chez odette

"Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM." Terrain Hostile.

mercredi 16 juillet 2014

Vachettes d'été 2014



Oooh Antiloooope !

3 Juin 2014, Bus Liane 1 Direction aéroport: je l’ai vue ...


dès l’entrée dans la chicane du Buffalo grill à Cadera nord, ses cornes emmitouflées dans de très jolies moufles bleues cerclées de rouge comme il est d’usage chez ces mammifères ruminants de la famille des bovidés, aux pattes menues et aux cornes longues arquées et qui vivent dans les steppes d'Afrique, d'Asie ou même d'Amérique du Nord [comment on faisait, avant, sans wikipedia ?], la truffe habilement camouflée derrière le nouveau poster des scènes d’été (en police arabisante, en forme de goutte d’eau) par le graphiste virtuose officiel du Conseil Général, Conseil pourtant mis à mal dernièrement par un président aux abois, traqué de toutes parts par les lions affamés qui voudrait le dévorer vivant comme on nous montre à voir dans ces jolies émissions animalières dominicales et familiales comme pas d’eux et qui donnent à apprécier à sa juste valeur la mort dans d’atroces souffrances.
Le souffle coupé par tant de grâce en cet endroit si commun, je m’approchais à pas de loup (clin d’œil au nouveau titre épatant de kebous relatant, à sa manière, un sujet original, la montée du front national, clin d’œil suggéré aux hululements aux loups de Reggiani qui traitait exactement du même sujet et dans les mêmes termes selon un principe dit de copie privée … privée de scrupules, il va sans dire). Entonnant à son tour les lou, hou, houhouhou, soit par l’Taillan, soit par l’Haillan, avec la légéreté légendaire du kebous argenté cendré, ses panzers et ses godillots caractéristiques de ce mouvement chanson réaliste que nous envie la terre entière, redevable.
M’approchant encore, sur ces considérations, je constate, à l’absence de burnes, qu’il ne s’agit pas d’un chevreuil, le gonze (avec sa guitare en bandoulière), comme je l’avais cru benoîtement aux premières saisons de cette proposition allez chante :
« c’est une antilooooooooooooope, la salooooooooooope, con ! » m’écriais-je soudain à l’attention de mes vieux amis de transports en commun qui n’avaient manifestement pas analysé aussi finement le signifiant burné que nous donnait à croquer le CG, en attendant que d’être ligoté et bâillonné sur leur fauteuil de bureau afin de minimiser les gestes inutiles et ces bavardages oh combien dispensables de ceux qu’on est bien obligé d’appeler désormais ses collègues de bureau (de l’occitan « co », ensemble, tous ensemble, … et « lègue » qui vient de « langue » et qui peut s’entendre comme « lécher le cul du directeur » (avec sa langue)).
Afin de produire, in fine, le maximum potentiel, relativement aux bribes de qualité qu’on aura bien voulu nous octroyer et ce mauvais goût dans la bouche probablement dû à une hygiène douteuse du postérieur de ce dernier directeur en activité, si stressé.
« une antilooooooooooooope , une antilooooooooooooope qui galoooooooooooooooooooope sur tout le département et qui nous court même, parfois, à l’occasion, sur le haricot et qui s’arrête aussi des fois pour nous brouter le minou, plus souvent qu’à son tour ! »
La nouveauté cette année, au CG, voyez-vous, c’est qu’ils la revendiquent fièrement, cette belle antilope métisse, qu’ils ont imaginé par hasard, un midi, vers 13h45, au sortir d’un apéro musclado.
« Et si on leur fourguait une antilope avec une guitare en bandoulière, hein ? »
« ça s’est jamais vu ça, une antilope avec une guitare en bandoulière, hein ? ».
« t’imagines, hein, une antilope avec une guitare en bandoulière, hein ? ».
Certes.
Cette belle antilope, telle une sirène aguicheuse, une ouvreuse au guichet, agrémentée d’un corps de bénévole très seyant, comme pour appeler le festivalier à festivaler tout l’été, à recharger les accus à st-denis de pile ou dans le secteur, avant que de reprendre le chemin du travail et retrouver ses collègues, la langue reposée, pour reprendre, ensemble, tous ensemble, l’Œuvre où ils l’avait laissée, un brin coupable, sur la langue.
Au début, ils savaient pas trop si ça allait prendre, les CG, le coup de l’Antilope.
Et puis, à force, à force, comme tous les concepts débiles qui marchent (pourquoi mais pourquoi donc Randy Newman, ce bon vieux Randy, sur Leroy-Merlin, l’enchanteur des bricoleurs de leur solitude ?), cette belle antilope, sortie de nulle part, d’une chicane pour Buffalo grill à Cadera, s’est imposée comme une évidence, au-delà de Mérignaque, elle est même devenue … porteuse de Sens.
Té, en parlant de porter du Sens, je ne saurais trop vous conseiller ce Château Le Sens, à St-Caprais, qui, bien qu’ayant une pochette très quelconque (probablement sous-traitée au graphiste du CG au black pour arrondir ses fins de moi ?), s’avère être d’un très bon rapport qualité/prix.
Un peu comme ce mec là ...
qui ressemble un peu à rien mais qui a vinifié dans les plus prestigieux chais de Canterbury et d'ailleurs … non pas le Sens mais le Beau.
Merci de me faire livrer céans, gens du Château Le Sens, une palette de ce divin breuvage pour maintenir le cap de mon inépuisable inspiration et traquer, sans Relâche (où l’accès aux binouses est un défi au Sens commun), cette antilope aguicheuse, cette antilope allumeuse sur les GR du département.

