chez odette

"Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM." Terrain Hostile.

dimanche 5 juin 2011

Si Odette m’était comptée, mes chaussures seraient manufacturées, comme il se doit.

Comme naguère évoqué par Joe « Et merde ! » (1) Dassin à l’occasion de son manifeste « Et si tu n'existais pas (Dis-moi pour qui j'existerais.) », nous allons étudier à travers ce post quelques interactions entre l’existence ou la non existence des uns et l’existence ou la non existence des autres.
(1) (2) admirable dernière phrase (selon son biographe officiel M6) prononcée en ce bas monde par Big Joe réalisant soudain le déclenchement de son 2nd infarctus, fatal celui-ci.
(2) nouvelle technique pour essayer, en limitant les parenthèses et digressions horripilantes pour les uns (existants), enthousiasmantes pour les autres (non existants), de rendre plus aisée la lecture au lecteur occasionnel (celui qui lit un livre par an, pendant les grandes vacances, par exemple) et qui comprend plus que dalle à ce qu’il lit, à la première virgule envisagée (comme on dit dans les notes d’intention).

Pour être plus précis, ça fait un bail que je voulais faire un post impitoyable sur la pitoyable odyssée de cette odette, et surtout, au grand surtout, sans jamais, au grand jamais, s’apitoyer sur le sort coquin qui s’acharna sur icelle, comme DSK sur la 1ère gourgandine envisagée, dont l’intention ne faisait alors aucun doute.

La lecture du plaidoyer d’Eric Chevance, à l’occasion de son départ du TNT a ravivé en moi cet instinct salutaire de charognard éructant ses viscères.
Vous objecterez à raison, vous autres, gens raisonnables car rassasiés: oui mais … les trajectoires de cette Odette et de ce TNT sont notablement différentes, mon jeune ami.
Odette était une micro-structure, un vermisseau qui n’avait d’associatif que son statut et ne représentait que les intérêts d’un seul individu qui voulait se faire une place (rémunérée) dans la cour grasse et ombragée où se languissent les grands vers luisants et autres vers à soi, … euh pardon … à soie (dont ce
TNT, ça va de soie).

Odette n’en pouvait mais (expression qui sonne pas mal, dont la signification m’échappe mais qui s’envisage comme une respiration dans la trame A, arrêt Galin, face le Speedy).
Si bien qu’à force à force, comme on dit aux salinières où il n’est jamais question de s’abaisser à chercher des financements, tout le temps, ça devient agaçant, le vermisseau s’est desséché malgré force ravitaillements aux alentours de 19h30 pour essayer de relancer la machine à boniments.

Car, et c’est bien de ceci qu’il s’agit, le point commun entre cette Odette, ce TNT et probablement cette Scala de Milan, c’est :
Comment faire apparaître son projet (1) comme incontournable voire, comble de bonheur et d’excellence, tutoyant, peu ou prout, une mission relevant du service public ?
(1) qu’on peut également écrire Pro-j’ai, comme contraction de : « Du Professionnel, j’ai tous les atours » ou « Le Profil, mais foutre-cul, bien sûr que j’ai le profil ! »)

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah, le service public, ou, tout au moins, un machin-bidule incontournable voire tutoyant une attribution d’une des strates du mille feuilles territorial et culturel à la Framçaise.

Apparemment, ce TNT avait, par l’entremise de Chev’(1), un jour d’emphase de niveau national, convaincu un ministre (préférer un conseiller de l’élysée, sous sarkono 1er) de l’intérêt national de son entreprise de chaussures.
(1) afin d’instaurer une ambiance plus cosy à ce post mortifère, je décidais d’avoir recours aux diminutifs des uns – existants – et des autres – non existants – ; Chev’ fait ici référence à E. Chevance et non à Andreï Chevtchenko, autre fou de la balle, fou d’balle, ni au groupe cheveu, mon neveu, qui a également un bon camphre.

Quelques années plus tard, le ministre en charge d’apprécier ce qui est du domaine public et ce qui est du domaine de la sous-merde, comprenant qu’il ne s’agissait pas de recycler de vieilles groles pour en faire des flûtes de champagne (ou de mousseux, selon si c’est en les murs ou hors les murs) pour vendre aux épicuriales ou dans les stations-service, commença à remettre en question la dimension service public de cette entreprise confidentielle puisque n’ayant pas réussi à toper un stand aux dites épicuriales et que la dernière station-service sur les boulevards à hauteur de Bègles et susceptible de promouvoir le projet culturel de l’ancienne manufacture était tombée entre les mains d’Al Qaeda (selon Le journal du Médoc) ou de Frédéric Boucher (selon Gold FM).

C’est une première, je crois, qui voit un financement (qu’on pourrait assimiler ici à un acquis culturel, pour faire de droite) accordé depuis des lustres (très exactement à la 3ème sortie à gauche après les 30 glorieuses), remis en question. Et ce précédent, je le crains, va donner du courage à certains obscurs institutionnels, toujours en quête d’un nouveau signal pour justifier leur lâcheté, et va faire des petits (contrairement aux apparences, je ne m’en réjouit(pronounced [prəˈnaʊnsT]) – clin d’œil au passage à l’attention de mes innombrables amis d’enfance cestadais - pas du tout’ (pronounced [naʊnsT])).

Contrairement à Chev’, Chevance en l’occurrence, je pense, que l’outrecuidance de ces gibiers de potence n’a qu’une lointaine incidence sur la déliquescence de notre présence et qui nous fit illico en vacances et, comble de malchance, sans la moindre finance, pour faire bombance, …

En fait je pense que ces gonzagues territoriaux n’ont, à l’instar de leur courage, qu’une prise minime sur le cours des choses. Celui qui fait la diff’ (la différence et non pas, malheureusement, la diffusion), cher Chev’ (le garçon, trouver son nom, chercher le pognon …), une fois de plus, c’est le public (à ne pas confondre avec le service public, ni avec le service 3 pièces, d’ailleurs).
Le public.
Celui sans qui rien ne serait possib’ comme on dit au quebec, à tout bout de chant.
Le public, ct’enfoiré !

Pas si simple, Chev’, et je m’en vais m’en expliquer.
En parlant de moi, une fois n’est pas coutume, pour une (dernière (1)) fois.
(1) Loin de moi l’idée de me soustraire à l’existence (pour reprendre la dimension en vigueur dans ce post existentiel), la non existence de mon humour rendrait mon existence moins épatante.

Il se trouve que, et telle est ma pénitence, j’ai toujours vécu à cheval sur ces 2 mondes parallèles qui s’ignorent royalement, le monde du travail qu’on pourra symboliser par sa déesse de l’utilitaire, Mérignaque (évoquée dans un post précédent) qui danse sur ses hideuses zones industrielles à perte de vue
et d’humanité et le monde des arts qu’on pourra symboliser par la Place Renaudel et ses farfadets malicieux qui déboulent de toutes parts pour nous jouer un tour merveilleux.
Il est amusant pour tout un chacun sauf moi (quoique … si finalement, c’est amusant quand-même), de constater que j’ai échoué dans le « culturel » par la même insuffisance chronique que dans la « vraie vie (la vie ou vit le public) », où j’exerce dans l'activité, inconnue à juste titre, de « service informatique » (à ne pas confondre avec le service public, ni avec le service 3 pièces, d’ailleurs)..
Vers 93-94, constatant une stagnation totale de mes affaires, tel le mime marceau mimant l’ennui (ou sophie et sa moue, ou le spectateur occasionnel devant un spectacle de mime), et envisageant toujours, pour la suite, une arrivée massive de caillasse dans mes fouilles, prévues à cet effet, je me proposais, tout de go, pour changer d’attribution, de passer de la vulgaire technique à la flamboyance du commerce, et donc soumettais ce projet (déjà) à mes supérieurs hiérarchiques (mes institutionnels de l’époque … comme la vie est bien faite, chacun a affaire à un institutionnel ad hoc, à chaque étape de sa lente déchéance). Ceux-ci, toujours prompts à la déconne, refusèrent, tout de go, cette proposition, arguant … rien du tout, comme souvent dans le monde merveilleux de l’entreprise cher à Lolo Parisot où l’explication n’apporte aucune sur-prod’ donc on s’en branle.
Quelques années plus tard, exerçant (enfin) cette activité commerciale, pour le compte de cette Odette que j’avais créée de mes propres mains, pour me distraire (et puisque personne d’autre n’avait jugé bon de me confier une mission commerciale), exerçant mes talents, donc, à l’attention des institutionnels, les seuls, les vrais, ceux de Mériadèque, pas leur pâle copie de Mérignaque, du monde merveilleux de l’entreprise cher à Lolo Parisot, je justifiais involontairement, en obtenant systématiquement que dalle, la décision de mes supérieurs hiérarchiques du passé qui avaient finalement fort bien analysé la potentialité du candidat.
Comme quoi le monde merveilleux de l’entreprise cher à Lolo Parisot est pas aussi nul qu’on veut bien le dire, surtout les feignasses, les jean-foutre et autres artistes.

