse … laisse, va, c’est du Auchan … est-ce le chevet de la danse ? une volte fesse de malchance ?
Rebondir.

Oh, Marie-laure, comme je me languis de toi, tu sais ?

Garanti 100% fiel … Gelée Royale bio* pure Label AB Ecocert France garantie d'une pure qualité à la norme aryenne, à la mode de camp.

Depuis que Marie-Laure m’a rayé de ses amis comme un malpropre, ma page facebook ressemble à une de ces nappes de cuisine de l’entre 2 mers, où plus un faisan, plus un ortolan, plus un piballe ne vient xiradakisser les visages enthousiastes des convives, toujours plus nombreux, du fait de ma truculence exacerbée …
S’il vous plait, parlez-lui, essayez de la ramener à la raison. Il faut qu’elle me revienne !
Toi, par exemple, Gilles-Christian, qui a lu 3 fois consécutivement la carapace de la tortue (ou la tortue de caracas, chépu), tu dois bien avoir levé une partie du voile qui entoure cette personnalité complexe et sensible, qui se froisse au moindre zéphir dans les couloirs oblongs et mordorés du Palais Rohan millénaire et qui représente si bien, à elle seule, cette majorité ultra-majoritaire (61%) qui peuple nos admirables coteaux de bordeaux (aka les blaireaux).
Et Sarah, Sarah, merde, quelqu’un sait pourquoi elle s’est fait lourder, malgré un engagement corporate de groupie parfaite, un physique avantageux et un niveau de réflexion conforme aux usages en vigueur à Rohan. Elle est pas assez bonne, peut-être ?
Par contre, je me suis assez bien remis de la perte d’autres amis, comme les fanfarons Urbs et l’autre Grand Mandarom de St Médard en jalles de mes roustons, à patauger dans sa mare.
Té d’ailleurs, en parlant de patauger dans sa mare, le Grand Mandarom, il va pas avoir un peu chaud au cul, là, avec sa certification socialoose 100% copinage garanti, avec la fin des 31 ans de détachement de Serge Lamaison, l’inspecteur principal de France Telecom, qui va devoir maintenant revenir au SNAT, rue Lecoq, finir le boulot sur la 14A. Ses anciens collègues remerciant !
Le nouveau bourgmestre ne va t’il pas virer, à grands coups de pied au cul, tous ces suce-boules de 30 ans, dont ce Grand Mandarom sédentaire, dans sa mare, qu’ils aillent prêcher ailleurs leur balivernes et autres cochonneries ?
A suivre …

Les écureuils de montréal / Je ne mangerai plus de cerises en hiver...  / la carapace de la tortue

Je ne mangerai plus de cerises par la queue …
La queue de l’écureuil m’indique un retour à Montréal …
Montréal a des igloos aux allures de carapaces …
A caracas, on s’habille léger et on parle en tortue …
La tordue à la com m’a mordu aux parties.

Je ne mangerai plus ces carapaces d’hiver aux allures de moonboots …
Mes moonboots seront cerise ou ne seront pas …
Mes pas me ramèneront un jour au Parc Lafontaine …
Lafontaine a fait fortune, disant des choses comme ça, que la tortue nie Jah …
Jah mangeait volontiers le pissenlit par les racines …
Racine avait déjà à l’esprit, des lois …
Spirit n’avait pas encore été déclaré tripard.

Lui se contentait d’observer à travers les feuillus ...
Les circonvolutions de ces petits rongeurs.
Je ne mangerai plus de cerises, je mangerai des racines.
Je ne mangerai plus de cerises, je mangerai des racines.
Je ne mangerai plus de cerises, je mangerai des racines,
Au Parc Lafontaine …
Avec mes amis de toujours, les grands écureuils …
Et leur carapace d’homme d’état …

Niel

Rien.
Beh en fait, faut me comprendre, aussi, c'est-à-dire que je suis présentement sur le point d’obtenir un contrat juteux avec LibéChartrongZ (avant qu’ils ne mettent la clé sous la porte, donc ça joue …) : je dois récupérer le poste vacant depuis 2010 de correspondant Bordeaux contre une rémunération, hors parachute doré, de 4800 euros HT mensuel (pendant 10 ans, même au-delà de la banqueroute inéluctable !) et ce pour 2 brèves de 40 mots / mois. Mon employeur et grand ami ayant récemment pris parti pour les 2 fum bienfaiteurs de l’humanité durable et ses co-constructions dont les fondations s’enfoncent bien profond à l’arrière de votre personne (cf josictionnaire pour plus de détails techniques sur l’opération d’enfoncement de la colonne de soutènement, dans un mouvement de va et vient sécurisé) …
je me dois, en conséquence, pour ne pas être taxé d’anti-corporate par mon nouvel employeur (et ami), de trouver 1000 et 1 vertus à cette admirable entreprise désintéressée, adoubée par tous, dans un concert de louanges sold-out et de klaxons conforme agISOn 1977.
Juste un dernier détail à régler : cette journaliste là, cette Coralie Schaub, cette pimbêche, qui a pondu cet article-dépêche pour piballes et autres formes humaines non abouties, j’ai signé un contrat sur elle avec ce yakuza, là, qui a le vent en poupe en ce moment, dont parle même, Antoine de Baecke, le Grand, le Bon, le Notre (pas l’autre là, le Antoine de Baecque, le Surfait, le Leur, qui, de par sa suffisance insupportable, a causé, à lui seul, la faillite du fleuron de la presse soixanthuitarde et l’inéluctable recours au naming qui fait que vous devrez désormais appeler le fleuron, non plus Libé mais bel et bien LibéChartrongZ !) …