Chérie, qu’as-tu pensé du dernier rapport ?

« ah, un nouveau rapport, chouette ! je vais en parler aux vachettes d'été voir ce qu'elles en panse. » lançais-je à la cantonade, dans l’espoir de déclencher, comme toujours, l’hilarité de mes nombreux fans sur facebook.
Dès réception, la vachette de garde m’indique :
« Maître, nous allons, sur le champ, selon la méthode en vigueur, nous amuser à extraire de ce précieux rapport uniquement les mots en gras censés nous impressionner, nous les vachettes, pour voir de quoi il retourne, in fine. »
Il en ressort ceci : « Pas de mesures contraignantes / assécher les ressources financières / le droit souple / une liste publique / des injonction de retrait prolongé. ».
Réserver ce 1er résultat intermédiaire.
« Puis, nous allons le comparer avec ce fabuleux rapport initial que vous nous communiquâtes, Maître, naguère ? Pouvez-vous, Maître, s’il vous en sied, nous en remettre copie, céans, sur le champ (où nous ruminons habituellement), séance tenante ? »
« Certes, vachette. Le voici. http://1drv.ms/1qTOoNW. »
En appliquant le même procédé, on obtient ceci : « Contexte / Solution / Modalités techniques. »
Mixez les 2 résultats intermédiaires.
Dégustez.

D’aides, l’os en gelée !

Ça a bien décanillé, là, cette année, au printemps. Intéressons-nous à quelques-unes de ces mises en bière.

Dead Winery
Avant même que d’en comprendre le con cèpe, cette innovante entreprise a tourné au vinaigre.
L’œneuneutourisme qui devait, alain star de sa trisaïeule mémécenah relancer la culture dans nos contrées arriérées (le Médoc), s’est pris les pieds (de vigne !) dans le tapis rouge (vinasse) que ne fouleront plus jamais ces j’en-foutre d’artistes locaux.
Décidemment, le public, cette pourriture noble, ne s’intéresse plus à rien.
Si ce n’est à déambuler comme un con sur les quais avec son pass non remboursable, une main devant, une main derrière, avec 500000 de ses entre-chouanes en pleine fermentation pathétique.