Parce que c’est ça, le truc, comme des millions de pécores qui grossissent les rangs du non-public, n’ayant pas eu les couilles d’abandonner lâchement mes études, comme l’avaient fait très rapidement mes amis artistes en devenir (qui allaient quand-même en chier des ronds de chandelles pendant des années avant d’obtenir une situation précaire mais à peu-près viable, à force de privations), je me suis retrouvé dans ce putain d’engrenage où tu réussis donc tu continues sans jamais rien remettre en question de ce putain de système puisque ça fonctionne et, un jour, au bout du bout des rails, sur lesquels tu avances cahin-caha, tu te retrouves, com1-connard, à passer sous la porte où il y a écrit « arbeit macht frei », servile comme pas 2 et malléable à toutes les propositions les + incroyablement humiliantes que peut te faire le monde merveilleux de l’entreprise cher à Lolo Parisot.
Et Dieu sait que ce monde cher à Lolo et Mérignaque a de l’imagination (dans le cadre du boulot seulement, parce qu’en dehors, queud ! (1)(2)).
(1) Té, ça me rappelle un collègue qui venait du Gers comme Tartarin de Mescoinques. Quand il y avait un apéro chez un collègue après le boulot (ça remonte un peu, y’avait encore un semblant d’humanité dans ce cloaque cher à Lolo), il se pointait,
bouffait tous les biscuits apéro et s’endormait aussi sec sur le canapé. En toute logique chère à Lolo, il est devenu chef.

(2) Un de mes amis artistes qui fait dans la chanson françoise et
le court-métrage un brin sarcastique mais qui va tout de même à l’essentiel à la fin, que l’on nommera, pour respecter son anonymat (3), Jack Turner, s’est retrouvé, le week-end dernier, sans préparation spécifique, en contact involontaire avec des gens de la vraie vie (chef d’agence bancaire, comptable, …), par l’entremise d’amis d’amis d’amis de sa moitié. Il en est revenu tout traumatisé. Un peu comme ses journalistes, otages des grands méchants orientaux enturbannés, et qui reviennent de ce monde « compliqué avec des idées simples » lessivés mais célèbres. Un détail, amis journalistes (je peux me lâcher, c’est en italique et personne ne lit jamais ce qui est en italique), si votre motivation n’est pas de devenir célèbre, n’allez pas dans ces terrains hostiles, la non existence de l’évocation de ce qu’il s’y passe ne modifiera que très superficiellement le cours de nos existences. Que nous soyons du monde de la vraie vie ou du monde de la fantasiiiiiia, indifféremment.

(3) cette expression n’a guère de sens pour un artiste qui, a priori, rêve que l’on ne respecte surtout pas son anonymat.


Reprenons le cours palpitant de la vraie vie que nous nous sommes choisie …
Le soir (vers 20h30-21h), tu rentres chez toi, le cerveau mis en lambeaux par ce travail à la fois très difficile et sans aucun intérêt que t’as proposé le monde merveilleux de l’entreprise
cher à Lolo Parisot et tu n’as d’autres ressources que de t’affaler sur le canapé et jeter un œil torve à ce qui se passe sur le petit écran, dans le monde parallèle des artistes.

Et qui ne t’intéresse pas plus que ça, car ce qui est important, dans la vraie vie (« la vie où ne vit pas l’artiste »), c’est le boulot et, s’il te reste un peu d’énergie après le boulot, c’est pour essayer de justifier comment ton entreprise que tu aimes et qui t’aime peut se comporter aussi mal avec toi, qui a pourtant fait, tout le temps, ce qu’on t’a demandé de faire.

Il te reste, donc, en quotité disponible d’attention à une proposition culturelle, et ceci recroise la fameuse théorie du Temps disponible de cerveau énoncée par le Dr Lelay du laboratoire d’étude (n)euro-comportementale TF1, de quoi tenter de suivre les exploits laborantins des Experts, une tisane et au lit.
Le week-end, tu te régénères un peu, tu te prend une petite murge pour dire et c’est reparti pour un tour de soumission à essayer d’attraper la queue de la reconnaissance.

Alors, autant te dire, Chev’, que les propositions de ce TNT ou de cette Odette, tu n’en as aucune espèce d’idée :
o       ni de l’existence,
o       ni du support qui te permettrait de découvrir son existence,
o       ni du fait que, potentiellement, il puisse exister quelque part sur terre (de quoi ? à 2 pas de chez moi (1), il y aurait à 2 pas de chez toi (1) des gens qui vivent la vie de ceux du petit écran ?) une forme de vie qui ressemble à celle vécue par ces artistes précaires sur ces planètes TNT ou Odette, tout ça ne fait juste pas partie de ton monde borné, entièrement voué à ta sainte-patronne Mérignaque.
(1) l’utilisation du je, tu, il générique devient totalement bordélique dans ce récit. Pour y remédier et par décret du 4/6/11 15h04, je, tu et il c’est pareil.

Le problème, Cher Chev’, à mon sens, n’est pas qu’un institutionnel sucre un jour tes subventions ou ne m’en accorde jamais, mais ce système global, de type perdant-perdant du point de vue de l’élévation de l’être humain, bizarrement de type gagnant-gagnant du point de vue économique, où personne n’est coupable mais chacun à son niveau participe à la décrépitude générale qui fait que, dans 50 ans probablement, la culture ne concernera que 0.001 % de la population, ces 0.001% de la population représentant également, ça, c’est fort de café, les 0.001% de la population ayant réussi après des années de disette à obtenir une situation précaire à peu-près viable, à force de privations, dans une discipline artistique.

Bon je crois que j’ai fait à peu près le tour de ce que je ne voulais pas forcément aborder dans ce post si ce n’est pour faire causette entre ce Chev’ et cette Odette.

Pour enfoncer un peu plus le clou (du spectacle) dans mes flancs (que j’aimerais plus) émaciés, (l’été approchant,) et c’était donc ça, l’objet initial que je visais, à travers ce post impitoyable mais j’ai trouvé mieux à faire, chemin faisant.
Comme un purgatoire à cette odyssée brinquebalante entre Mérignaque et Mériadèque, tentons de répondre à cette question embarrassante :

« Et si Odette n’avait pas existé, quelle aurait été la trajectoire de tous ces amis-chanteurs accompagnés ? ».

Adonnons-nous, pour cela, aux joies de l’inventaire (cher au gestionnaire de stock, vous savez ?):

  • Supermika : le premier et probablement le plus imprégné de la philosophie d’Odette, puisque s’est totalement desséché en totale synergie avec la vieille chounette. Auraient-ils gardé leur fraicheur de « Nouvelle fête chez Max » s’ils n’avaient croisé un jour la vieille chounette ? difficile à dire.
  • Frantz : grâce à odette, a découvert sa vocation, le juridique et renoncé à toute carrière de chanteur aux dernières nouvelles. Dommage car le bourru avait bonne bouche et bonne attaque.
  • Leq : le seul à assurer que Odette lui a pourri l’existence. C’est pour ça que c’est resté un bon pote. Je pense qu’il est comme Odette trop charançonné, trop attaché à sa dynamique d’échec, pour avoir un jour assez d’énergie pour réussir malgré toute cette engeance de 30 ans.
  • Snut / Polder : d’un naturel bonhomme(bien que supporter du PSG), El Magnifico Seron suit son chemin qu’il connaît par cœur. Odette aura été une étape chaleureuse.
  • Jon Smith : ah jon smith … je pense que la rencontre avec Odette a été bénéfique humainement et logistiquement (le déménagement sur Bordeaux a été indéniablement bénéfique en terme de qualité de vie pour ce gonze).
    Artistiquement, va t’en savoir … s’il était resté à Paris, n’aurait-il pas eu d’autres types d’opportunités ? on ne le saura jamais mais, pour l’heure, le ci-devant privilégie sa carrière vidéaste où il a une bien meilleure technique individuelle qu’à la 6 cordes, enfin j’me comprend.
  • Maria Blonde : le capharnaüm, un gonze dans lequel j’avais placé tous mes espoirs de professionnalisation de cette Odette et qui se révéla très surfait. Un autre à qui j’avais préféré le premier, quelle bonne idée !, et qui est resté un très bon ami. Un 3ème que je vois de temps en temps dans le tram ligne A.
  • Kim, Pull, Call Gate, Aeroflot : pour ces fleurons du rock bordelais, Odette aura été une étape sympathique, je pense. Un peu plus pour le néo-papa David De Lesseps qui reste également un ami cher bien qu’étant depuis peu rangé des guitares.
  • People on holidays / Minuscule Hey : Odette aura permis à ces olibrius de passer un cap. Malheureusement, les olibrius ont du mal à passer le dernier cap qui leur permettrait de basculer, à force de privations, dans le monde merveilleux des artistes évoqué + haut.
  • Microfilmures / Alkatrâaz : Odette aura permis de graver ces trucs au bon soin du long trail.
Pour illustrer cette tranche de vie (vraie ou rêvée), je voulais mettre Supermika « Les américains » mais ils sont tellement blaireaux (cf + haut) que ce titre, 1 des derniers que j’ai apprécié, est introuvable sur la toile.

En clin d’œil à JL Veyssy et son positionnement bordelo-éditorial « pas de salut éditorialo-économique hors les sciences sociales » (1), choisissons un titre censé illustrer ce que pourrait être une musique qui relèvent des sciences sociales …

o Les Charlots / Merci Patron
o Les Escrocs / Assedic

Ces 2 là, pionniers en la matière, ont acquis ma reconnaissance éternelle contrairement aux adeptes de Mérignaque qui n'auront jamais droit à une quelconque tape amicale de quiconque, pas le grand singe, l'autre.

N° de commande 403-6386191-8770725
Merci patron [Téléchargement MP3], Prix : EUR 0,89 Extrait de l'album : Les Charlots L'Essentiel Par : Les Charlots
Assedic [Téléchargement MP3], Prix : EUR 0,79 Extrait de l'album : Faites-Vous Des Amis Par : Les Escrocs
Vendu par : Amazon Media EU S.a.r.L

(1) Terrain Hostile s’y essaye, depuis. en voiture titine pour 2012 http://perso.wanadoo.fr/odette/Belzeburne.mp3.

dimanche 15 mai 2011

FCA002 Fiche de capitalisation artistique

FCA002/1 Principaux faits saillants
Cœur de cible :
Connasses (6-195 ans)

Registre émotif :
s/o.