Bon, j’ai pas réussi à trouver les 1000 1ères vertus supposées de nos 2 champions de Boboland.
Je pense, par contre, avoir trouvé la 1001ème : Philippe Barré, qui a manifestement encore de la caillasse et un sens aigu du territoire, aurait sauvé Alriq, 1 des seuls commerces digne d’intérêt de l’arrive droite (copyright © GC Réthoré 2014).
Rendons à ces arrhes ce qui est à Bobo 1er.

Aqui !

Rien.
Non, là, je vois pas, non … vraiment … vraiment … rien.
J’ai bien lu attentivement les 2 ou 3 dernières newsletters et, même en furetant derrière les moustaches de Aubert, rien, queud, peau d’zobi. Un peu de loup de nez, ça et là, qui aura séché mais rien qui vaille la couverture de ce blog de haute tenue.
hum, hum … en revanche, maintenant que j’y pense, ça m’a permis tout de même de constater un truc … il a bien une tête de Aubert, Aubert.
M’étonnerait pas qu’il chante la Bombe Humaine, le matin sous sa douche …

Té, au fait, j’y pense … ils seraient pas un peu cousins avec les Leclerc, les Aubert ?


Lit et Mixe !

Ah oui, je vous l’avais pas dit : mon projet pour la retraite c’est de savoir (enfin !) mixer avant que de calancher dans un dernier couac (ça me sera peut-être utile dans l’underground, sait-on jamais ?).
Attention, j’ai pas dit faire le DJ, faire le mariolle aux platines, le Disc-Jockey comme on disait, à mon époque, avec condescendance, le mec qui pousse les disques, que personne ne regarde.
Par un tour de manivelle ou de mange-disque ou plus probablement de magie vaudou, l’utilité d’hier est devenu vedette des plateaux, appelés dancing floor.
Payé plus cher que le gonze qui fait les disques qu’il pousse au bout de la nuit !
J’attend toujours le sociologue qui m’expliquera cette embrouille avec un grand M ! ainsi que 2, 3 autres bizarreries …

Bon, faisons fi de ces jean-foutre de DJ (et jah sait que j’en connais), et intéressons-nous à un vrai métier bien de chez nous, à la jean-pierre pernod, un artisanat digne du 13h dans son atelier au fond de la cour où aiment à pisser les dromadaires, au sortir du désert, au fond, à droite.
Et revenons également au seul acteur vraiment digne d’intérêt en ce début de siècle, Moi.
Dans le cadre de la préparation à cette formation continue, j’alpague régulièrement quelques-uns de ces drôles de petits êtres mystérieux qui possède ce savoir rare, mystique et j’essaie tant bien que mal de m’élever à leur niveau de conscience en leur posant, l’air de rien, des questions qui ne leur sembleraient pas trop idiotes.

Pendant ce temps-là, Stef gilet mixait jach ernest, qu’il avait décidé d’habiller, matin, d’une touche de pop radicale …

Ma 1ère rencontre avec un de ces rencontres du 3ème type (un peu lourd mais bon, ça passe), fut avec un certain Jacques Tocah de Baurech, esclave émancipé, à la basse, de Bernard Lubat.
Afin de se relancer dans la vie (se réinsérer comme on dit maintenant), après cette séquestration insoutenable (surtout musicalement parlant), Jacques avait investi dans un genre de home studio, comme on disait, à cette époque dramatique qui vit le midi sonner à sa porte, avec tous ses sons disgracieux, surtout pour les fainéants ou les moins talentueux, comme nous, visiblement, puisque apparemment certains moins glands que d’autres (*) firent des New Order, des Chrome ou des Tuxedomoon qui sonnait quand-même pas trop mal, malgré le démon de midi numérique.
Mais, par contre, y avait les autres aussi, tous les autres, nous, les tocards, eu non, les Tocah qui te faisait de la merde comme s’il en pleuvait. A tour de bras.
(*) cover de mozz en français : certains sont moins glands que d’autres, certains sont moins glands que d’autres, certains, lozère, sont moins glands que certains autres, oh, lozère !