Dead Alriq
Le préfet, ce fumier … non mais sans déconner, à quoi ça sert un préfet, en fait ?
Vous savez, vous ?
A part faire chier le festayre et racketer ce gros con d’automobiliste.
Ils devaient pas faire des économies, là, les autres truffes au gouvernement ?
En voilà une piste à creuser, pour faire des économies, que dis-je une piste ? une tombe, à creuser. Allez, dans le trou, le préfet, avec tous ces jeunes hauts-fonctionnaires désoeuvrés aux basques, venus combattre l’hérétique, le festayre, l’automobiliste, oh moyen, oh riant  

Alors voilà, les préfaits, pour se faire mieux connaître et apprécier du contribuable bordelais, ils ont commencé par fermer les lieux historiques bordelais, le Tube’s à Lescure, la Notte au Taillan-Médoc, le Retro à la Bastoche, la Guinguette du Pacha à Magonty, le Studio 21, rue de Belfort, le Monseigneur (ah merde, le Monseigneur, ça existerait encore, figures toi !), …, un peu comme Clint Eastwood dans l’Homme des hautes plaines quand il fait repeindre, par SES gens, SES dépendances en rouge, pour savoir qui est le chef..
Hé beh, le préfabriquet, c’est la même, c’est un genre de Clint Eastwood au rabet, à la framçaise, on sait pas comment il s’appelle, on sait pas à quoi il sert, il arrive comme ça, il rentre dans ton bureau et il essaie de te faire faire un truc, tu vois, pour savoir qui est le chef.
Comme chez Cegetel en 1999, à la défense, tu vois ?
Alors, après, moi je pense qu’il faut gentiment lui signifier d’aller se faire mettre, au préfabriquetterie du lauraget, mais après, c’est chacun qui voit son midi qui sonne à sa porte, qui, ceint dans son lardeusse de couleur rouge, qui, dans le sien qu’il aura laissé dans sa couleur initiale, beigeasse flore, en hommage au futebol d’avant les évangelistes.
Dernier en date de ces historiques épinglés par ce préfabrice comte-robert, tset ? 2ème du nom, chasseur de primes (sur l’épaule duquel un contrat devrait délicatement se poser, ces jours-ci, de source yakuza sûre, et qui devrait régler définitivement le problème …), Alriq 1er, le 1er des bobo, bizarrement révélé rive droite à portée de canon des chartrongz où l’attendait pourtant le comité d’accueil et sa présidente, Isabelle.
Etablissement Alriq qui serait repris, aux dernières nouvelles (d’Alsace), par la fille de l’autre Alriq, le 1er bobo de la droite complexée, coincé, la main dans le sac, entre l’hippodrome du bouscat et le Garage Pigeon, qui n’a rien à voir avec ce sympathique chanteur des années 80, Jerôme Pigeon, fils du journaliste Gilles Schneider et qui n’avait donc pas besoin de piston automobile comme la Pargade sur l’autre rive. (cette phrase ne veut absolument rien dire et c’est un délice d’été que je vous offre).
Oui par contre, ce que je voulais dire, c’est que chez Pigeon, tu vois, le pigeon, c’est le client !

Dead l’Eté métropolitain
Fin de l’été métropolitain et des refuges bruit du frigo ... http://1drv.ms/1mOM9sX ...
On était donc sur une trajectoire d’été en pente douce qui se finirait par un grand feu de la st-jean des refuges péri-urbains … quand … au dernier moment, …
Jujube, ce con, pour faire son écureuil suprême devant ses groupies à rohan, a décidé de gracier les artistes résignés euh … résiniers qui donnent à voir des cabanes en rondins, construites de leurs mains, à côté d'une rivière où viendraient boire les daims.
Tiens, des daims, maintenant.
Ça serait pas plutôt des antilopes, Bruit du frigo ?