Debriefing carrière :
Il (François Feld{Marschall}man) est d’origine russe par son père et belge par sa mère. Sa fille, fruit de son (François Feld{InLove}man) union avec Caroline Gardel (dont le nom d’artiste était Fanny Gardel), se prénomme Joy.

Les débuts difficiles (1980–1986)
GnaGnaGnaJouePasGnaGnaGnaJouePasSansMoiGnaGnaGnaFunkGnaGnaGnaRadioCrochetsGnaGnaGnaYellowHand.

GnaGnaGnaJouePasGnaGnaGnaJouePasSansMoiGnaGnaGnaCarrièreSoloGnaGnaGnaWallyBouleNoireGnaGnaGnaSansGrandSuccès.

Les trois premiers albums et le succès national (1986–1993)
GnaGnaGnaJouePasGnaGnaGnaJouePasSansMoiGnaGnaGnaRienQuePourToiGnaGnaGnaCaillasseGnaGnaGnaPétassesGnaGnaGna …
… ELLE …

Me Feldman prête à accomplir son 1er
devoir conjugal de la journée, dès potron-minet.

Retour à une carrière confidentielle (1993–)
GnaGnaGnaJouePasGnaGnaGnaJouePasSansMoiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOui
GnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaOhOuiOhOuiGnaGnaGnaJoyGnaGnaGnaTraverséeDuDésertGnaGnaGnaGalasGnaGnaGnaLaCoupoleStLoubès(*)GnaGnaGnaBoucheAOreillesGnaGnaGnaRFMParty80.

Salut l’artiste ! et … amitiés à vot' dame …
Ouh la la, tu trouves pas qu’il a l’air fatigué, François, il aurait pas un peu trop tiré sur la corde (pas la vocale, l’autre) avec sa jeunette.

(*) c’est probablement lors de cette date (comme on dit dans le show-bizz) que François, non content d’aller à la rencontre de son public (faut dire que le public de la Coupole à St-Loubès, c’est genre le public de Radiohead dans 30 ans, t’as qu’à voir …), François, lors de ce pèlerinage, rencontra la foi, par le truchement de cet apôtre Loubès, en charge depuis des lustres de la variété dans la Communauté Urbaine (Urbain faisant référence ici au vénérable patron de la paroisse de Thionville-Guentrange (57100) et non pas à cette prétendue métropole millionnaire du XXIème siècle qui vient d’en prendre 4 à la maison contre un bled malfamé presqu’allemand, sauf d’un point de vue robustesse automobile).

Quelque chose à déclarer, chef de produit ?
NON
...
Quoique, finalement, si ... y’a quand-même ce truc-là, le funk, on peut pas dire qu’on a trop poussé cette piste-là ! On était vraiment des branleurs à cette époque, te rappelles, Bastien, ah les cons, tout ce pognon qui tombait comme à Gravelotte. Sans rien branler. Et des putes partout … à perte de vue …
C’était sympa, te souviens, Bastien ?
Ouais … faudrait voir ce truc-là, à l’occasion, le funk, un petit duo avec … comment-ils s’appellent déjà les 2 mecs là, le gratteux et le bassiste de ce groupe-là, euh comment ?, Chic, ça doit pouvoir se goupiller ça, non ? Ou alors avec Image ?
Ou alors … Yellow hand, mais ils sont où ces gonzes ? T’as des nouvelles, Bastien ? 


FCA002/2 Mais qu’est-ce qui n’a pas marché, bordel ?

Peut-être que, dans le cas de François, peut-être qu’on peut évoquer le fait que la relation avec Me Feldman a été un petit peu trop chronophage au début (pendant 3, 4 ans) et qu’il  (François Feld{PoirierPapa}man) aurait, en quelque sorte, un peu négligé ses affaires, euh … ses gammes serait plus juste, en l’occurrence, au détriment d’hommages répétés à sa muse.

Le tournant mal négocié :
Et puis il y a eu également ce truc insensé (source : WikiVousSavez) …

Invité (François Feld{DindonMamie}man) à chanter lors du Téléthon 1996, il commet une gaffe en invitant le public, composé majoritairement de personnes atteintes de myopathie, à se lever. Il s'exclame « Tout le monde debouuuut !  » avant de se rendre compte de sa bourde et de finir sur « …là-bas !! » en désignant une petite partie du public ne se trouvant pas en chaise roulante. Peut-être sans cause à effet, ses (François Feld{PaonPeterPan}man) présences télévisées depuis cet incident ont été progressivement réduites.

NDLR : pour mieux comprendre cette gaffe inouite (du même tonneau que la dernière série TV américaine Dead BinLaden à laquelle on préfèrera, à tous les coups de pistoles et autres dagues, les bonnes vieilles sagas Dead Kennedys ou, par chez nous, Petit Gregorys), c'est-à-dire que le père François n’avait pas trop la tête à l’empathie, à ce moment-là (l’empathie qui, soit dit en passant, serait le nouveau moteur de demain, théorie échafaudée par je sais plus qui chez FOG Vendredi soir et pour cause, je m’étais légèrement assoupi), ce pauvre hère, ce saint, François, celui qui chante, celui qui chante, celui qui chan-ante, en effet donc lui le saint, en ce jour funeste, paraissait un peu préoccupé. Sa dame venait de lui signifier, avec sa geste délicate mais précise, que 4 saillies par jour était un peu insuffisant pour son teint de rose et qu’elle envisageait l’appoint d’un second étalon, éventuellement moins porté sur les choses du funk voire carrément adepte de la bourrée (Note à l’attention des djeuns : dans ce cas de figure, et seulement dans ce cas-là, on aurait aussi pu écrire bourrée avec un r, le sens de la phrase n’en étant que très légèrement altéré).

Artiste sur même cœur de cible qui surfe encore sur les lèvres lippues de la gloire et de la dolce vita, à rien branler et emplatrer comme un goret:
M

FCA002/3 Suites à donner :

Faut-il relancer sa carrière ?
Pas forcément. Faudrait demander au public, ce fumier.

Utilisation en synchro possible :
Campagne de prévention contre le surmenage des hommes mûrs qui filent, tel guy l’éclair, vers un infarctus mérité.

Utilisation en duo possible :
M ou L.
Le risque avec L, c’est qu’il (François Feld{JoliCoeurKebabDönerSansFritesNiOignon}man) se sente pousser des ailes, comme autrefois avec fanny (qui forcément s’est un peu fanée, au gré des années, elle tendrait plus vers jauni, fanny et plonge dans l’embarras le péni à françois, qui ne hennit plus que nenni ou mercredi) et reparte, à hue et à dia, tel henri IV qui y croyait turgescent comme 1 os, vers un quadruple pontage corona-schweppes.
Avec M, le risque est moindre, le sujet évoque moins, pour ses cons gen’r (clin d'oeil à mon public djeun) qui dansent à ses mélopets et pour les quelques autres empêchés, les choses de la bourritude appliquée et systématique.

Utilisation en Tournée Revival :
Comme toujours, pas mal de possibilités, dans cet exercice récréatif:

Tournée revival « Joue pas, joue pas … à tripoter mon blouson, avec ton marcel pourri, tu vas prendre un ramponneau ! »
  
 Tournée revival « Ouais beh moi, au moins, j’ai essayé de transposer la coupe afro ! »

Tournée revival « Ouais beh moi, au moins, j’ai essayé d’inventer de nouvelles approches de l’oreille opposée ! »

FCA002/4 Enseignements D/A :

Réutilisabilité, clonage, points intéressants (resp. rédhibitoires) à reproduire (resp. éliminer) sur un postulant (resp. sncfulant) sur même cœur de cible ?

Mais, oui au fait, comme évoqué plus haut par un habile procédé narratif, au fait …, que sont les Yellow Hand devenus ?
On avait fait grand cas de leur disparition inopinée à 2 encablures d’un succès interplanétaire, comme jauni à las vegas et son public amené (les grands du show-bizz amènent leur sono pour pas être emmerdé, tous les réglages sont faits, nickel ; les très grands du show-bizz amènent leur sono et leur public pour pas être emmerdé, tous les réglages sont faits, nickel).

Ah ouais, je me souviens maintenant, on avait reçu un courrier, te rappelles, Bastien ?
« vous inquiétez pas, je suis parti en Australie, en service commandé par Winston Churchill et Jacques Lafitte, pour apprendre le funk aux aborigènes et aux kangourous. Faites pas attention aux gravats dans le jardin, j’en ferais des maracas en rentrant. Et avec les osselets qui sont dessous, je ferais des bâtons de pluie. »

Putain mais attend, si ça se trouve, sous les gravats, la plage … euh non, j’ai perdu le fil là … la main jaune, putain, la main jaune, yellow hand, il les a buté ce con de François. Mais pourquoi il a fait ça, ce con ? ah ouais … c’était peut-être pour appliquer les nouveaux quotas, tu sais, « il faut en finir avec ces mecs funky à double nationalité, ici en France on te forme des mecs au funk, gratos, et une fois qu’ils sont formés, ces enfoirés, au revoir les loulous, on va aller funker ailleurs, papa, dans ces pays qui n’ont qu’une vague notion du groove et du fun, tu vois, et où on peut s’en foutre plein les fouilles, tu vois, papa ? ».
Euh non, je vois pas trop là, tu parles de quoi là, je vois pas trop le rapport avec la réutilisabilité de la carrière de François, notre pèlerin de l’amour ?
Mais si putain, ça a carrément à voir ! En fait, ce qu’il faut comprendre dans cette histoire, c’est que François, tu vois, en fait sa véritable identité c’est Saint François d’Assise (devant), tu vois ?