Quelques années plus tard, à la faveur d’une reformation des Caca’s, rebaptisés Microfilmures, pour faire plus t’en danses ?, nous croisâmes (à St-Pierre des Corps, oui, exactement, vers Poitiers, c’est ça !) un Nicolas Barillot.
Le seul, à ce jour, à avoir un tant soi peu expliqué son tour de main. Avec ce concept d’égalisation soustractive qui me semble, aujourd’hui encore judicieuse.
Par contre, cette manie de savoir exactement à quelle hauteur hertzienne se trouvait un parasite sonore s’avéra très vite désobligeante pour les incapables.
« Là, y’a une saturation à 248 (*) Htz, tu vois ? ».
(*) petite astuce mnémotechnique pour retrouver de manière infaillible le n° de chaine de TV7 sur l’ADSL Orange, Bastien, Benjamin, … putain, ouais !

Pendant ce temps-là, à 2 pâtés Lou Gascoun de maison, Stef gilet mixait Jaromil Sabor. Soudain, il s’était levé promptement de son pupitre et avait déclaré à la factrice, bizarrement présente dans la pièce : « ce Jaromil, Madame, et si je l’habillais de pop radicale pour aller chercher le pain, qu’en dites-vous ? ».


Un autre soir au Château Barbey, je tombe pas sur ce mec-là, comment il s’appelle déjà, le batteur avec qui on avait fait une répète, là … il me semble, c’était au … comment ça s’appelait déjà ce truc-là, rue de Candale (ou rue du Mirail), le tronçon de rue entre les 2, ouais, le truc là, qui a pas duré longtemps, là, ouais le mec, là, il avait monté un truc là, comment ça s’appelait déjà ? le Studio Mobile, c’est pas ça ?
Donc, ce mec là, assez renfrogné, en fait, Hugues Renfrogné, ça lui irait pas mal comme blaze, en fait, Hugues, pour le côté, on s’en rappelle jamais et Renfrogné pour le côté renfrogné, quoi, tu vois ?
Alors je m’approche pour discuter, je lui rappelle cette répète, il me dit que ma tronche ne lui est pas inconnue, il me demande si je m’appelle pas Hugues ? on sympathise, donc.
Et là, j’essaie une question technique, sur les fréquences, tout ça, l’endroit exact dans le spectre où ça merde …
Et là, il me dit : « euh … de quoi ? ».
Il devait pas écouter … ou alors j’ai mal articulé.
Ça aussi, c’est important en mix, l’articulation.

Pendant ce temps-là, de retour d’un stage Brushing et compression numérique, Stef gilet s’était remis, sans delay, à son atelier où il mixait un de ces innombrables anges crâneurs qui pullulent maintenant à St-Mich. Celui-ci avait une demi-molle … mais non … avait pondu un morceau en mi bémol, voilà ! Mi bémol se dit soudain Gilet, se dégageant prestement de son casque sèche-cheveux, il s’écria : et si ce Nunna daul isunyi et son crâne en gel (il lui avait mis du gel entre-temps pour une meilleure tenue de sa coiffe), je lui faisais une coupe Pop radicale au lieu de couper les cheveux en 4 (mesures, ou 3 si l’on veut suivre la dernière t’en danse ? avec l’arrivée au pupitre d’un certain Valls) !

Et puis, donc, dernièrement, un soir-là, au concert des Hot Flowers, à l’Inglorious Bastard, le seul bar qu’il m’ait été donné de connaître, par bonheur !, qui fait des concerts punk avec un seul fût de bière, ah les cons, vous z’êtes pas un peu coupé de rageous gratoons, vous autres ?, je croise le Maitre, Gilet, con !
Après les 2, 3 plaisanteries d’usage pour faire cool, je lui demande, en prise directe, un tuyau (multipaire) afin que mon propre mix soit moins fade et que mes invités repartent enfin de chez moi en se pourléchant les babines.
Que me répondit pas l’érudit, faisant soudain son mystérieux ?
Qu’il avait été, naguère, convié par un spécialiste basco-béarnais à venir dé-construire (c’est comme co-construire mais moins profond) l’enseignement néo-classique du mix basque. Qu’en conséquence, il s’était attiré l’inimitié de tous les mixeurs basques qui voulaient lui mettre un contrat dessus (je connais un yakuza pas cher si vous voulez, les gars ?). Qu’il n’avait dû son salut qu’à l’intervention de ses disciples enthousiastes qui tordirent le cou de ces rétrogrades mixeurs basques qui, par dépit, créèrent le rock basque qui comme L’essentiel des spectacles (en Gironde) ne présentent aucun intérêt donc est toujours vigoureux et en exercice. Alors que, par exemple, au concert de Traams, hier soir, y’avait péniblement une 100aine de pelés.
Et donc, le Maitre rentra, fourbu, à l’atelier, où un groupe de Pop radicale l’attendait de pied (de Charley) ferme.