Dead Epicuriales
Je croyais pas vivre assez vieux pour assister à la mort dans d’atroces souffrances de cette enflure d’Epicuriales, imaginée par des commerçantes en chaleur et probablement Starck au fouet, quand je découvrais, jeune con, émerveillé, la caveau à 2 pas …
ou entrais à reculons dans la vie active, je sais plus trop …
En fait, c’est pas si vieux que ça, cette merde, 20 ans à peine (20 ans de peine, 20 ans de pain in the ass comme aurait sûrement surenchéri Moz, qui nous revient, en pleine forme, pétant comme pas 2 !).
Toujours pareil, quand on s’emmerde, c’est vite interminable.
Je pensais fermement que ces épicuriales accompagneraient ma vie active dans sa dernière demeure (un algeco, probablement), mon calvaire comme chante l’Eve Angeli ou le témoin de jéovial, 42 années durant, pour me laisser groggy, sur le carreau, Centre Commercial de Cergy-Pontoise, libéré mais au bout du rouleau de Papiers Peints à prix exceptionnels chez Leroy Merlin !
Hé bien si, ça n’aura duré que 20 ans, cette promotion exceptionnelle, je suis exaucé, loué soit le saigneur de voir enfin crever la charogne, sous les yeux des badauds, amoncelés, aux files d’attente.
Attention, ami bordelais, ne nous enthousiasmons pas trop, quand-même, on annonce, sur nos côtes, l’arrivée d’un nouvel événementiel qui pue du cul … toujours avec Côte Ouest aux manettes. Du culturel cousues mains.
La charogne se nourrit de charogne.
Charogne.

Dead MyGlobalBordeaux
Que dire du trépas d’isa ? Que n’aurait dit le père d’Yzia ?, Dans ce décor paradisiaque, où les barriques roulèrent aux chais, des négriers firent antiquaires (« oh antiquaire » est un peu un équivalent du « oh antilope » dont on parlait à l’instant avec François Synaeghel, de passage à Bordeaux, après une longue traversée du désert et dont on était sans nouvelle de Puy).


Plus précisément, que dire du trépas d’isa, donc, sans encore passer pour un de ces indécrottables fumiers (pas mal, ça, indécrottable fumier. pour qui aime bien l’humour scato, à 16 heures. J’y suis, je dois bien l’avouer, en toute humilité, assez sensible. Même mâtin.) ?
Peut-être qu’une absence trop marquée d’opinion a rendu difficile l’adhésion corps et âme du lecteur, fût-il bobo (à part peut-être dans le milieu interlope des esthéticiennes, limite Grand-Parc, ou des développements durables, sur le Quai des Marques) ?
Mais il s’agit là encore d’une niche, chère Isabelle !
Et tous les experts du marketing direct vous le diront : Point de salut dans les niches. A part peut-être dans le toilettage pour chiens.
MyGbx repartira seule avec son dilemme entier, comme neuf, et si joliment troussé : Comment ne pas paraître henné trop pastel ? Comment ne pas déverser hainé qui vire au fiel ?

Comme on dit plus simplement dans le bled (IVème arrondissement de Bordame) : Comment intéresser ce public de merde qui se branle de tout, mes chouasnes ?

Scouts not Dead
Bon, par contre, ça y est, c’est certain, le dernier homme sur la terre sera 1 scout :

D(r)ead loque Djoliba
Voilà, je suis bien emmerdé, maintenant.
Tous les ans, grâce à Djoliba, figurez-vous, j’avais 2 cadeaux de noël récurrent assurés :
  • mon filleul julien (le fils de pauly, le seul homme sur la terre à avoir joué à la fois dans Parfum de femmes puis dans Stagiaires ! donc, si on se réfère au film sur les quais où s’expliquent le rock des prolos et le rocks des bourges, LE chaînon manquant du rock d’ici) et
  • mon neveu babou, digne représentant du rap clodoaldien, le rap des bourges, donc, aux antipodes (genre d’antilope qui donne à voir sa graciosité naturelle mais, de l’autre côté de la terre) du rap du 9-3.
Donc, si vous connaissez quelqu’un qui serait intéressé pour reprendre cette officine de percussions exotiques, je serai moins emmerdé à l’heure de faire des cadeaux … déjà que c’est pas très naturel, chez moi.