En fait il (François Feld{MortGarcimore}man) est la réincarnation de Saint François d’Assise (tout court). Tout comme lui (cf WikiDitQuiEst), il est analphabète, il rit quand il pète, il a fondé les franciscains pour faire son américain, il a fondé san francisco pour y planter ses haricots, il a fondé al qaeda, youkaïdi youkaïda, mais il n’a pas écrit …

« la célèbre Prière pour la paix, appelée aussi Prière simple ou encore Prière de saint François »,

En revanche, il a peut-être écrit …

« d’autres prières, autrefois fameuses, mais qui ont récemment perdu du crédit auprès des chercheurs et ont disparu des éditions critiques des écrits de François. Deux textes sont autographes (LLéon, LD-BLéon). Pour d'autres, on a un témoignage attestant que François en est l’auteur (CSol).
Parfois, comme cela arrivait souvent au Moyen Âge, François a dicté un texte à un secrétaire, plus ou moins habile.
Certains textes commencent en effet par « Écrit comme… » (JP, TestS, BBe). Ceux-ci sont qualifiés d’opera dictata. Certains textes (Adm) semblent être des notes prises pendant des entretiens. La règle (1Reg, 2Reg) est un écrit ayant évolué de 1208 à 1223, dans lequel François tient certes une grande part, cependant une étude précise montre que ce texte est l'œuvre de la communauté franciscaine réunie en chapitre. ».

Qu’est-ce c’est ? on me parle ?

Et après on s’étonne qu’ils en chient à la SACEM et qu’ils filent tout le pognon à Obispo plutôt que s’emmerder à aller à la pêche aux ayant-droits (ainsi qu’aux oeils en bois, aux en croix mais aussi aux pimpoyes en soie, aïe pour moi, aïe pour toi, tu n'savais pas, pauvre de toi, qu'il y a du Mr Hyde en moi …).

Et en plus t’as ce WikiDortDine qui arrête pas de leur mettre des bâtons (de pluie) dans les roues (François Feld{aRoueFrançoisBayrou(*)}man), ça ne leur facilite pas franchement la besogne à nos vaillants travailleurs qui cherchent (toujours) et (parfois) trouvent qui est l’auteur !

(*) ouh la la, un autre françois s’immisce dans le débat, ça va pas faciliter la comprenette de mes lecteurs les + limités intellectuellement, ça, un autre saint en plus, qui distribua des bouffes aux enfants cayra comme naguère son maitre, du pain aux enfants aryens. Pour le distinguer dans la suite du récit (bien sûr on prendra un soin particulier à ne plus jamais y faire mention) du Saint-François qui nous intéresse aujourd’hui, nous appellerons ici-bas ce second Saint-François, Saint-François d’Assise (le cul entre 2 chaises).

Et alors, du coup, elle achète quoi, Odette la vieille chounette, comme chanson pour valider son droit à postage (sncfage pour les pieux niais durailles) ?
Beh ché pas quoi ...
té si ... 
Prenons cette proposition que l’auteur nous donne à entendre (formule insupportable récente utilisée surtout, dans le cadre de l’art contemporain donc pile-poil raccord avec cet article de pêche) :
« Qu’est-ce qu’elles deviennent, bordel de merde, les valses de Vienne ? ».

Alors transposons cette maxime selon les 2 axes de ce blog (pour mémoire, pour les oublieux, français et brouzouf) :
· Vienne en français donne Vienne (38, Isère).
· Valses en brouzouf donne rock alternatif (donc français) ou rock festif à 2 balles (donc français), selon les époques.

Remuons le chapeau dont on fait les hommages (clin d’œil à Fanny qui, si elle est fanée, pour qui la goujaterie est bannie, n’en reste pas moins trombinable).
Alors ça donne … rien.

Modifions la première transposition.
· Vienne en français donne aussi Vienne (85, Vienne) voire aussi Haute-Vienne (86, Haute-Vienne).

Remuons ce chapeau, cette fanny, sa vieille peau …
Peau d’zobi, balpeau, queud.

A cet instant précis, et pour vous épargner un suspense sans intérêt, et ce, par la grâce du tout puissant et de son plus fidèle gregario, je rappelle Saint François d’Assise (devant) … bon t’accouches ? ah oui, à cet instant précis, arrive dans ma boite à lettres virtuelle, que n’auront pas les congres de l’Atlantique-Sud et leur sous-marin furtif, arrive un message sacré, qu’on dirait écrit par Lui :

Le Festival Montpellier Temps Chante, off du
festival Radio France Montpellier est ouvert à toutes les chansons.

Essayons avec cette nouvelle donne providentielle :
· Vienne donne Montpellier.
· Valse donne … Valstar

Putain, les sheriffs, quoi, ça c’était un putain de bon groupe, te rappelles Bastien ?

Commande n° 403-2945059-0466736 Leurs 25 plus grands succès [Téléchargement MP3], Prix : EUR 6,99 Par : Les Sheriff Vendu par : Amazon Media EU S.a.r.L

Liens externes[modifier]


Ghost scoop :
Tu savais, toi, cher non-public ou public empêché ou public amené, que Soma Riba, le fabuleux Directeur Artistique de l’établissement culturel Le Macumba à Mérignac (avant d’arriver au Pied, pour les habitants de la Communauté Urbaine de + de 45 balais) avait fait un titre avec jaunisse dans sa jeunesse (avant d’arriver au tournant des années 80, pour les + de 45 balais, quel que soit leur lieu de résidence) ?

Non.
Si.
Té.


dimanche 3 avril 2011

FCA001 Fiche de capitalisation artistique : Jakie Quartz

FCA001/1 Principaux faits saillants

Cœur de cible :
femme libérée des années 80 (25-45 ans)

Registre émotif :
fleur de peau, quotidien fantasmé, mélancolie


Debriefing carrière :
En 1981, parvient à se faire engager dans la troupe de la comédie musicale Revue et corrigée, montée par Bob Decout au Casino de Paris aux côtés d'Annie Girardot, Catherine Lara, Guesch Patti, Manu Katche (batterie) et Jean-Paul Gaultier (costumes). Le spectacle reste à l'affiche quelques semaines seulement.
une sacré bande de winners, comme on disait dans les 80's ...
il est où ce con de Manu ? encore planqué derrière ses fûts, ce gros naze ?
Jakie à droite, déjà à 400% de motivation, déjà en sur-régime ?

NDLR: vous noterez que commencer par une des plus grandes foirantes du show-bizz (à l'époque où tout le monde réussissait tout ...), voilà qui dénote un sacré manque de discernement. manque de chance, peut-être ? déjà trop impliquée ?

Déjà, à la question "Mais qu'est-ce qui n'a pas marché, bordel ?", Girardot répondit avec la franchise qui  fit dans un 1er temps son succès puis son inéxorable dégringolade:
C’est simple, personne n’a suivi. Il n’y a même pas eu d’effet de curiosité. Au bout d’un mois, on a appris par les journaux qu’on étaient foutus à la porte.

Wikipedzouille, qui ne doute de rien, ce con, comme manu, derrière ses fûts, enchaine ...
Au cours d'une participation à l'émission Le grand échiquier (Jacques Chancel), (NDLR: mais, dieu(x?) du ciel (stade? PAF?), qu'est-ce qu'elle foutait là ? à l'époque, chancel était plutôt cul et chemise avec guy béart qui était cul et chemise avec pierre perret pour venir nous faire chier à la télé avec leur nouvelle chanson pour scout onaniste ou pédophile raté ...
... elle rencontre le compositeur-arrangeur Gérard Anfosso. Ensemble, ils vont travailler (elle aux textes, lui aux musiques) sur ce qui devient le tube de l'été 1983,
Le disque est vendu à plus d'un million d'exemplaires.

Le catalogue complet de Gérard Anfosso (l'inventeur supposé de la technique dite du "coup commercial", qui fit tant de dégâts dans ces sacrés années 80, aussi bien dans les rangs de ceux qui réussirent, pour le plaisir, que dans les rangs de ceux qui foirurrent, à plate coutûre) par ici (le catalogue en vogue de cet Anfosso, dit Gégé, qui aimait, entre tout, les feedbacks et surtout les roploplos) ...

Gégé
photo non certifiée SACEM ou autre site de rencontres.

Un petit détour par la fiche de Sabrina Lory (la fameuse artiste de matricule 2887), une des muses de Gégé, vaut également son pesant de cacahuètes ...

sabrina, confessant sa plus grande erreur.
"Lui" (Gégé) en l'occurence croyait "dur comme fer" qu'il allait se la faire.

Décidemment, Gégé, qui a quand-même bon coeur (et une certaine endurance sexuelle), aura tout essayé avec elle mais quand ça veut pas rigoler, ça veut pas rigoler (inconvénient du coup commercial: ça marche pas à tous les ... "coups" !).
Nullement découragée par ces quelques ratés (dont une poignée de 7èmes ciels) au démarrage, Sabrina exerce toujours (en ayant conservé sa marque de fabrique, le plus parfait anonymat) ... http://www.myspace.com/sabrinalory
Ceux qui cherchent à la joindre, pour une raison ou un autre (hé hé), noteront qu'elle a perdu son matricule d'artiste en passant sur myspace et c'est plutôt une régression d'un point de vue strictement informatique.

Quelque chose à déclarer, chef de produit ?
NON
...
Quoique, finalement, si ... je vais dire ce que j'ai sur la patate, depuis un bon moment ... c'est bon quoi hé ! elle s'en est pas trop mal tiré, l'autre casse-b... de  Jacqueline (la Jakie à Jacky de Platine 45, repéré, lui, par Jacqueline Joubert, qui, elle, ne connut de traversée du désert, du fait, soit d'un meilleur mariage, soit d'un talent plus en adéquation avec son époque, et, de plus, non pollué par une implication excessive). Notamment, vis à vis de sa meilleure amie, Sabrina, qui lui a tout appris du métier pour finalement se faire doubler à la fin, c'est pas bien malin (comme la mère de Kim Giani Duvigneau qui a tout appris du métier à Corinne de Téléphone pour finalement se faire doubler à la fin, c'est pas bien malin). C'est bon quoi, elle va pas nous faire chier non plus avec ses états d'âme de princesse, c'te conne (ah tiens, ça aurait pu faire un tube, ça aussi, "Etats d'âme", en parler à Gégé).