La guerre du gratuit culturel Délices / Junkpage

Après le fabuleux comparatif Pure Players de Bordeaux … souvenez-vous … https://www.facebook.com/OdetteEstJosette/posts/10152260606929288?stream_ref=5
Tentons de garder l’avantage autour des agendas et autres gratuits culturels …

Le 1er jour, Dieu (François Renou) créa Clubs et concerts !
Le 2ème, Dieu créa un avatar à Lutèce sous le nom de LYLO (Les Yeux Les Oreilles). Mais Dieu, dans sa grande mansuétude, resté un chouïa gavé DIY, comme on disait jadis à bordame, avait omis de déposer le concept à l’INPI qui lui échappa alors quelque peu. Partout, on fit des agendas concert comme on fit des petits pains (comme on fit, plus tard, des Smacks) et inévitablement, tout ce tintamarre qu’on baptisera, par pudeur AGISON, Musique Actuelle, attira de ces petits êtres mal intentionnés dotés de Rollex avant même que d’être quadra, non pas les ingénieurs du son comme nous l’étudierons plus bas (ou plus haut, je sais plus ?) mais bien les publicitaires, ces fumiers.
Ainsi naquit, hors intervention divine, la régie Public !, rue Buhan, dans le quartier des affaires (louches) avec à sa tête Cristian (tiens tiens … un peu divin quand-même, sans le h, mais pourquoi cette absence de hache ?) Tripard et José Darroquy, son chargé de mission permanent au Chabi, dans le Bled (IVème arrondissement de Bordeaux).
Du coup, attiré par le sang et le pouvoir, j’ai fait une recherche sur l’in-terre nette, sur cette régie Public ! Balpeau, dis donc ! plus rien, ça existe plus, la régie Public ?
Y’a bien un truc qui sent sa fumisterie à 100 lieues à la ronde, Mediaculture, ça s’appelle ! visiblement un truc pour piquer la place de mandarom de l’autre mescoinques apatride, depuis que congédié de sa mare, sa jalles pour être plus précis, à st-médard en jalles, tombé en uèmepétude.
Bon passons sur les early 90’s, je sais pas trop ce qui s’est passé (à voir avec gwardeath, il doit savoir, lui, ou pedro peut-être …).
Donc, on arrive la gueule enfarinée au 1er de l’an 2000, le bug, 37 ans, l’horreur (le truc qui me semblait si lointain, quand j’avais 14 ans, à carcans-plage …).
Bref, resaisissons-nous.
Entre temps, le 10421ème jour (nous sommes en 1997), était né un ovni de la presse indé, L’Essentiel des spectacles (en Gironde), un journal sans intérêt et également sans lecteur, qui, alain star de ce restau chinois de l’avenue thiers, n’a manifestement aucun client. En revanche, l’ovni va tranquillement sur son 20ème anniversaire. Avec un modèle économique original probablement basé sur un blanchiment de quelque chose. Pour un artisanat dont l’objet est plutôt de noircir des pages, cela mérite quelques éclaircissements …
Je vais de ce pas chez un voisin, pigiste de ce clandé euh … indé, je veux dire, je vais essayer de lui faire cracher le morceau, entre 2 bouclages.
Je vous ferai un retour sans fautes.
Dans les early 00’s, le rythme d’apparition de ces canards s’ascélérat concomitamment avec la réduction de la durée de vie de ce palmipède dont on fit des magrez et des centres culturels privés.

Les 10 derniers canards boiteux en accéléré, j’en ai un peu marre de ce post entamé, il y a 15 jours environ …
Happen ! http://www.happen.fr/articles/expositions-/-performances/happy-kulture-fait-prendre-l-air-7664.html
Le 23566ème jour, le gardien de but mythique du FC Rouge, Jonathan Hénault, du fin fond de sa surface de réparation, créait Happen ! 2, 3 numéros papier plus tard, il se lançait dans les quizz musicaux puis dans l’édition.
Je viens de découvrir, interdit, que Jonathan intervient également dans l’Essentiel des spectacles en Gironde ! En effet mon voisin pigiste, jean-lui ou jean-l’huile pour ma fille Angèle, a laissé dans MA boite aux lettres, à l’attention de MA moitié (afin qu’elle le lise) 2 exemplaires de son Essentiel à (Jean-)lui (qui a failli finir avec les pubs à la poubelle mais que j’ai sauvé d’une pubellisation certaine, au dernier moment, mais ça, vous vous en foutez peut-être ?) .
Par contre, le père Jonathan, à mon avis, il doit se faire raquer, lui !
Pas clair cette histoire !
Bon, je repars, de ce pas, chez mon voisin pigiste, Jean-l’huile, je vais essayer de lui faire cracher le morceau, entre 2 bouclages. et de mettre un peu d'(Jean-l')huile sur le feu.

Alors, après, dans le désordre, t’as eu Muzzart, un copain aux Minuscule Hey, si je me souviens bien ? qu’est-ce qu’ils deviennent les Minuscule Hey ? école normale ou bien ils ont fait un petit ?
Spirit! Donc ! THE! Best american newspaper !
Bordeaux Concerts, concept d’agenda écran ( ?), à fourguer dans les commerces, dont j’ai jamais compris comment ça pouvait marcher un truc aussi alambiqué et qui marche donc du feu de Dieu (François Renou). Avec Bardou jacquet, en front, au commerce et qui table sur de grosses rentrées de brouzouf. Et dima aussi en back office ! comme au temps d’aerofiotes et déjà avant dans  sommaire facto riz, ouh la la …
Leitmotiv, on s’en fout.
Hélène En Goguette, pas le temps de glander avec cette Hélène. J’aime pas les Hélène en général. Trop connoté ChratrongZ ou, au pire, rue du Tondu.