Livré à lui-même, au cœur de la brousse septentrionale, territoriale, hostile, RAMA rencontre une 1ère difficulté …

Nous, ci-devant Odette Est Josette, avons été, ce jour, mandaté (par huissier modèle Rohan 80’s monté sur Sebago, vous vous rappelez ? huissier également accusé de réception de dessous de table XVIIIème pour financer l’UMP et d’extorsion de fonds de vieille des Chartrongz), nous, ci-devant Odette Est Josette, sommes, en conséquence, OFFICIELLEMENT mandatés par le RAMA pour vous annoncer la modification suivante (indépendante de notre volonté, vous en conviendrez) de l’Agenda21 du RAMA, du fait de ce (foutu) redécoupage territorial, peu concerté, de ce gouvernement, pourtant ami de longue date, mais qui n’en fait qu’à sa tête qui ne tient qu’à un fil qui ne répond pas au nom de Collins.
Vous pouvez essayer : Collins … Collins, … voyez, il ne répond pas ! CQFD
Souvenez-vous, cher co-constructeur, nous avions esquissé, à l’occasion des Vachettes d’Hiver (hiver 2012-2013), un 1er canevas de planning prévisionnel, élaboré lors des 5 premières années de la Concertation Territoriale (une trentaine d’atelier, quand-même !).
Le revoici, pour les éternels oublieux, les mêmes qui oublient leurs enfants à la sortie de l’école, plusieurs années durant, en libre-service pour les pédophiles et qui font des marches blanches après pour tenter de rattraper le cou :
  • 2015-2030 : croisement des diagnostics
  • 2030-2045 : identification des scenarii d’amélioration du process
  • 2045-2060 : mise en place pilote sur un des territoires (Les Landes, par exemple, pour fêter les 25 ans de la disparition de Henri Emmanuelli ou pour le 143ème anniversaire d’Olivier Roumat)
  • 2060 : généralisation au territoire Aquitain

Nous sommes donc, nous, RAMA, à notre (double-)corps défendant, dans l’obligation de revoir ce planning, déjà très tendu, vous en conviendrez, pour intégrer cette nouvelle difficulté que les dieux des musiques actuelles aiment à glisser, en fin de balance, sous nos goulettes impeccablement scotchées par nos gaffeurs émérites bien qu’intermittents.
A l’heure où je vous parle, Français, Françaises, les allemands sont à nos portes, ils nous ont évincé de notre Coupe du Monde au Brésil et s’apprêtent à renvoyer les argentins à leur faillite permanente et leur Florent Pagny, dans sa lente Patagonie ponctuée de grognements plus disgracieux les uns que les autres.

Le problème le plus extraordinaire (depuis Agison) qui se pose irrémédiablement à nous, RAMA, est :
  • Peut-on se permettre de modifier uniquement le planning en faisant glisser ça et là les deadlines de quelques dizaines d’années ? ou bien …
  • Doigt-on repartir du tout début, relancer la Concertation Territoriale initiale (débutée en 1926, souvenez-vous, sous Jean Jaurès !) puisque le TERRITOIRE a bel et bien changé !
    … refaire la photo historique dite l’Arbre à Médiateurs (en vente 12 euros dans toutes les Smacks), dans le grand hall du Conseil Régional, souvenez-vous c’était hier …

Nous en sommes là, co-constructeurs de tous poils, et ne manquerons de vous tenir au courant de l’évolution du dossier dans les prochains siècles.
Nous vous prions de nous excuser, encore et encore, c’est que le début, d’accord, d’accord, pour le dérangement.

Ici l’ombre, Les Aquitains-Limousins-Poitevins-Charentais parlent aux Aquitains-Limousins-Poitevins-Charentais.
Ça chie !

T’es où ? Je suis aux Palaaaaaaaaaaaabres. Aaaaaaah, et t’en as pour longtemps ? Chépa.