FCA001/2 Mais qu’est-ce qui n’a pas marché, bordel ?

Le truc, à mon avis, c'est ça, quand t'es au taquet d'entrée, tu peux pas remettre les gazs après, t'es au taquet, quoi ! alors soit tu pars en douceur, tu fais de la merde tranquillement 2, 3 albums (genre Nolwenn) pour endormir l'adversaire (et néanmoins fan en devenir) et après tu sors ta botte secrète, ta bretonnitude. Et là tu remportes la mise (au poing, en l'occurence). ou alors tu pars au taquet, tu fais 2, 3 albums au taquet et après il faut un truc un peu surnaturel, se faire enlever par les extra-terrestres, mourir, ou alors, au pire, se retrouver mélé à un faits divers bien sordide de préférence (cf 2, 3 lignes + bas, rubrique Artiste sur même coeur de cible qui surfe encore sur les lèvres lippues de la gloire et de la dolce vita, à rien branler et emplatrer comme un goret).

Le tournant mal négocié :
Aucun (pas eu le temps d'arriver au 1er tournant)

Artiste sur même cœur de cible qui surfe encore sur les lèvres lippues de la gloire et de la dolce vita, à rien branler et emplatrer comme un goret:
Bertrand Cantat

FCA001/3 Suites à donner :

Faut-il relancer sa carrière ?
NON
Si OUI, à quelle occasion (événement déclencheur) ?
Au 1er tube de Sabrina LORY


Utilisation en synchro possible :
Campagne de promotion d'un retour massif à l'analogique, en photographie, énergie nucléaire ou sexe.

Utilisation en duo possible :
Bertrand Cantat (Tostaki la voiture qui gène là ?) ou Gilbert Bécaud ("Monsieur" 100000 Volts).

Utilisation en Tournée Revival :
Pas mal de possibilités:
 
Tournée Nos années "Chéri, t'as vu comme j'étais belle en new-wave ?"

Tournée Nos années "J'étais jeune alors et mes yeux doux même si un peu fous, parfois."

Tournée Nos années "T'aurais pas pris un peu de poids, toi ? et c ki ces 2 blaireaux avec qui tu traines, maintenant ? par contre, on reconnait bien, malgré les années, ton regard un peu fou !"

FCA001/4 Enseignements D/A :

Réutilisabilité, clonage, points intéressants / rédhibitoires à développer sur un postulant sur le même cœur de cible ?
Faut voir avec Gégé. qu'est-ce qu'il branle au juste, Gégé, là ? t'as des nouvelles, Bastien ?
Il doit être aux chiottes en train de bourrer Chloë (phrase quasi-authentique entendu sur un fameux plateau télé de l'Avenue Thiers).
C'est compliqué maintenant avec leurs trucs à la télé, on sait plus comment lancer les carrières. puis t'as tous ces vainqueurs foireux à qui il faut trouver un style tendance. bon alors ouais, le côté les yeux "doux mais fous", faut voir ...
Par contre, attention, profil risqué, risque de te casser les c... jusqu'à la St Glin-Glin. genre té ça y est, je l'ai, le nouveau MISE AU POINT, écoutes, jean-ba, ça s'appelle ETATS D'AME et ça parle d'une trentenaire qui fait un point sur sa vie. Ah ouais, pas mal ETATS D'AME. Faut voir. J'te rappelle.



Un dernier clin d'oeil de l'artiste (Merci Google Image, toujours pertinent !) ...

Lundi 19 juillet 2010, Aix-Les-Milles, Bertrand (NDLR Cantat probablement ?) avec Jakie Quartz.

Et alors, du coup, elle achète quoi, Odette la vieille chounette, comme chanson pour valider son droit à postage ?
Beh ché pas quoi, té si, on va prendre une autre chanson 400% inside du chanteur français (ou presque) préféré de Odette, j'ai nommé Dick Annegarn de St-Gaudens ou environs.
Cette chanson, dont le walking à la basse, sur le refrain, n'est pas sans rappeler le standardissime (pour changer de ce cultissime dévoyé) Charming man des merveilleux Smiths, s'intitule Agostinho (c'est toi l'plus beau) et dresse un portrait un brin flatteur d'un des ténors de la Petite Reine au siècle dernier.
Petite Reine qui s'appelait d'ailleurs Odette, Odette de Champdivers plus précisément, et dont la bio http://fr.wikipedia.org/wiki/Odette_de_Champdivers, ne présente strictement aucun intérêt.
Le monde est petit, hein Jakie ?

Commande n°  403-6312214-0773121 Agostinho Dick Annegarn; Téléchargement MP3; EUR 0,79 Vendu par : Amazon Media EU S.à r.l. 

lundi 21 mars 2011

ma cabane en rondins (tout n'est qu'une affaire de curseur, mon cher Luis Triaud)

Ca y est, c'est fait, hubert mounier est pardonné, il est devenu, dans les cercles vertueux de la variété, juste quelqu'un de bien.
Oublié son passé douteux au sein d'un trio qui avait affaire à (ou qui voulait régler son affaire à) un certain Luis (probablement Fernandez, de la même époque et ville).
C'était un tocard hier mais il y a eu redemption (putain bob, tes chansons, bordel, qu'est-ce qu'elles sont bien !!!). Aujourd'hui dégustez du bout des lêvres, il s'agit d'un authentique nectar, il fait partie des meilleurs crûs de la vallée du Rhône.

encore un jour qui passe, un jour qui finit de guerre lasse ...


Cette trajectoire onirique dans l'odyssée du goût pose la question qui me ramène vers vous, aujourd'hui, cher public: "Mais où donc placer le curseur sur cette foutue echelle qui va de artistique à commercial, de underground, donc bien, à mainstream, donc mal, pour être acceptable par les élites arties amies mais quand-même ramener de la caillasse amie à la maison à la fin du mois ?".
En gros, le marché de la musique (et de la vie en général, je le crains) se représente commaque (diagramme de hosteins, 1994, maintes fois copié, jamais égalé):
ps: bien entendu, et j'insiste sur cette redite (il parait que mes propos sont pas très clairs donc je vais systématiquement répeter les trucs, maintenant, systématiquement répeter les trucs, maintenant), quand j'utilise l'anglicisme underground, je veux dire truc de qualité et quand à l'autre bout de l'echelle de hosteins (ce génie !) je parle de mainstream, je sous entend grosse daube qui pue.

une cabane en rondins construite de mes mains


Quelles sont les attitudes remarquables observées par rapport à cette audacieuse représentation ?
  • D'abord y'a l'ainé, lui qu'est de babylon, robert dit bob, évoqué plus haut, alors lui c'est pas compliqué c'est la qualité (de foutues bonnes chansons immortelles) + des ventes en continu depuis 35 ans, il est tellement fortiche que, même mort depuis des lustres, il arrive encore à faire vivre ses 18 enfants, ces innombrables femmes et d'obscurs poteaux qui faisaient roadie ou backliner à l'époque et qui maintenant font le bonheur des festivals de reggae aux 4 coins de notre (chic) planète.
    Notons que Bob est remarquable par rapport à la représentation hosteins 94 en ce sens qu'il échappe notoirement à cette représentation pourtant remarquable (excusez le style un peu prussien mais c'est juste pour redire 2 fois la même chose), puisque combinant mainstream et qualité, puisque combinant mainstream et qualité.
... où viendraient boire les daims ...

  • A l'autre bout de l'échelle de la renommée et de l'artisanat d'art, y'a le tocard, le gonze qui vise le commercial et qui vend que dalle, le moniteur de ski, genre bonnet de nuit, qui, malgré le prestige de l'uniforme, ne réussirait à attraper aucune groupiste ou une équipe de france de foot qui arriverait archi-favorite à un certain mundial avec les meilleurs buteurs des championnats anglais, italiens et français et qui serait éliminée au 1er tour sans marquer le moindre but et qui irait, 8 ans plus tard, expliquer la vie (NDLR: la vie après la conduite de balle), à une nouvelle équipe de france ridiculisant une fois de plus le noble peuple de france qui n'en pouvait mais ... depuis une certaine ligne maginot et une fameuse percée par les ardennes (Ooh, the ardennes they come, the ardennes they'll fall, one and all) qui fait encore mal aux anciens et pas que, surtout aux sachants qui savent (désolé ...) que c'est pas de bob le magnifique mais de jimmy cliff, le félon, qui arrêta un jour de reggaer pour fourggaer cet affreux "Reggae Night" que même Yannick NoaR refuse de chanter car trop "borderline" pour le plus authentique rastafari de Rolland Garros ...
     ... vous aurez probablement noté que cette succession de débâcles à la française depuis waterloo a eu comme conséquence notoire que les anglais, les ricains et leur fierté immaculée, sont devenus les rois de la pop capables des plus magistrales harmonies vocales alors que le français chante toujours aussi indécrottablement mal et d'ailleurs, le sachant, n'a pas réclamé d'exception culturelle en matière musicale, reconnaissant, de fait, l'intérêt de solliciter une fois de plus ces foutus anglois à la rescousse.
à croire que, si l'on veut, tout peut recommencer en mieux ...