Etes-vous plutôt Fabien Robert ou plutôt Brie-Comte-Robert ?

Nous sommes allé à la rencontre de notre nouvel adjoint à la culture afin de mieux appréhender son univers et son imaginaire d’artiste malgré (ou grâce à) sa tête bien faite …

Votre chanteur préféré ?
1)  Marcel Amont
2)  Serge La(Palud-)ma
3)  Sacha Distel
4)  Herbert Léonard

Votre muse s’intitule ?
1)  Marie-Laure Hubert-Nasser
2)  Chantal Nobel

Fourreriez-vous plutôt ?
1)  Une Riot grrrlzzz
2)  Une Coco-girl

Pensez-vous que les quenelles …
1)  C’est bon pour les bougnoules !
2)  D’autres catégories de sous-hommes (les femmes) peuvent se les réapproprier (http://www.youtube.com/watch?v=kAQB70Umd8k).

A qui doit-on : «Quand on lui marche sur les pieds, le serpent hausse les épaules.» ?
1)  Stéphane Collaro
2)  Bobo 1er
3)  Thibaud Giresse

Par ailleurs, ceux qui pensent que :
  • Le Philippe Couderc qui faisait les dessins satiriques au Petit Rapporteur est le même que celui du 12 Place de la Victoire et de la FEPIA,
  • Pierre Bonte avait déjà 80 ans au moment des faits, monsieur le juge dernier, et qu’il est l’auteur des crimes non élucidés suivants :

19.02.1980
Mulhouse
Claude Madru
11 coups de couteau + frappé avec un crucifix de fer. Tête recouvert d’un drap blanc
17.10 1983
Mulhouse
Daniel Decker – 43 ans
Visage couvert d'une chemise ensanglantée. tué à coups de fer à repasser et étranglé avec le fil de ce fer.
28.01.1987
Mulhouse
Jean Pierre Mougel – 39 ans
Frappé au visage et à l’arrière du crâne
02.08.1988
Velleminfroy près de Lure (Haute Saône)
Pierre Dadier - 54 ans
31 coups de couteau
18.04.1990
Mulhouse
Amor Delhas – 58 ans
8 coups de couteau
15.04.1991
Colmar
Christophe Michel – 20 ans
27 coups de couteau dont 15 à la gorge. Git torse nu sur le lit. Sang épongé
28.05.1991
Sochaux
Didier Sol – 25 ans
53 coups de couteau dont 37 à la gorge. git torse nu sur le lit. sang épongé
09.02.1992
Brunstatt
Eugène Fohrer – 62 ans
Coups de chandelier à la tête
27.09.1992
Rixheim
Ahmed Zerradi – 57 ans
Coups de pierre à la tête
30.01.1993
Mulhouse
Joelle Schneider – 46 ans
Coups de marteau à la tête
10.06.1993
Strasbourg
Robert Kessler – 62 ans
 
05.07.1994
Territoire de Belfort (bois à Essert)
Stéphane Dieterich -  24 ans
11 coups de couteau. Corps partiellement nu.
13.06.1995
Riedisheim (Haut Rhin)
Henri Figenwald
Tête fracassée par une statuette. Gant enfoncé dans la bouche.
16.01.2000
Mulhouse
Michel Michaudet – 66 ans
Importantes blessures au visage. Retrouvé nu dans la cuisine.
23.03.2000
Besançon
Frédéric Rapin – 46 ans
 
Xxx
Région Parisienne
3 autres crimes commis
Même mode opératoire

… sont priés d’aller se faire enculer, sur le champ !

Pour mieux cerner encore l’imaginaire de Fabien Brie-Comte-Robert :

Etes-vous bien (LE) Fabien Robert (envisagé de par le prisme (turgescent)) de Manuel Valls, le 1er Ministre de la France(, ou bien son exact contraire, vu par le prisme d’une entrée (cochère) dérobée) ?

Nous sommes allé à la rencontre de notre nouvel adjoint à la culture afin de mieux appréhender son engagement politique de par le prisme d’une rencontre croisée (à St Pierre des Corps, en fusion), (ino)pin(é)e, avec le nouveau 1er ministre, visiblement enthousiaste !