En fait, j’ai beau réfléchir, j’ai trop rien à dire sur ce machin là, ce process dit Palabre.
Je reste là à tourner la langue dans ma bouche comme 1 con (au délà des 7 fois réglementaires) et rien ne vient qui vaille qu’on s’y attarde.
Euh, à part les trucs classiques, quoi, branlette, j’en foutre, pisser dans un violon, …
Les Gourous du process (pour ceux de mes fervents lecteurs qui n’appartiennent pas à ce drôle de microcosme cultureux, un genre d’équivalent des Divas du dancing (1), transposé des dancefloor 80’s sous un arbre, au café pompier) étaient censés communiquer aux reporters tintin et/ou autres scouts affiliés à Rohan voire même aux rares esprits affûtés, aux polémistes virtuoses et/ou avisés un CR de leur déjections afin de se faire démonter en bonne et due forme, une bonne fois pour toute.

Ils l’avaient juré, ils l’avaient promis, par voie de paresse.

Autant dire qu’avec cette authentique bande de vaillants, on a pas vu la queue d’une ligne relatant la rencontre (si ce n’est une tentative de CR de la Palabre #0, par un tintin reporter (fourbe d’après une amie, voire pervers narcissique !) qui tente, comme il peut, de relater comment partir d’un sujet flou pour déboucher, in fine, sur un sujet encore plus flou (2)).
Une fois de plus, par leur amateurisme et leur foutue tendance à s’exprimer par leur nombril, ces gens donnent à Jujube et ses fripouilles moins talentueuses, oh combien, mais mieux organisées, oh combien, les armes pour les renvoyer jouer à la baballe à la prochaine occasion.
Aux prochaines municipales, par exemple.
(1) Pour ceux qui préfèrent haut la main à ces palabres, avoir des nouvelles fraîches de Philippe_Cataldo, c’est par là, ne me remerciez pas, c’est tout naturel … http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Cataldo
(2) http://rue89bordeaux.com/2014/06/palabre-0-faut-il-culture-utilitariste-rentable/

Tu le trouves pas un peu trop échancré, mon nouveau streaming ?

Un soir où je m’emmerdais, je me dis : « té, et si j’allais à ce concert garage là, à Barbey ! » (j’ai jamais trop pu blairer cette musique garage mais bon avec quelques binouses dans le museau, ça peut passer le temps …).
Je me pointe donc.
Bon, comme prévu, c’était chiant et la bière était bienvenue.
Vers le 3ème Distingué (comme on disait au temps béni de la no wave, barrière de pessac), j’avise pas le père Couderc en grande discussion avec je sais plus qui là (Greg Nordmäle ? qu’est-ce qu’il foutait là ? il avait pas ses 45 tours chéris à lustrer à la peau de zibeline pour qu’ils brillent de mille feux, à la prochaine HMNI PARTY 45 TOURS, MON AMOUR dont on fait des gorges chaudes, downtown ! ?).
Je m’incruste donc.
Ça parlait crise du disque, streaming, …
J’y dis tout de go au président de la FELIN (1), ni une ni deux, que j’avais vu que le numérique commençait à marquer des signes de fatigue dans sa compensation des pertes constatés sur le marché physique (2).
Voilà t’y pas que le président, soudainement transformé en roi de la jungle se met à me rugir dessus, le gonze, que j’ai rien compris, que le problème c’est pas ça (ah oui, ça y est, ça me revient, j’en avais profité pour glisser malicieusement que ce distinguo entre majors et indépendants vaut pas pipette, tout ça, forcément, ça l’avait un peu énervé …) …
Augmentant, pour impressionner sa proie à sa merci, son discours de gestes circulaires des bras, comme un tourne-disque qui aurait soudain réalisé, en pleine travail de rotation et de diffusion, sa condition et qui voudrait, tout en continuant son œuvre de diffusion, faire comprendre au monde alentour que ça a assez duré et que ça va péter. Voyez ?
Alors, au faîte de la ire du tourne-disque léonidé redevenu humain sur ce coin fumeur, en la personne de ce Couderc, un des 2 bras en rotation rapide sortit brutalement de sa trajectoire asymptotique et vint percuter mon Distingué qui ne l’avait vu venir, tout à sa pose.
Celui-ci chut lourdement. du fait de sa relative plénitude (j’avais du boire 2 ou 3 gorgées, tout au plus).
Et se vida presqu’entièrement sur l’asphalte. J’engueule même pas le coupable puisque c’est un notable et qu’il pourrait me servir, un jour.
J’attends en revanche qu’il remette les niveaux comme on dit.
J’attends toujours.
Je me dirige donc assez rapidement vers le bar me (re)payer ce fameux 3ème Distingué. Puis un 4ème et probablement un 5ème pour pousser …