Pour revenir au sujet qui nous interesse - quel était-il au fait aux origines ? quel était-il au fait aux origines ? ah oui hubert mounier, sa coiffure à la fois rigolote et pathétique et sa cabane en rondins oubliée au fond des bois dont on fait les permanentes (cherchez pas, ça veut rien dire, c'est juste par rapport à sa coiffure, pour le foehn ou pour se donner un genre poët) -, replongeons-nous dans cette sombre page de l'histoire de france - la collaboration, c'est ça ? mais non connaud, suis un peu, les années 80 quoi !.
Tout allait à vau l'eau (et non pas "à vélo", aurait rajouté maitre capello qui a pris ces jours-ci ses quartiers d'infini en enfer pour y faire au moins respecter la grammaire et la courtoisie, si ce n'est une cuisson al dente), alors (pour ceux qui sont un peu perdus, je la refais: Tout allait à vau-l'eau {virgule}                    alors.).
Le cynisme était roi (alors que maintenant, plus du tout par exemple) et donc les hippies devenus punks puis new-waveux avait plus rien à branler de rien comme le geek passé de vitaminic à myspace puis facebook pour finir sa course contre un des pylones qui tient (mais pour combien de temps encore ?) la branlante plateforme numérique du rama (ah merde, j'avais décidé de pas en parler ce coup-ci !) et qui devrait occasionner, lors de sa chute imminente, le prochain tsunami ou mascaret, au choix du zélateur.
En fait le modèle qui régissait complétement les eighties, appelé "modèle de hosteins pondéré par une mère communiste et une foutue tendance à réutiliser des trucs déjà amortis depuis des lustres", était celui-là:

Remarques (plus ou moins en rapport avec le sujet):
  • Je fais appel aujourd'hui, dans mon exposé, à  la technique du crobarre dans le souci, certes, de faciliter la compréhension de mes lecteurs mais, surtout (comprendre "en fait, mes lecteurs, j'en ai rien à branler !") pour titiller les 92 mercenaires de la pensée socio-cul (cf un post passé où je maravais cette secte d'unescopains voire d'unescoquins) qui se répartissent les bénéfices de leurs études, conférences, interférences, séances d'hypnose et de pick-pocket ... entre eux et ce donc, pour leur proposer mes services (contre rémunération équivalente à la leur, niveau Hors Catégorie ++ donc) si tenté qu'ils coinceraient un jour sur un de ces fameux crobarres - lavage de cerveau que l'on retrouve aux détours de leurs raisonnements abscons est bien quand on est dans son bain, on fait de grosses bulles, on joue au sous-marin.
  • Pour les jeunes cons qui n'ont pas connu cette épique époque opaque, un de ces plus beaux fleurons perpétue ces valeurs à travers les âges. Ne dit-il pas encore à qui veut bien l'entendre (la télé, les puissants, ce que les élites appellent entre elles les élites, comme hier soir edwy plenel chez FOG, évoquant le racisme dangereux quand les élites se l'approprient, comme on s'approprie un territoire ou un édifice, dans la novlangue): celui qui n'a pas de rolleix à 50 ans (l'age qu'avait le fleuron-michy, oups on est pas tombé très loin de vichy ..., dans les eighties pronouced haties) celui qui n'a pas de rolleix à 50 ans, I said, a raté sa vie ?
    Ce fleuron, qui n'a manifestement plus tout à fait sa tête aujourd'hui, a toujours, en revanche, l'heure, et ce, avec une précision suisse.
passent les jours, passent les jours, les années

Moi-même, au mitan de ces foutues années 80, je m'essayais, après une 1ère phase chaotique (car bénévole, hé hé, 80's style) à la recherche d'un absolu musical, dans la chanson à but commercial. et également à but d'économiser, autant que (pas) faire se peut, ses ressources créatives pour une intervention future et mystérieuse mais qui requerrait toutes les ressources disponibles voire plus et qui serait assortie d'une énorme rémunération (hé hé, 80's style).
Donc je commis à cette opaque mes plus lamentables textes, après un concept album apprécié de tous (du seul groggy, gros guy ? en fait) intitulé Noémie et les loups (de nez). J'y reviendrais + tard (le + tard possible !). Il est interessant de constater que ces 2 trajectoires étaient mues par les mêmes aspirations bien qu'une des 2 ait été couronnée de succès et la seconde de sarcasmes et de honte inexpugnable.

... où on goûterait la joie de vieillir doucement ...

Pour conclure sur une note enjouée, je ne saurais vous abandonner à votre sort cruel, chair publique, sans vous éclairer du 3ème crobarre du fameux tryptique hosteins 94 (le moins connu des 3 mais pas le moins croustillant !):

(*) il  ne s'agit pas ici des vers du poête, disparu ou encore productif, comme on dit dans le milieu délicat du service informatique (on utilisera de préférence "encore erectile" dans le milieu du service de mes deux, ou "encore vert" s'il s'agit d'Emile Louis et son service 3 pièces à usage forcé des handicapées mentales de l'Yonne) mais il s'agit bien de ces adorables petits vers de la flore intestinale qui, assoupis depuis leur arrivée triomphale mais éreintante dans le colon - petit ou grand, deviennent tout à coup productifs, ces fieffés oisifs, ces larves aurait-on pu même dire, sarcastiquement, dès lors que le sujet est malencontreusement décédé.

Alors voilà, pour être poli et surtout, savoir définitivement si j'étais passé dans le camp du bon goût, je suis allé jeter une oreille à "La Maison de Pain d'épice" du tout nouvel esthète hubert mounier, qui répondait autrefois au doux sobriquéquette de cleet boris, au temps maudit de Tenue de soirée (oh non, pas eux, merde ! attention, il s'agit quand-même des auteurs du clip le + désopilant jamais réalisé) et Jackie Quartz et son regard de psychopartz (té faudra que je fasse, 1 de ces 4, un post sur tous ces oubliés - à tort ou à raison - de la variétoche).
Ouais euh comment dire euh, hub' ... bof, quoi ...
C'est pas mal foutu, vaguement poétique, un brin mystérieux, un peu rock, ouais ... un peu tendos, ouais ... mais bon euh ...
On se poile pas des masses, quand même, hub'. je sais bien c'est l'époque qui veut ça, on est pas là pour rigoler tout ça, on est plus dans la pose sensuelle, la moue désenchantée, ouais mais on risque ... s'emmerder un peu à la longue, tu crois pas, hub' ? c'est de l'entertainment quand-même, c'est pas des cantiques sacrés !
Tu vois ta maison de Pain d'épices, elle me semble un peu trop du bois dont on mange le pissenlit par les racines, tu vois ? alors que, par exemple, tu vois, la cabane en rondins elle était plus du bois dont on se chauffe les arpions sur le dancefloor. avec un petit fumet des barriques où on fait vieillir le beaujolpif. et qui file la banane et la biscouette capillaire, si on y a recours sans modération, contrairement aux conseils hypocrites de ce bastien (inter)lauqué qui est pourtant pas le dernier au cul de la boutanche, tu vois, hub ?
Je crois que je vais encore passer pour un gros relou mais euh ... je crois que, finalement ... je préfèrais, en villégiature, cette cabane en rondins (même probablement un peu rongée par les termites, en ce jour funeste de 2011 ! mais heureusement, en ces jours de gloire de 2011, on fait des miracles avec cette M6 qui rase,  voire parfois-même, retape entièrement les vieilles bicoques - gratos, et avec goût).
Beh ouais quoi, je l'aimais bien ce petit texte torché en 2'30'', qui met de bonne, que tu peux beugler à qui veut bien l'entendre sous la douche, pas un truc bégueule à la benjamin biolay qui sait plus quel angle trouver pour être dans son époque, non content qu'il est d'être déjà beau gosse. Té d'ailleurs, il parait qu'il est fan du mounier, le beau gosse. hé hé (80's style) peut-être est-il sensible aussi à la biscouette capillaire et qu'il aime bien beugler sous la douche en faisant des grimaces ?
Et puis attention, pour les spécialistes (ceux qui ont fait les Rencontres d'Astaffort, je veux dire), la construction du morceau, c'est du C1, C2, refrain ad lib ... la classe quoi !
Bien sûr, t'auras toujours un jeune con renfrogné branchouille de 31 ans, qui est resté scotché dans son pyjama ... euh son nirvana, j'veux dire, qui objectera: "ouais mais euh ... ça sonne un peu midi et donc ça te plait, l'ancien ! ouarf, ouarf.".
Beh ouais, con de jeune, on y a cru, ouais (sacré manque de lucidité, non ?) qu'on pourrait transposer Donald Fagen, Michael Francks & Christopher Cross en français mais surtout sans trop d'efforts. à la française.

Une pensée à Loran, Phil Barney, Barbezieux, le pote de Barbezieux dont j'ai oublié le nom et tous les autres fumistes translucides ... ayant réussi ou non.

Un autre avis par là ... http://www.telerama.fr/musiques/la-maison-de-pain-d-epice,66901.php

Et pour les plus goguenards, un parallèle entre 2 chansons éternelles (surtout une) :
Encore un jour qui passe
          Lonely,
Un jour de plus qui salit tous mes rêves
          L'on ne fait pas que du surplace
Encore une nuit qui tombe
          Pour autant que
Et elle tombe de sommeil à mes côtés
          L'on ne dit
Elle méritait mieux mais
          Y'a toujours un moment où on se casse


Passent les jours, Passent les jours, les années, i-yeah, i-yeah, i-yeah, i-yeah
          Alors on prend son ticket, i-yeah, i-yeah
Impressionnant, non ? je dirais même effrayant, effroyable, sanguinolent ...