Manuel Valls, 1er Minsistre de la France :
« Je revois, à travers le jeune Fabien Robert découvrant, ébahi, la sphère politique, le jeune Manuel Valls, arrivant sur son potiok, avec son poncho et son sombrero et croisant, par hasard, François Mitt’rand, qui marchait sur le Panthéon, sa rose, son pantalon donc et (surtout) une armée de suce-boules derrière, qui prenaient toute la route au lieu de laisser passer les cyclistes et les potiokistes comme il fût de bon ton, sous Bobo 1er, à grands coups de pied au cul.
Tout ce que je sais (ou qu’on me rapporte à Matignon) de son jeune parcours me semble excellent …
Si ce n’est peut-être, malgré tout le respect que je lui porte, ça et là, me semble t’il quelques petites zones d’ombre dans son cv …

En effet, comment, avec une simple licence de Sciences Eco (*) se retrouve t’on chargé de cours à Sciences-Po, 3 ans plus tard ?

(*) extrait du casier judiciaire du prévenu Robert …
·        2004-2005 : Licence de « Sciences Economiques et Sociales » à l’Université Montesquieu – Bordeaux 4.  Mention : A Bien.
·       
·        2008 : Chargé de cours en Sciences Politiques à l’EFAP (Ecole Française des Attachés de Presse et des Métiers de la communication) – Bordeaux.

N’aurait-il pas offert, pour ascélerer son ascension, une entrée cochère dérobée, à l’arrière du Palais ou bien de côté, de ¾, rue Montbazon (NDLR: faudra pas que j’oublie, quand les affaires reprendront, de faire une chanson : « c’est rue Montbazon que j’ai baissé mon pantalon …») à quelque gentilhomme, dans le besoin, après avoir goûté du cachot, un Jean-François à Bordeaux pour avoir estourbi une vieille (souvenez-vous … http://odette33.blogspot.fr/2013/03/actumolle-211303-cest-bordeaux-quon.html), un Jujube à Montréal pour avoir embauché, à tour de bras, aux frais de la princesse, des intermittents … comment ça, c’était pas des intermittents ? ah oui d’accord, des emplois fictifs, oui, si tu veux, , des emplois fictifs, Monsieur joue sur les mots, là ! Oui, d’accord.

Concernant l’entrée dérobée, je verrais bien, par exemple, par là, tu vois, entre les 2 boules en pierre, à l’arrière, dans le jardin à la française et qui représentent Montaigne et Montesquieu en train de faire caca dans le jardin, à l’endroit prévu à cet effet (hé oui, rappelles-toi, pas de latrines, à cette époque, une vraie chierie !) ?

Fabien Robert, Adjoint à la Culture à la Mairie de Bordeaux, Maire du quartier Saint-Michel, Nansouty, Saint-Genès.
« Je me sens assez proche, du point de vue des valeurs, du 1er ministre Manuel Valls. Il a su imposer une personnalité propre au sein de son parti sans tomber dans les poncifs et chausse-trappes que les moins talentueux tombent dedans à tous les coups.
Mais …
malgré tout le respect que je lui porte, il y a quand même, me semble t’il, ça et là, quelques petites zones d’ombre dans son cv …

En effet, comment, avec un simple bachot devient-on attaché
parlementaire (*) ? Hein ?

(*) extrait de casier judiciaire du prévenu Valls …
·        De 1983 à 1986, attaché parlementaire de Robert Chapuis, député de l'Ardèche
·        licence d'histoire à Paris 1 Panthéon-Sorbonne avec mention très bien en 1986

N’aurait-il pas offert, pour dépanner, à charge de revanche, une entrée cochère dérobée et ses 2 appliques aux sphéres parfaites d’hidalgo fier et cambré, à quelque professeur émérite es Sciences-Economie, qui plus tard épousaillerait une présentatrice TV présentant les mêmes avantage, une même courbe d’audience ainsi que 2 lolos accolés de fort bonne taille ?

Story telling

Souvenez-vous les dernières vachettes … et ce pavé de bœuf … La CUB, St-Médard frappées, à leur tour, d’internationalite aigüe, sous le regard troublant de Fabienne Brugère.
Et bien que croyez-vous qu’il advint de ces territoires frappés d’internationalite aigüe ?
Hé beh, il sont passé à droite, con ! tout simplement.

Déjeuner avec Clémence

{tentative un peu loupée de roman photo à l’eau de rose; bon, je vais LA laisser quand-même pour me rappeler de faire mieux au prochain déjeuner avec Clémence ; si vous vous emmerdez, n’hésitez pas à LA sauter.}