Moralité : à la FELIN, la crise du disque, on en parle mais la crise du Distingué qui se retrouve à terre du fait de la Présidence et dont les niveaux ne sont pas refaits au frais de la Présidence, ça, on en parle moins.
(1) http://www.fede-felin.org/2014/05/14/irma-stupeur-et-incomprehension/, en allant pécho cette adresse, j’apprend la fin de l’IRMA qui marque certainement la fin d’une époque, les 30 glorieuses des musiques amplifiées, 1982-2012 … 
(2) Pour ceux que le Streaming intéresse ailleurs que par en dessous … On entrevoit une issue de secours … http://www.irma.asso.fr/Streaming-d-une-economie-de-la?xtor=EPR-183 sauf que … http://www.irma.asso.fr/Malgre-le-streaming-le-marche?xtor=EPR-183.

Vole, benêt, vole !

En ce moment, on se focalise sur la crise des intermittents car ça ramène plus d’oseille aux journalistes (1), par le truchement d’un meilleur audimat (… moi cette bande de privilégiés !), mais il ne s’agit que de la party émergée du collectif iceberg.
En fait, une crise bien plus préoccupante est en train, sournoisement, d’instiller le tissu socio-cul dans son ensemble. Et risque de faire s’effondrer tout l’édifice Smack de ville, patiemment érigé, pierre après pierre, et de faire rouler, dans un vacarme assourdissant, bien au-delà des 105db autorisés, le rocher de Palmer dans la descente des 4 pavillons jusqu’à aller s’écraser sur les Grands Moulins de Paris (2), de réveiller le volcan krakatoa pour nous débarrasser à jamais de cette Mérignaque aux galeries marchandes qui ne pensent qu’à ruiner sa prestigieuse voisine, porc de la lune, de rendre à Vaudeville et aux lotos ce théâtre de quartier de Barbey.
Rappelons au néophyte, du secteur marchand, que le modèle économique du microcosme socio-cul repose entièrement sur les épaules de ces chers benêt vole ! à un m’man donné, il s’agit pour le gourou aspirant à une juste rémunération du fait de son pouvoir maléfique, d’hypnotiser suffisamment de ces petits êtres malléables et corvéables à merci pour leur faire réaliser un ETP (Equivalent Temps Plein) sans rémunération. Cet incroyable gain de productivité justifie à lui seul l’octroi de subventions pour permettre au gourou de se payer grassement en retour et de garder intactes ces qualités permettant de profiter du travail des autres à moindre frais.
On voit partout fleurir dans la presse festivalière des appels aux secours de Directeurs aux abois, obligés de rogner sur les olives farcies aux apéros pour pouvoir accomplir leur sacerdoce … quelques exemples édifiants par ici …
 Et par là …

Après le fameux « Cours, Forrest, cours » qui relança Hollywood, pour copier une fois de plus ces américains qui ont tout inventé, on essaiera avec cette french cover « Vole, benêt, vole ! » de sauver les festivals français.