N° de commande 403-2123317-2334706 Cabane En Rondins [Téléchargement MP3], Prix : EUR 0,99 Extrait de l'album : Chic Planete Par : L'Affaire Louis' Trio Vendu par : Amazon Media EU S.a.r.L

mercredi 2 mars 2011

le syndrome cock robin ou "pourquoi n'est-ce pas interessant pour une collectivité territoriale d'avoir un artiste local qui marche ? PART I"

Mais pourquoi donc le français, ce baltringue de l'amour, pourtant si casanier, a-t'il besoin d'aller chercher aux antipodes un amuseur alors que, si ça se trouve, à sauveterre de guyenne ou, au pire, à talence (la ville des grands concerts de jazz, pour ceux qui l'auraient oublié) se trouve un authentique talent qu'il faut juste dégrossir un peu.
Je pense en particulier à 2 spécimens girondingues chantant, typiquement français voire carrément "esprit sud-ouest" :
  • hibou l'artisan chansonnier, de la riante campagne du sud-gironde, annexée en l'an 1987 par le belliqueux seigneur de sauveterre de guyenne, rouxecoule de barbey sur son fidèle busroque, 
  • leq de talence, au cul du lycée.
retrouves hibou l'artisan chansonnier au http://hibouart.pagesperso-orange.fr/
retrouves Leq au ... DTC

Ces 2 gonzes, tu prends 5 mn, tu leur expliques 2, 3 fondamentaux du show-biz et cà y est, c'est parti ...
...
Bon, en fait, ça risque de prendre un peu plus de temps ... revenons à nos moutons ... de pauillac, bien évidemment.

Ce travers d'aller chercher à pétaouchnok un truc qui se trouve à 2 spaghettis de chez toi (clin d'oeil au  despote à la télé qui disait: "y'a les mêmes à la maison !") se trouve également réparti à tous les étages de la population françoise.
En voiçi quelques exemples, contés, avec talent quelquefois, parfois, quelques longueurs:
  1. rappelez-vous, amis de la variété française, sylvie vartan et son secrétaire en peau de carlos qui se sont sentis obligés, au début des seventies, de ramener de leur vacances gratos au moyen-orient (et oui mam, tu n'as rien inventé, ni en politique, ni en techniques touristiques futées) le chanteur de baloche qui sévissait dans leur hôtel 4 étoiles (la 5ème étoile, c'est quand le chanteur de baloche résident a une voix agréable).
    Et oui Mike Branque, c'est eux qui l'ont découvert, ils avaient eux aussi, ce jour-là, cet instinct de découvrir un truc, comme ce pittoresque chineur des marchés à brocante qui lui, n'a pas découvert Mike Brant(e pour la rime riche) ni l'eau chaude (ou l'eau courante pour une rime ultra-riche).
    On pourra un de ces 4 (puisque ce n'est pas le sujet AUJOURD'HUI et si on a rien d'autre à foutre CE JOUR-LA) se demander pourquoi ce perroquet au capacités vocales hors du commun (d'après sylvie et carlos, à la fois ...) s'est retrouvé, lorsqu'il s'est agi de chanter dans la langue de papin et gravelaine, avec une voix d'outre-chiottes qui aurait mérité d'y plugger au moins une vingtaine de racks de ce nouvel effet, le destop, qui permet d'éclaircir même les pires voix de bidet. mais à cette époque-là, on avait (encore) confiance dans le chanteur.
    NDLR: la phrase précédente ne veut absolument rien dire, c'est juste pour entretenir un brin de tension dans ce récit.
  2. quelques années plus tôt (je ne respecte sciemment aucune chronologie dans ce raisonnement endiablé afin de préserver le rythme effrené tenu depuis le début et qui va se payer cher sur la fin), il y avait eu la vague (2 occurences) égyptienne dans la chanson française.
    pourquoi ?
    va savoir ...
    est-ce que, avant ou après, les egyptiens ont fait des miracles en chanson ?
    non.
    ont-ils gagné un jour l'eurovision ?
    non.
    alors partons en enquête sur ces rivages du nil, à l'ombre des pyramides (bien que, vu leur forme débile, je crains que les pyramides ne fasse que très peu d'ombre).
    pourquoi ?
    je ne saurais dire ... quel pays mystérieux !
    ces 2 questions se rapprochant dangeureusement, telles les pupilles de dalida (ah oui au fait, les 2 au cul rance, c'est dalida et cloclo) en amène une troisième:
    la qualité des égyptiens en chanson française et la faible propension des pyramides à faire de l'ombre sont-elles liées ?
    1er indice: le fait que les egyptiens aient choisi, en promenade, de porter leur tête dans l'axe des épaules ne facilite en aucune manière le chant (a-t'on vu à la star'ac ou à la nouvelle star un de ces merveilleux prof de chant dont le maitre mot est l'émotion préconiser de mettre la tête le long de son épaule pour maximiser la puissance de la colonne d'air et, in fine, du flot impérieux des émotions qui souilleraient le fond du froc de tout un chacun mais qui, ici, magnifié par un expert de la corde sensible se retrouve transformé en bulle d'affect à consommer sur place ou à emporter. ah non en fait c'est pas "." c'est "?" puisqu'il s'agissait d'une question au début, 5 ou 6 lignes + haut). Le fait d'avoir obligé les 2 représentants de l'égypte éternelle à avoir la tête perpendiculaire à l'axe des épaules a d'ailleurs provoqué chez eux une compensation physique, chez l'un, cet espèce de rictus désobligeant voire méprisant (sans parler de cette étrange façon de twister !) et chez l'autre un strabisme obligeant (à regarder ses chaussures) dû au refus de la pupille droite de s'adapter à cette nouvelle position et qui décida mordicus, comme disait cesar à cléopatre en caressant de ces canines acérées ces onctueux hémisphères postérieurs, de rester dans la position antérieure (dans l'axe des épaules pour ceux qui n'ont pas suivi le raisonnement car trop bêtes).
    2ème indice: la page wikipedia Catégorie:Chanteur égyptien. en premier lieu cette page est une "ébauche". hum hum. seulement 15 noms figurent dans cette rubrique et je n'en connais aucun. m'est avis qu'on s'est fait un peu avoir avec ces "formidables" chanteurs égyptiens qu'on a réussi à nous fourguer en douce !
  3. n'a t'on pas, nous-mêmes, noszigues, à l'occasion de lointaines villégiatures (le bouscat, caudéran), le souci de découvrir un truc à ramener, un truc rare, exotique, une pièce unique que les abrutis du coin, trop habitués à la luxure et à pétasser pendant des heures, n'auraient même pas (ou plus) remarqué ? vous savez, ce truc, à 2 pas de chez vous que visitent les touristes mais que vous-mêmes, voszigues, n'avaient navet n'avez jamais visité, trop occupé que vous êtes à dessiner les contours de votre vacuité ? 
  4. quelques années plus tôt, que n'était-on aller chercher une danseuse dotée également de magistraux hémisphères postérieurs qu'elle savait faire se mouvoir avec tant de justesse ? comment diable, cette ensorceleuse de josephine baker est arrivée de son missouri natal, après 2 mariages avant d'avoir 16 ans, par chez nous ? retour chez ce wikipédant ...
    ... où elle fait la rencontre de Caroline Dudley Regan. Cette mondaine, épouse de l'attaché commercial de l'ambassade américaine à Paris Donald Regan, voit en Joséphine un grand potentiel. Elle lui offre donc un salaire de 250 dollars par semaine si celle-ci accepte de la suivre en France, où Regan veut monter un spectacle dont Joséphine sera la vedette et qui fera d'elle une star: la Revue Nègre.
    ceci m'amène une infinité de réflexions, notamment sur le rôle de médiateur culturel des 2 côtés de l'Atlantique, subtilement intitulé attaché commercial d'ambassade chez les ricains ... nous en reparlerons plus bas (localisation), plus bas (intention), plus haut (verbe) et plus haut (volume sonore).
  5. jusque nos émérites institutionnels qui vont jusqu'à monter des collections, comme ce petit retraité de banlieue, collectionneur de timbres à ses heures perdues, des collecs, des frac, des fonds de frocs de musées où ils ne savent plus comment se débarasser de trucs qui avaient peut-être un intérêt du temps où y avait pas la télé mais maintenant va lutter avec "danse avec les stars" (référence à l'intéressant article du fameux SPIRIT! sur les questions que se posent les conservateurs de musée sur la pertinence de garder en stock des têtes réduites d'africains du XIXème ramenés par des découvreurs - déjà ... - insatiables. je leur suggère discretos de monter un stand dans les marchés à brocante (où rode le non-découvreur de Mike Brandt ni de l'eau courante, autre émanation de l'étrange confrérie des non-publics qui se multiplient surtout s'agissant de mon blog) ou au pire un stand de vide-greniers pour se débarasser ni vu ni connu de ces encombrants.
    au fait, lecteur abasourdi, tu saurais pas quand est-ce qu'ils passent les encombrants à la bastoche ? j'ai 3 ou 4 sacs plastiques sanguinolents à dégager à la cave.
    en effet, quel intérêt, pour une collectivité, de conserver le crâne d'un fermier lambda des plaines du botswana découvert par un explorateur lambda en 1853 ?
    et par là-même, quel intérêt de conserver l'oeuvre d'un plasticien lambda des plaines du kurdistan découvert par un médiateur culturel lambda en 1983 ?
    quel intérêt pour l'aquitaine de posséder une oeuvre de jeff koons ?
    l'aquitaine, comme la merveilleuse égypte évoquée plus haut et son discutable label chanson, est-elle un label qualité & bon goût (autre que en pinard, mouton de pauillac, grattons de lormont, grenier médocain, boeuf bazadais, ...) reconnu ailleurs que dans les soirées wine & jazz du chateau giscours ou dans le bureau du tout nouveau Conseiller Culture, Économie Créative et Numérique Cabinet du Président - Conseil Régional d'Aquitaine qui ne répond pas à ses mails quand on lui demande, pour n'en rien louper, des précisions complémentaires à son adorable agenda du dimanche soir ?
    afin de mieux comprendre l'indiscutable valeur de ce label-qualité ISO33000, sans faûte, dimanche soir, en réponse à cet ineffable agenda de la semaine à venir, je m'engage solennellement à demander à celui qui sait qu'il m'éclaire (une fois de plus, moi le cancre, le candide permanent, l'ignare impénitent en matière de politiques publiques) sur ce sujet sensible. et bien sûr, je vous ferais suivre sans faûte son absence de réponse et ce, dans ses plus brefs délais.
    cher maitre shogun, je ne comprend pas. pourquoi l'aquitaine ?
    tu comprendras un jour, cher disciple, indiscipliné.
    est-ce que d'autres aquitains que julien courbet et bernard montiel ont fait des miracles culturels au nord de la garonne ?
    non. malheureusement.
    avons-nous gagné un jour l'eurovision ?
    oui mon fils, marcel amont et marcel merkes (au temps des groupes en MAR) sont montés un jour sur le toit de l'europe. c'était aux jeux olympiques d'hiver à mexico (ou grenoble je sais plus très bien) en 1968, quand killy régalait la galerie où plus tard on mit ses skis.
  6. jusque nos émérites entrepreneurs en musiques actuelles, de la sphère privée, toujours en quête d'un obscur groupe d'Ontario, non souillé par les majors et les indés du coin. et qui, by the way, a gardé une certaine virginité voire authenticité. qui se traduit (à travers mon prisme qui vaut c'qui vaut mais que je dois coûte que coûte me coltiner) par une exécution approximative de la chose qu'il est habituellement convenu de jouer ensemble et qui invariablement se termine en eau de boudin (au mieux ... appelé aussi jimboura en aquitaine, seule région ISO33000, souvenez-vous) ou au pire en un jus saumâtre façon remugle de PJ Harvey ou de Radiohead (ceux qui aiment déjà pas les originaux comprendront !).
    et tout ça pour être reconnu, bien sûr, découvreur de talents, le truc ultime.
    quand des bandas entières d'artistes talentueux jouent sous tes fenêtres que tu as choisi, pour ne pas être dérangé pendant tes palpitantes découvertes de faire doubles (en ... vitrage et fermées à ... tour et non pas en ... album ou gras-... qui ne fait partie, à regret, du patrimoine ISO33000 aquitain).
  7. jusqu'à pat le gac, vague cousin caraque de pat le rock de telerama, qui veut savoir, pour tv7, à tout bout de célébrité, ce que célébrité a vu bordeaux, ce que célébrité a lu bordeaux, ce que célébrité a vécu bordeaux, ce que célébrité a défécul bordeaux, ce que célébrité a-e-i-o-u bordeaux, ... (il est amusant de constater que ce point 7 va à l'encontre de mon propos mais c'était juste pour faire un clin d'oeil promo à cette chaine qui a acquis tous les droits sur le chiffre 7 et qu'on doit systématiquement mentionner chaque fois qu'on utilise ce chiffre (arrêté du 14/2/11, tribunal de Bordeaux-Bastide))
  8. jusqu'à cette (autre) infamie reçue dans ma bal (boite aux lettres et non exercice où excellait le regretté mike branque) ...
    A la suite de nombreuses et fructueuses rencontres qui lui ont permis de s’immerger dans le territoire, j’ai le plaisir de vous informer que l’artiste Michelangelo Pistoletto, directeur artistique d’EVENTO 2011, présentera son pré-programme le 9 février 2011 à 18h à l’auditorium du CAPC.
    Cette rencontre publique et ouverte à tous, en présence de l’ensemble de la direction artistique, sera notamment l’occasion de découvrir les grands axes thématiques du projet artistique de M. Pistoletto ainsi qu’une typologie des propositions et des noms d’artistes internationaux invités à participer à l’événement. Elle constituera par ailleurs un moment privilégié pour échanger autour de cette première étape dans le processus de construction d’EVENTO 2011.
    Brigitte PROUCELLE, Directrice Générale des Affaires Culturelles, BORDEAUX
    je n'aurais qu'un truc à rajouter céans: "zob."
    mais j'y reviendrais probablement pour dire à quel point je conchie (qui bizarrement n'a aucun lien roots - je n'ai pas trouvé d'autre adjectif ayant trait à racine - avec les délicieuses conchiglie du jovial peuple rital qu'on aime bien en général, sauf en finale et à la présidence), je re-pète, je re-conchie ces fripouilles rohanesques et leur manoeuvres rocambolesques (voire carrément romanesques puisque certains iront jusqu'à finir en prison dans les cachots humides du proche fort du hâ pour s'attirer les bonnes grâces du sous-doué voire du tv7 de pat le bath susmentionné).
  9. et qui m'amena cette autre question sans réponse à 8 futurs (est-ce raisonnable ?) Conseiller Culture, Économie Créative et Numérique Cabinet du Président - Conseil Régional d'???
    terrain hostile dit : sur http://terrainsdeculture.wordpress.com/ 20 février 2011 à 14 02 49 02492
    hé bien, le moins qu’on puisse dire, chers 8 élèves administrateurs territoriaux intéréssés par les politiques publiques culturelles, est qu’avec votre arrivée aux affaires, les institutions ne risquent aucune déflagration susceptible d’interrompre leur ronron paisible. je suis en train de chercher des angles pour un prochain post sur le thème: « pourquoi les collectivités territoriales n’engagent aucune action pour avoir des artistes locaux qui réussissent ? ». peut-être avez-vous, chers 8 ou sous-ensemble des 8, une position (ou encore mieux plusieurs ?) sur ce sujet totalement vierge car has-been ou "trop tôt" (comme disent vos futurs collègues, à tout bout de chant) ?
Et pendant ce temps, malik de mérignac, pour lequel j'avais sollicité une somme de l'ordre de 300 euros, reçut en guise de soutien de sa ville pour la sortie de son 1er album la somme de 0 euros.
A la fois, il chante en anglais, ce con ! et il a pas voulu qu'on essaie de gratter quelques thunes auprès du CE de sa boite de niveau national, en délicatesse avec ses catheters.
Pendant ce temps, le collectif Fondation Raffy végète.
A la fois, ils pourraient essayer de faire quelques trucs un peu pute pour la caillasse qui leur permettraient de faire des trucs classe à côté ...
Pendant ce temps, jon smith se convertit avec brio à la vidéo. http://thomasvideoblog.blogspot.com/
...
Et, pendant ce temps-là, on arrive aussi, quand-même, à refourguer de vieux artistes à des publics dotés d'un pire goût de chiottes que nous, les russes, les bulgares, les chinois, puisqu'ils continuent à adauber même les pires chanteuses françaises en fin de fin de cycle: patricia kaas, mireille matthieu, ... peut-être est-ce la réponse à la question ... posée ... + bas (merde, quelle erreur de construction, on dirait du bastien (inter)lauqué !): comment dire un jour à un artiste local soutenu depuis 15/20 ans: "cher artiste, on ne vous soutient plus, il est temps de penser à la reconversion ..."  peut-être la solution à sa descente aux enfers se lève-t'elle à l'Est ?