Et donc, ce fameux 4/4, jour de mon anniversaire, j’avais posé la journée, non pas du fait de cette incrémentation par pas de 1, mais parce que invité à déjeuner, j’étais, et ce par la plus rédactrice en chef de Junkpage, Clémence, en personne.
Qui voulait me convaincre du bien-fondé de son entreprise.
Car elle me croyait très remonté, dit-elle en préambule, contre ce nouvel agenda qu’elle s’imaginée en gagne-pain (cf étude comparative plus haut, plus près de toi, mon Dieu, François Renou, stp, François , renoue avec le succès et ramène nous vers nos 20 ans ! mais je m’égare …).
Il est vrai que j’avais un peu égratigné Junkpage, ça et là, au début, trouvant un peu fort de café, l’infusiontrusion de ce machin au nom sans queue ni tête dans nos verts pâturages du Bled (IVème arrondissement) et qui succédait, on sait pas trop par quelle embrouille municipoile !, au vénérable Spirit!, le Darroquinissime, que nous aimions tous d’amour véritable. (Nous = Moi en fait, c’est juste une ficelle journalistique un peu relou pour faire accroire à un élan véritable, partagé par tout un peuple, en fait, un peu comme la reverb, voyez ?)
Nous jetâmes notre dévolu (et non pas Nous volâmes vers Judée ce qui n’apporterait pas grand-chose au récit, voire un relent de quenelle, que seule Claire Nadeau sut rendre sympathique, dans l’histoire de cette préparation lyonnaise millénaire, dont raffolait Jean Moulin, lors de ses nombreuses villégiatures dans la Capitale des Gaules), nous jetâmes, donc, notre dévolu sur le New-York,  Qui n’a plus rien à voir avec l’endroit culte qu’il fût et dont seul Philippe Serra se rappelle.
On a pris, tous les 2, un gigot.
Comme souvent, dans ce genre de situation, par couardise, manque d’assaisonnement ou simple oublitude, au moment de formuler 2 ou 3 petits griefs à mon hôte (qui payait pour ça, quand-même !), je ne sus plus exactement ce que je pensais de l’objet de notre rencontre … ni qui j’étais, dans la vraie vie …
C’est comme quand je réfléchis au RAMA, de manière distanciée, le soir, à la pleine lune, et non pas, matin, pour leur faire payer, rubis sur ongle, leur incuri-e et accessoirement trahison du r&r, je me dis : « beh, ouais, pourquoi pas, en fait ? ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine. ».
Et du coup, c’est chiant. On s’emmerde.
Donc on s’est un peu emmerdé un peu, gentiment, en terrasse.
Il pluviotait un peu, il me semble.
Hugo est passé. Avec sa valise quotidienne de flyers à aller jeter à la Garonne (non, j’déconne Hugo !).
Madame Couderc (l’épouse du 12 de la Victoire et/ou celle de l’auteur de dessins satiriques du Petit Rapporteur ?) est passée également. Elle nous a pas calculé, comme d’habitude. Timidité ? Mépris ? Oublitude ? Crise du disque ?
Té, sur la fin, y’a aussi, Jack, Cress Jack, le cow-boy de la rue-désert, qui s’est joint à nous, après avoir rentré les vaches. On s’est tapé une bière en évoquant le Lagunilla, … ah, le Lagunilla … Ernest … Nègre, pas Pascal, l’autre là, David, le Bordelais, l’ancien Président du CIAM, il me semble ? mon négatif, je le crains, qui joue en solo sous la télé pendant un match de foot (tout le monde regardait le match, personne David !) … des nouvelles de David de Begadan … (http://g7animations.jimdo.com/manifestations-en-images/) … Laetitia Sadier, venue également de son médoc, seule public de Brome, venus de Nantes, la digue, la digue …
Fabien Robert sortit du New-York (par une porte dérobée, tiens, tiens …) avec le Coiffeur comme aimât à l’appeler Jack (Jean-Louis David, autre adjoint à Jujube … après recherche, je ne sais pas s’il s’agit du Jean-Louis David, Coiffeur ou d’un homonyme bordelais, Jean-Louis David, également Coiffeur, une histoire de Ouf … une histoire de Tif, faudra pas que j’oublie de faire, un jour, une article-dépêche sur les noms de salons de coiffure, parce qu’alors, là, bonjour !).

Et donc, l’après-midi, c’était Carnaval de Rachel à l’Ecole maternelle Thiers.
J’ai acheté des bonbons crocodile pour pas être taxé de ratanasse par la directrice, Pauline, (très) ravissante et qui aime aussi le r&r, figurez-vous, puisque croisée, non pas à St-Pierre des Corps (entrelacés, hum …), mais bien à l’Abrenat puis à Jacco Gardner au Festival Bordeaux Rock.

A quoi pourrait bien servir le rama ?

Pour ceux, toujours plus nombreux qui me demande continuellement des nouvelles du RAMA, té mange toi ça dans la chetron, fumier, tu vas comprendre le merdier …