(1)  peut-être permettra-ce de sauver Libé d’une reconversion en cybercafé / station de service ? 
(2) qui a une légitimité et des fondations autrement plus solides que ces saltimbanques … http://www.sudouest.fr/2010/08/30/les-grands-moulins-taillent-dans-le-vif-172192-757.php

Brèves de comptoile

Rama … Rama … allez, descends de ton arbre, on mange là !
Dans la dernière Lettre à RAMA, rien comme d’hab’.
Ah si, peut-être, ce truc-là, sur des collègues Poitou-Charentes : Ils sont marrants, quand-même, ces Poitou-Charentes, (les charentais, on savait depuis longtemps, ah ah ah, ah les cons !), quand ils créent leur Pôle Musiques Actuelles, les Poitou-Charentes, c’est pour tirer vers le haut la scène locale.
Heureusement, Flamby a choisi de les envoyer s’arsouiller avec les bretons bretonnants et leur festnazes plutôt que de venir déstructurer nos côtes de sable fin immaculé et leurs festivals impeccables (multipaires, bien sûr).

1 mois + tard (environ le temps qu’il me faut pour écrire cette bafouille), retour sur information !... oh putain, roux et didou, savez pas ? beh, en fait, les Poitou-Charentes, ils viendraient avec nous !
… avec leurs oiseaux qui volent à l’envers pour pas voir la misère.
Fermez les volets, publics empêchés !
Et rallumez-moi cette télé, bordel ! Restez pas debout avec cet air ahuri.

Au Centre Commercial Les Rives d'Arcins à Bègles, c’est décidé, on va tous mourir !
Pour éviter de payer la SACEM et rémunérer les auteurs, car ça ne rentre pas dans les critères de bon comportement des actionnaires, les responsables de ce centre culturel (au sens où l’entendait l’Education Populaire, élever les masses vers un absolu récréatif et grand-public) Les Rives d’Arcins à Bègles ont fait leur programmation : ils ont porté leur choix sur l’acquisition d’un nécessaire à diffuser de la Musique au Kilomètre.
Mais enfin, cher programmateur, ne craignez-vous pas que les gens qui supportent ça toute la journée risquent de devenir, à la longue, des serial killers en puissance ?
Je sais, ça ne concerne nos amis les actionnaires que tout à fait à la marge, dans l’épaisseur du trait, comme il est convenu de dire maintenant en milieu professionnel up to date quand on te fourgue une tâche supplémentaire imprévue et qu’on te fait comprendre, en s’esclaffant, car t’es tellement bon, que tu vas nous régler ça en 2 coups de cuillère à pots.
Cuillères à pots que vous pourrez trouver aisément au rayon Puériculture, au Centre Commercial Les Rives d’Arcins à Bègles, où tant de gens aiment à aller se familiariser avec la mort, en promenade.

Ramoul vs Rama
Hé les RAMA, faites keye, y’a un mec là, en loucedé, qui essaie de vous piquer 1 de vos 2 idées … non pas agisson (saucisson j’allais écrire, quel balôt !), l’autre là, la malette, savez ? le machin là pour pas se sentir à loilpe en milieu amplifié, pour pas se sentir empaffé en milieu amplifié, pour pas prendre le jus par les couilles, voyez ? beh l’autre, là, RAMOUL (RAMOUL … RAMA, t’as compris … bonjour l’embrouille …), il essaie de fourguer une malette en matière plastique, si j’ai bien compris, avec plein de tuyaux dedans pour pas se faire enfler par les cafetiers.
Me remerciez pas, les RAMA, c’est tout naturel, avec tous les sujets de poilade que vous m’avez fourni, je vous devais bien ça !
Allez, un bon été, en vos applaudissements, les RAMA !

Un café et l’addition

Alors, comme d’habitude, en France, tout se finit en chanson, et comme d’habitude en France, t’as un mec hyper bon, personne le connaît, j’ai nommé … Nicolas Paugam !
http://souterraine.biz/album/aqua-mostlae Aqua Mostlae by Nicolas Paugam CD, €10.00  Purchased 16 July 2014 09:37 PM ~ Payment 1401962592 ~ PayPal transaction ID 9PV95995M4678210S



Pendant ce temps-là, Vassiliu summer. La bise, champion du monde !