Bon va s'arréter là, je sais plus où j'en suis ni pourquoi je suis là.

Merde, j'ai oublié de parler de l'organe de ce grand dadet de Cock Robin et sa délicieuse danseuse sensuelle (pour qui aime les grosses). Il est tellement charismatique, ce con, qu'on a tendance à l'oublier à la station-service, quand il va pisser.
Et il me revient cet affreux morceau de ce Cock Robin commis par Michel Berger et chanté originellement par cet autre affreux chanteur originaire de bayonne comme MAM susmaravée, j'ai nommé Balavoine. Ce morceau délicieusement intitulé "SOS d'un terrien en détresse" consistait en une prouesse technique vocale sans intérêt à l'adresse probablement des profs de chant des écoles de musique du pays basque, ceux qui, lors des tremplins rock, font que le classement final est exactement l'inverse de ce qu'il devrait être et que, in fine, on est la risée du monde, musicalement parlant.

Quel morceau choisir pour illustrer cette débâcle du bon goût ?
Je m'en vais de ce pas acheter un morceau de cette chanteuse pop assez classe de la même sale époque des mid-eighties, j'ai nommé ... jiiiiiiiiiiiiiiiiiiiil ... caplan.
N° de commande 171-2651989-6290764 Derrière La Porte [Téléchargement MP3], Prix : EUR 6,70 Par : Jil Caplan Vendu par : Amazon Media EU S.a.r.L
Aux dernières nouvelles, celle-çi serait toujours sur la route, de nouveau flanquée du fidèle jay alanski et aurait du mal à faire converger les cachets demandés avec ce qu'offrent les retorses (?) smaques.


Je n'ai également fait que survoler le sujet du désintérêt des institutionnels pour les artistes locaux émergents (hors ceux en place depuis vercingétorix, mais à la fois comment leur dire un jour: "cher artiste, on ne vous soutient plus, il est temps de penser à la reconversion ..." ???) mais j'y reviendrais avec délectation, ce n'était que le PART I).

par ailleurs, certains thèmes envisagés n'ont pas été utilisé (je les refourguererais sans problème au marché à brocante des éditoriaux culturels malhonnêtes et médisants): ... et on nous rebat les oreilles, pour valoriser cette ville perdue, des exploits préhistoriques de grands anciens: montesquieu / montaigne / giresse / qui connaitrait arcangues sans son luis mariano ? / objectif politique culturelle américaine = export (cf jo baker & donald regan)  / ...

quel bordel ce post, une mère (supérieure en tout) n'y retrouverait pas ses petits (chanteurs à la noix en bois des iles).