Un soir, mû par une envie féroce d’aller voir, downtown, ce qu’il en retournait, je vais à … Barbey … pour le Mozaick challenge, pour soutenir Jach Ernest, que j’aime bien mais qui n’a pas trop la côte dans sa tranche d’âge, chez les tronches en bois de la génération friends, désormais aux manettes de l’industrie musicale.
A un m’ment donné, allant pisser discrètement le long de la baie vitrée vers l’escalier sur main gauche (pour ceux qui chercheraient les chiottes), me voilà pas repéré par le Maitre des lieux, le Saigneur Rouxecoule de Barbey, en personne, sur le Chemin de ronde, derrière ses machicoulis (au bar, quoi !), vociférant, comme à son habitude, à l’adresse de ses gens.
Après les hésitations d’usage entre gens qui ne savent s’il s’agit de lard ou de cochon, nous devisâmes gentiment, comme tous bons croisés (non pas à St-Pierre des Corps ou alors éventuellement, pour vous faire plaisir, à St-Pierre des Ampli double Corps) de la cause éternelle des Musiques Actuelles (on est toujours l’actuel de quelqu’un, pas vrai ?).
« Cher Président, lui dis-je, vous me demandiez, naguère et à brûle-pourpoint, comme toujours !, lors d’un de mes derniers passages en votre Château de Barbey de Guyenne, pour un précedent Mozaick challenge de vos argentiers principaux, quelle pourrait être votre prochain cheval de bataille, pour ce 3ème millénaire, parti sur les chapeaux de Roux ? »
« Mais que voulez-vous donc que nous fîmes, intrépide Chevalier Odette est Josette, rétorqua t’il, quelque peu courRouxé, nous autres gens de peu, gens du RAMA, pour conquérir les cœurs, alain star de notre cousin montréalais Juppé, qui dispose de moyens illimités et d’une véritable stature d’homme d’état, lui !? »

Sur ce, à court d’argument, nous fîmes le tour des popotes, envisageant quelques vacheri-es, nous enquerrant du sort des petites familles respectives, pour finir, comme il se doigt, entre parfaits gentilshommes.
« Ah, au fait, Saigneur de Barbey, votre Enguerrand voulait me provoquer en duel, parait-il ?
Dites lui que je me tiens prêt, je peux même me refaire pousser le catogan (pour ressembler à Guillermo Vilas !), quitte à subir en retour (de service), le supplice du fourbe Gilet (également fan de Jach Ernest mais d’une tranche d’âge, il faut bien l’avouer, légèrement antérieure à la génération friends et son cortège d’insanités !).
J’ai fait réviser, en ce sens, ma raquette et on peut se donner rendez-vous, si ça lui convient, un de ces matins, aux tennis de Dassault, vous savez là, aux hôtels, à Innolin ?

Il est si près de moi, pourtant je ne sais pas comment l’aimer ...

Reste à faire des dernières vachettes

  • Faudra pas que j’oublie un jour de crever les abcès suivants en 2015 : qui a eu le dernier mot : Les GEMA ou les MIRCTA ?
  • Papa, à quoi ça sert Mediacité ?
  • Refaire un truc rigolo sur ce D’NS.
  • Prouver que ce putain de St-Faustin est quadra …
Bon, j’ai quand-même retrouvé la trace de ce putain de St Faustin ! il est cul et chemise ave Bastien, t’imagines ?
Té, mate ça … http://www.kewego.fr/video/f92563505acs.html#iLyROoafYM72
Comme je vous le disais, un sacré personnage !
Pour le reste, j’ai pas trop avancé sur ces dossiers, j’en suis déjà à 24 pages, j’en ai plein le cul, trop de bouleau (j’ai mon réseau social en php/Mysql à finir aussi, vous êtes marrants, vous !), on aura qu’à voir ça aux prochaines vachettes.



Alors, concernant l’addition, j’avais prévu d’acheter le dernier Dick Annegarn pour valider ma bafouille.
Finalement, je lis la chronique de Martial dans C&C et hop ! je me dis, ni une ni deux : « té, je vais acheter le skeud de Chazam plutôt, puisqu’il parle d’amour (un sujet où j’ai encore beaucoup à apprendre) et ce, en français (conforme aux « bonnes pratiques » en vigueur sur ce media très prisé).
Bandcamp / votre chazam / Greetings thierry hosteins! Thank you for purchasing: ORGAN GIFTS, digital album, €8.00 Purchased 18 April 2014 01:12 PM ~ Payment 3499433199 ~ PayPal transaction ID 6YP0601973544942R

Té, pis, finalement, pris de remords vis-à-vis de Dick, je vais l’acheter quand même, Dick, vu chez Taddeï sur un morceau un peu facile, accompagné à la harpe pour compenser, mais avec une choré XXL comme dirait l’autre mescoinques là, Kamel Oualou ou l’autre facho là, Biafrye, non pas Jello, celle de TF1 …
Té, puis tant que j’y étais, j’ai pris le dernier Franck Monnet aussi.
www.totoutard.com Votre transaction a bien été enregistrée 27 Avril 2014 Réf. 140659 Dick Annegarn - Vélo va (cd) 14,99 € Franck Monnet - Waimarama 14,99 Montant 36,92 €

Mais on bavarde, on bavarde et on voit pas le temps passer, … retournons vite à ce facebook d’où nous vînmes, un matin (,un matin, ça ne sert, ça ne sert, à rien, aryen, …) où j’aurais 2, 3 mots à dire à ce Gattaz qui veut tous nous mettre à la rue, qui pour y passer le reste de ses jours, qui pour y manifester son désaccord à la solution qu’il préconise pour retrouver un semblant de compétitivité dans ce pays …
https://www.facebook.com/OdetteEstJosette/posts/10152394404039288?stream_ref=10